OUT-LAWS

                                " La Loi, l’Amour et le Don de vie sont un." (ak)
                                 (exactement ...)

http://elisseievna.blogspot.fr/2009/01/out-laws.html
Faut-il oui ou non des normes (de droit) et lesquelles ? 

LA LOI COMME AMOUR DES LOINTAINS

" Tu aimeras ton prochain comme toi-même" ... dit la loi essentielle ... la loi essentielle est d'aimer, la loi ne s'oppose pas à l'amour, le coeur ne suffit pas pour aimer non seulement le prochain mais "le lointain" ou pour ne pas être trompé par le coeur viscéral
la loi ne limite pas l'amour, mais elle risque d'être détournée, et de faire oublier le courage essentiel qu'il faut pour son but, et elle non plus ne suffit pas, si le coeur/courage manque



Je suis juif, parce que, né d'Israël, et l'ayant perdu, je l'ai senti revivre en moi, plus vivant que moi-même.Je suis juif, parce que, né d'Israël, et l'ayant retrouvé, je veux qu'il vive après moi, plus vivant qu'en moi-même.
Je suis juif, parce que la foi d'Israël n'exige de mon esprit aucune abdication.
Je suis juif, parce que la foi d'Israël réclame de mon cœur toutes les abnégations.Je suis juif, parce qu'en tous lieux où pleure une souffrance, le juif pleure.
Je suis juif parce qu'en tous temps où crie une désespérance, le juif espère.
Je suis juif, parce que la parole d'Israël est la plus ancienne et la plus nouvelle.
Je suis juif, parce que la promesse d'Israël est la promesse universelle.
Je suis juif, parce que, pour Israël, le monde n'est pas achevé : les hommes l'achèvent.Je suis juif, parce que, pour Israël, l'Homme n'est pas créé : les hommes le créent.
Je suis juif, parce qu'au-dessus des nations et d'Israël, Israël place l'Homme et son Unité.
Je suis juif, parce qu'au-dessus de l'Homme, image de la divine Unité, Israël place l'Unité divine, et sa divinité.
Edmond FLEG, Pourquoi je suis juif, 1928.


Un jour, un Rabbi reçut la visite d'un homme très pieux, fort riche, mais très avare. 
Le Rabbi le conduisit à la fenêtre : "Que vois-tu ?" lui demanda-t-il. "Je vois des gens", répondit le riche. 
Alors le Rabbi le conduisit devant un miroir. "Et que vois-tu, maintenant ?" lui demanda-t-il. "Je me vois moi-même", répondit l'autre. 
Là-dessus, le Rabbi dit : "A la fenêtre, il y a une vitre et au miroir, il y a une vitre. Mais la vitre du miroir est recouverte d'une couche d'argent ; et, c'est à cause de cet argent qu'on ne voit plus son prochain, mais soi- même".

Il suffit d'un mince couche d'argent pour ne plus voir la lumière du jour ...

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