Le christianisme fait pardonner, l'islam fait haïr

Cours de religions comparées : 

Existe-t-il une seule vidéo d'une mère musulmane agissant comme agit cette mère chrétienne envers l'assassin de son fils ?  Jamais vu ...
Existe-t-il aujourd'hui un seul cas de lynchage par une foule chrétienne d'un blasphémateur ? Nulle part, depuis des siècles.




This is an unusual and touching scene where a mother who lost her son after a shooting in Brazil, meets his murder.
After one year of his death, Maria Nice knew the murder, Alisson, was arrested and she decided to visit him at the police station.
She was followed by TV cameras which captured the very touching and surprising moment when she said: “You are forgiven in the name of Jesus. I am a Christian, and I am forgiving you!”
Alisson was visibly stunned by her words and only tried to look away from her eyes. But she urged him to keep looking at her.
“I will be praying for you. And you will find the God that I serve.”
“I don’t hate you."
She then prayed for him before she left. “Lord be with Alisson wherever he is. Don’t leave him even a minute, Lord. Touch his soul as you have touched mine. Comfort his mother, Lord, who must be suffering as much as I am. I thank for all Lord, in the name of Jesus. Amen!”
Here is the original video posted in YouTube Brazil on Nov. 26.

Le Point.fr - Publié le 04/11/14 à 16h19 
Pakistan : une foule enragée tue et brûle un couple de chrétiens
Les victimes étaient accusées de blasphème contre le Coran. Une vague de violence contre les minorités non musulmanes sunnites fait rage au Pakistan.
Source AFP
Un couple de chrétiens pakistanais accusé de blasphème a été battu à mort mardi par une foule musulmane enragée, qui a ensuite brûlé leurs corps dans le four à briques où ils travaillaient, selon la police. Ces meurtres, derniers épisodes d'une vague de violence croissante contre les minorités non musulmanes sunnites au Pakistan, ont eu lieu à Kot Radha Kishan, une ville située à 60 kilomètres de Lahore, principale ville de l'est du pays.
Les accusations de blasphème sont, selon les défenseurs locaux des droits de l'homme, souvent instrumentalisées contre les minorités ou pour régler des conflits personnels, car elles déclenchent facilement la colère populaire dans cette république islamiste conservatrice. "Une foule a attaqué et battu à mort un couple de chrétiens qu'elle accusait d'avoir profané le Coran. Elle a ensuite brûlé leur corps dans le four à briques où ils travaillaient", a déclaré à l'AFP un responsable de la police locale, l'officier Ben Yameen. 
Affaire de profanation du Coran
La foule s'est vengée des deux chrétiens, un époux et sa femme prénommés Shehzad et Shama, qu'elle estimait coupables dans une affaire de profanation du Coran qui avait éclaté la veille, a-t-il expliqué. 
Les chrétiens, représentent 3 millions des quelque 180 millions de Pakistanais,
Le blasphème, qui regroupe notamment les insultes à l'islam, à son prophète où à son livre saint du Coran, est un sujet explosif et controversé au Pakistan, où la loi prévoit jusqu'à la peine de mort pour les coupables.
les condamnés ne sont pas à l'abri même en prison. Fin septembre dans un centre de détention proche de la capitale Islamabad, un garde a ainsi tenté de tuer un prisonnier britannique condamné à mort pour blasphème.

2014-11-04

ASIE/PAKISTAN - Deux chrétiens accusés de blasphème brûlés vifs dans un four à briques


Lahore (Agence Fides) – Un couple de chrétiens, lui 26 ans et elle 24, a été brûlé vif par une foule de musulmans provenant de cinq villages sis au sud de Lahore (Pendjab). Shahzad et Shama, étaient accusés d’avoir commis un blasphème pour avoir brûlé des pages du coran. C’est ce que communique à l’Agence Fides l’avocat chrétien Sardar Mushtaq Gill, défenseur des droits fondamentaux, qui a été appelé par d’autres chrétiens et s’est rendu sur le lieu du tragique événement, le village Chack 59, sis dans les environs de Kot Radha Kishan, au sud de Lahore. Les deux jeunes époux, qui travaillaient dans une fabrique de briques, ont été séquestrés et tenus en otage pendant deux jours, à compter du 2 novembre, à l’intérieur de l’établissement. Ce matin, à 07.00 locales, ils ont été poussés dans un four où était en cours la cuisson de briques.
Comme l’a expliqué à Fides Maître Gill, l’épisode incriminé, à savoir le supposé blasphème, est lié au décès récent du père de Shahzad. Voici deux jours, Shama, en nettoyant l’habitation de son beau-père avait pris un certain nombre d’objets personnels, des papiers considérés comme inutiles, et les avait brûlés. Selon un musulman qui a assisté à la scène, dans ce feu se seraient trouvées des pages du coran. L’homme a donc fait courir la rumeur dans les villages alentours et une foule de plus de 100 personnes a pris en otage les deux jeunes, jusqu’à l’épilogue tragique de ce matin. La police, avertie par un certain nombre de chrétiens, est intervenue, constatant le décès et arrêtant 35 personnes pour un premier interrogatoire.
Maître Gill déclare à Fides : « Il s’agit d’une vraie tragédie, d’un acte barbare et inhumain. Le monde entier doit condamner avec fermeté cet épisode qui démontre combien l’insécurité pour les chrétiens a augmenté au Pakistan. Il suffit d’une accusation pour être victime d’exécutions sommaires. Nous verrons si quelqu’un sera puni pour cet homicide ». (PA (Agence Fides 04/11/2014)

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