A son âge, Jean Daniel n’a pas encore compris que l’islamisme est la mise
en oeuvre de l’islam
Le Nouvel Observateur atteint des
sommets dans la collabosphère. On avait l’habitude des commissaires politiques
(Joffrin, Dely…), mais cette fois, la promotion de l’islam est assurée par Jean
Daniel, le penseur en chef (j’ai failli dire le « guide suprême »,
mais je me refuse de tomber dans l’outrance, dont je laisse le monopole au
Joffrin…). Dans son éditorial intitulé : « L’islamisme contre
l’islam ».
Jean-Daniel s’érige en donneur de leçon à cette France qui refuse
l’islamisation. Et pour cela, Jean Daniel utilise l’argument d’autorité.
Pour ses démonstrations, Jean Daniel s’affranchit de tout raisonnement
déductif et de toute définition précise des mots clés (islamisme, islam…) qu’il
utilise. Fort de l’argument d’autorité, il affirme ses vérités. Disposant d’une
équipe dévouée de commissaires politiques et des moyens médiatiques immenses
que l’Etat met à sa disposition, Jean Daniel nous assène sa vérité. La seule
qui a le droit de s’exprimer.
La pensée de Jean Daniel à travers son
analyse de l’islamisme.
Et cette vérité, Jean Daniel nous la révèle ainsi :
« L’islam pose un problème ? Sans
doute. Mais c’est aux musulmans qu’il le pose en premier lieu. Je voudrais
rappeler une conviction affirmée depuis longtemps, à savoir que le véritable
ennemi de l’islam, ce n’est pas seulement l’islamophobie, c’est surtout et
partout l’islamisme. En France, les islamistes sèment la division, et partout
ailleurs la violence. .
À l’intérieur des grandes religions, une
radicalité est née qui, même si les experts lui refusent un avenir politique,
n’en est pas moins dotée d’une idéologie terroriste et anarchiste : celle de
l’islamisme sous des noms différents et un visage unique, celui de la mort. »
Ainsi, Jean-Daniel nous apprend
qu’ « à l’intérieur des grandes religions (que
tout être censé comprend comme non seulement l’islam, mais également le christianisme,
le bouddhisme, le judaïsme), une radicalité est née. Cette
radicalité est dotée d’une idéologie terroriste : celle de
l’islamisme sous des noms différents et un visage unique : celui de la
mort » ! C’est clair comme de l’eau de roche :
l’islamisme s’est développé dans les grandes religions.
Face à une telle absurdité, on reste sans voix, On a presqu’envie de
demander à Jean Daniel où a-t-il vu cet islamisme dans la religion chrétienne,
bouddhiste ou judaïque.
Mais allons plus loin dans l’exégèse de ce texte hors du commun : Jean
Daniel affirme que l’islamisme est une idéologie !. Si les mots ont un
sens, force est de constater que l’islamisme n’est pas une idéologie, mais la
mise en œuvre d’une idéologie par une politique de terreur et de violence qui
vise l’ensemble de l’humanité.
L’islamisme est la mise en œuvre d’une
idéologie totalitaire : l’islam.
En considérant l’islamisme comme une idéologie, Jean Daniel s’égare
complétement dans son analyse. L’islamisme est par définition la mise en œuvre
de l’islam. Et c’est bel et bien l’islam qui est la véritable idéologie
politique. Quand il dit : « des noms différents, mais un seul
visage », Jean Daniel devrait préciser qu’il s’agit bel et bien de l’islam.
Il deviendrait cohérent s’il admettait que l’islam se définit lui-même comme
idéologie politique. En parlant de mouvements politiques qui portent des noms
différents (islamisme « modéré », djihadisme, intégrisme islamique,
extrémisme islamique, salafisme etc…) Jean Daniel devrait constater que
ces différents mouvements partent de la même source : l’islam. Ces
mouvements utilisent des stratégies ou des tactiques différentes, mais leur but
reste le même : instaurer l’islam tel qu’il a été révélé à Mahomet, dans
le Coran, cette « Parole incréée, éternelle et inaltérable » d’Allah.
Et, conformément aux préceptes coraniques, instaurer l’islam, c’est
conquérir le pouvoir, dominer et soumettre l’ensemble de l’humanité.
Mahomet : le premier islamiste qui a
mis en œuvre l’islam en tant qu’idéologie politique, totalitaire et
conquérante.
Mais Jean Daniel ne veut rien admettre. Pour lui, tout ce que nous voyons
comme horreurs islamistes, ne relève que de l’islamisme. Ce prétendu islamisme
qui a dévoyé l’islam pur des origines. Cet islam que Jean Daniel, comme
l’ensemble de la collabosphère, nous présente comme « religion d’amour, de
paix et de tolérance » !!! Alors, pour montrer à quel point cette
affirmation relève du déni de vérité, on peut se référer à l’islam des
origines.
Et qui d’autre serait mieux placé que Mahomet lui-même pour nous montrer à
travers ses actes et ses paroles, le véritable visage de cet islam. On ne peut
trouver de meilleur exemple que le fondateur de l’islam lui-même. Et, pour
éviter tout risque d’erreur, on se limitera à citer les témoins de la naissance
de l’islam, les premiers historiens musulmans : Ibn Ishaq, Ibn
Hicham, Tabari, Bokhari, Muslim parmi ceux qui font autorité dans l’ensemble du
monde musulman.
En lisant ces historiens, on ne peut que constater que Mahomet correspond
exactement au profil type de l’islamiste que décrit Jean Daniel : il a
instauré l’islam par le meurtre, les razzias, les guerres, le terrorisme, la
prise d’otages sans oublier le pillage et l’esclavagisme.
Pour interpeller Jean Daniel, on ne prendra qu’un seul exemple : celui
de la liberté d’expression et la manière dont Mahomet et l’islam des origines,
concevaient cette liberté fondamentale.
Ce domaine est très parlant non seulement pour Jean Daniel mais pour
l’ensemble de la collabosphère qui a mis en place ses commissaires politiques
pour étouffer cette liberté d’expression dans notre pays.
Le terrorisme de Mahomet : poètes et
chanteurs assassinés.
§ Asmâ bint
Marwan : Dans sa Chronique, Tabari raconte « Il y
avait une femme du nom d’Asmâ bint Marwan. Elle faisait des vers
particulièrement insultants pour le prophète de l’islam. Quand ces vers furent
rapportés à Mahomet, il dit tout haut : « Est-ce que personne ne me
débarrassera de la fille de Marwan ?». Il y avait un homme du clan de la
poétesse, ‘Omayr Ibn ‘Adi. Il n’avait pas été à Badr. Bonne raison pour faire
preuve de zèle. Le soir même il s’introduisit chez elle. Elle dormait au milieu
de ses enfants. Le dernier, encore au sein, sommeillait sur sa poitrine. Il la
transperça de son épée et le lendemain alla trouver l’Envoyé de Dieu. Il dit :
« Envoyé de Dieu je l’ai tuée ! ». « Tu as secouru Allah et son Prophète ô
‘Omayr ».
Tabari poursuit : « Ce jour-là fut le premier où l’Islam se montra puissant chez les
Banû Khatma ». Le coup avait réussi. L’exploit de ‘Omayr est
classé par les chroniqueurs musulmans parmi « Les expéditions du Prophète ».
§ Abou ‘Afak : un
mois après l’assassinat d’Asmâ, le poète centenaire Abou ‘Afak fut tué pendant
son sommeil, à cause de quatre vers contre Mahomet. Le Prophète avait prononcé
négligemment : « Qui me fera justice de cette crapule ? » Un compagnon de
Mahomet se chargea du meurtre.
§ Kaab Ibn Achraf :
La plus ancienne biographie de Mahomet, celle d’Ibn Ishâq, traite en détail les
assassinats ordonnés par Mahomet. Parmi ces assassinats, celui du poète Kaab
Ibn Achraf. Il composait des poèmes contre le Prophète et l’islam. Alors
l’Envoyé d’Allah dit : « Qui me débarrasserait d’Ibn
Al-Achraf ? ». Muhammad ibn Maslamah répondit : « Moi, ô Envoyé d’Allah, je m’en chargerai, je le tuerai. » L’Envoyé
de Dieu lui dit : « Fais-le si tu peux». Ibn
Maslamah dit : « Ô Envoyé d’Allah ! Nous serons obligés de dire des paroles trompeuses. »
L’Envoyé d’Allah répondit : « Dites ce que vous voulez : cela est permis. »
Ibn Ishaq poursuit : plusieurs
hommes s’étaient associés pour tuer Kaab. La nuit ils se promenèrent avec le
poète. Un poète, Abu Nâ’ilah se montrait fort gentil avec Kaab. Il introduisait
sa main dans ses cheveux en disant : « Je n’ai jamais senti
un meilleur parfum». Ils marchèrent pendant plusieurs heures,
ceci pour mettre en confiance le poète. Puis soudain Abu Nâ’ilah saisit les
cheveux de Kaab en disant : « frappez cet ennemi de Dieu
!» Ils le frappèrent et leurs épées qui se croisaient sur Kaab
ne pouvaient cependant l’achever. Ibn Maslamah dit : « Quand je vis que nos
épées ne serviraient à rien, je me suis souvenu d’un couteau attaché à mon
épée. Je le saisis et l’enfonçais dans son bas-ventre et je me pressais sur lui
jusqu’à ce que j’atteigne le pubis. Alors Kaab tomba par terre. »
Cet assassinat est justifié par Ibn
Ishâq qui cite les vers d’Hassan Ibn Thâbit : « Ils
cherchaient la victoire pour la religion de leur prophète regardant comme peu de chose tout acte inique ».
En plus, le Prophète n’a pas hésité à légitimer l’acte de verser le sang
des poètes chanteurs, il a ordonné la mort de trois chanteuses : Sarah, Qarina
et Arnab (voir la chronique d’Al-Tabari, vol. 3, p. 116-118).
Mahomet obéissait au Dieu de l’islam, qui
se définit lui-même comme « comploteur rusé pour terroriser les
mécréants ».
Pour préciser le vrai visage de l’islam, on peut rappeler comment Allah se
définit lui-même. Dans le Coran, sa « Parole incréée et éternelle »,
Allah se définit lui-même comme le meilleur des rusés et des comploteurs qui
utilise la tromperie pour semer la terreur:
(S3, V54) : « Les fils d’Israël rusèrent contre Jésus. Allah ruse aussi ; Allah
est le meilleur de ceux qui rusent. »
(S8, V30) :« Allah aussi use de stratagèmes, et c’est Allah qui est le plus
fort en stratagèmes. »…
Le terme rusé en arabe est makara : il dénote celui qui est un fourbe, celui qui trompe, qui utilise la ruse.
Ainsi Allah est vu comme étant le meilleur des comploteurs et le plus rusé :
(S8, V43) :«(Tes ennemis) Allah te les avait montrés peu nombreux ! Car s’Il te les avait montrés nombreux, vous auriez certainement fléchi.»
Donc, pour encourager les musulmans à combattre, Allah a utilisé la tromperie. La fin justifie les moyens.
Après la ruse, Allah utilise la force et la terreur :
(S8, V12) : « Je vais jeter l’effroi dans les cœurs des mécréants : frappez les au cou (pour les décapiter) ; frappez-les aux articulations. »
Le terme rusé en arabe est makara : il dénote celui qui est un fourbe, celui qui trompe, qui utilise la ruse.
Ainsi Allah est vu comme étant le meilleur des comploteurs et le plus rusé :
(S8, V43) :«(Tes ennemis) Allah te les avait montrés peu nombreux ! Car s’Il te les avait montrés nombreux, vous auriez certainement fléchi.»
Donc, pour encourager les musulmans à combattre, Allah a utilisé la tromperie. La fin justifie les moyens.
Après la ruse, Allah utilise la force et la terreur :
(S8, V12) : « Je vais jeter l’effroi dans les cœurs des mécréants : frappez les au cou (pour les décapiter) ; frappez-les aux articulations. »
(S59, V2) : « Mais Allah est venu à eux par où ils ne s’attendaient
point, et a semé la terreur dans leurs cœurs. »
Et Allah soulage les tueurs et les terroristes de tout problème de
conscience :
(S8, V17) : « Ce n’est pas vous qui les avez tués, mais Allah les as tués.
»
Conclusion : quelle différence entre
les meurtres de Mahomet et ceux des islamistes d’aujourd’hui ?
Jean Daniel peut-il nous préciser s’il considère qu’il y a une différence
entre les assassinats commandités par Mahomet, et ceux des terroristes
islamistes. La réponse est pourtant très simple :
§ Soit il considère que
Mahomet était un terroriste islamiste. Et dans ce cas, Mahomet la vie et les
actes de Mahomet relevait de l’islamisme barbare et n’avait rien à voir avec
l’islam, que la collabosphère, sa Pravda et ses commissaires
politiques nous jurent que c’est une « religion d’amour, de paix et
de tolérance ».
§ Soit il admet que
Mahomet en tant que fondateur de l’islam et modèle parfait (Coran S33, V21 : « En effet, vous avez dans le Messager
d’Allah un excellent modèle à suivre, pour quiconque espère en Allah »)
ne faisait qu’appliquer la Parole révélée par Allah dans le Coran. Et dans ce
cas, il faut bien qu’il reconnaisse que ce qu’il appelle islamisme, n’est rien
d’autre que l’islam : une idéologie politique totalitaire et conquérante.
Zohra Nedaa-Amal
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