Арво Пярт "Песнь Силуана", духовные стихи преп. Силуана Афонского "Скучает душа моя о Господе"
L'espoir fou de Maïti Girtanner
Hommage à Maïti Girtanner, résistante
« Quand j’ai commencé à faire de la Résistance j’avais conscience d’entrer dans une situation périlleuse. C’est pourquoi je ne pouvais pas m’attendre à ce que l’on me fasse de cadeau, de l’autre côté. (… ) Mais aussi la conscience, donnée par grâce, d’une mission à accomplir, si petite soit-elle. Même si c’est une mission de fourmi par rapport à l’immensité du désastre qu’était la France, écrasée et occupée. »
« Domine jusqu’au coeur de l’ennemi » Psaume 110, 2
« Deux désirs se sont imposés à moi, comme malgré moi. Le premier fut le désir fou de pardonner à celui qui m’avait détruite. Mais comment faire ? Etait-ce même possible ? Le second fut de chercher ce qu’il me restait comme possibilité de servir. Ces deux désirs ne m’ont jamais quittée. »
« Cela n’est pas quelque chose qui se fait comme ça, un miracle du jour au lendemain. Il faut le désirer longuement, il faut en avoir un désir fou, un désir qui est une grâce. »
Pendant 40 ans Maïti prie tous les jours pour cet homme, dès le début elle le porte dans sa prière. « Mais ne peut-on jamais savoir si l’on a pardonné ? » Elle ne s’appuie pas sur sa seule prière. Elle est consciente que « c’est là un passage dans le cur qui est très difficile [ ]. Je ne savais pas si j’y arriverais. Dans le cas où je n’y arriverais pas, je demandais à Dieu de le faire à ma place. Mon désir était là. »
Son deuxième désir, « fût de chercher ce qu’il me restait comme possibilité de servir. »
Sa quête, son jusqu’au bout’ ne fléchit pas malgré l’adversité, la souffrance et les épreuves. Son jusqu’au bout’ devient chemin de « Résistance » à l’intérieur d’elle-même.
La résistance au mal sous toutes ses formes est nécessaire, parce que « Dieu ne veut pas le mal, et c’est cela qui nous fait tenir »
Et elle ajoute « la souffrance est un mal et reste un danger permanent à ne pas sous-estimer. Pourtant sous son emprise qui ne se laisse pas oublier, rien n’est perdu… et finalement, ce n’est pas le mal qui gagne. »
Sa quête, son jusqu’au bout’ ne fléchit pas malgré l’adversité, la souffrance et les épreuves. Son jusqu’au bout’ devient chemin de « Résistance » à l’intérieur d’elle-même.
La résistance au mal sous toutes ses formes est nécessaire, parce que « Dieu ne veut pas le mal, et c’est cela qui nous fait tenir »
Et elle ajoute « la souffrance est un mal et reste un danger permanent à ne pas sous-estimer. Pourtant sous son emprise qui ne se laisse pas oublier, rien n’est perdu… et finalement, ce n’est pas le mal qui gagne. »
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