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http://www.amnesty.org/en/news/sudan-woman-facing-death-sentence-grounds-her-religion-must-be-released-2014-05-14
A heavily pregnant Christian Sudanese woman who could be sentenced to death by hanging for ‘apostasy’, and to flogging for ‘adultery’ should be immediately and unconditionally released, Amnesty International said ahead of the ruling expected tomorrow.
Meriam Yehya Ibrahim is eight months pregnant and currently in detention with her 20-month-old son.
“The fact that a woman could be sentenced to death for her religious choice, and to flogging for being married to a man of an allegedly different religion is abhorrent and should never be even considered. ‘Adultery’ and ‘apostasy’ are acts which should not be considered crimes at all, let alone meet the international standard of “most serious crimes” in relation to the death penalty. It is flagrant breach of international human rights law,” said Manar Idriss, Amnesty International’s Sudan researcher.
Meriam Yehya Ibrahim, a Christian Sudanese, was convicted on charges of 'apostasy' by a Khartoum court on Sunday and was given three days to recant her faith or face a possible sentence of death.
She was also convicted of ‘adultery’ on the grounds that her marriage to a Christian man from South Sudan is considered void under Shari’a law as practiced in Sudan, and is likely to be sentenced to up to 100 lashes.
Meriam was raised as an Orthodox Christian, her mother’s religion, because her father, a Muslim, was reportedly absent during her childhood. She was arrested and charged with adultery in August 2013 after a family member reportedly claimed that she was committing adultery because of her marriage to her Christian South Sudanese husband. The court added the charge of apostasy in February 2014 when Meriam asserted that she was a Christian and not a Muslim.
“Amnesty International believes that Meriam is a prisoner of conscience, convicted solely because of her religious beliefs and identity, and must be released immediately and unconditionally,” said Manar Idriss.
“The right to freedom of thought, conscience and religion, which includes the freedom to hold beliefs, is far-reaching and profound; it encompasses freedom of thought on all matters, personal conviction and the commitment to religion or belief”
“International law bars coercion that would impair the right to have or adopt a religion or belief, including the use of threat of physical force or penal sanctions to compel believers or non-believers to adhere to their religious beliefs, to recant their religion or belief or to convert.”
The criminalization of ‘adultery’ violates the rights to freedom of expression and association and invariably discriminates against women in its enforcement. The criminalization of ‘apostasy’ is incompatible with the right to freedom of thought, conscience and religion
Amnesty International opposes the death penalty in all cases without exception.
Je suis indignée par les Français musulmans à la Manif pour tous !
Je suis née en Iran, et j’avais 12 ans, en 1979, quand les ayatollahs ont pris le pouvoir. Je suis à présent française, et j’exprime, chaque fois que je le peux, mon amour de ce pays, de son peuple, qui a souvent montré aux autres le chemin de la liberté.
Je suis arrivée en France en 1985, j’avais 17 ans, et je redécouvrais le plaisir de ne plus porter ce voile qu’on m’imposait depuis 6 ans. Mes parents et moi n’avons jamais formulé la moindre récrimination, mais seulement des remerciements à ce magnifique pays, qui nous faisait l’honneur de nous accueillir.
Pour moi, la France, c’est aussi la beauté et la richesse de sa langue, et l’unité de sa République. Ma vision, c’est qu’un Breton se sente chez lui en Alsace, un Marseillais chez lui à Lille, un Basque chez lui dans le Jura, et qu’une Française née en Iran se sente chez elle partout dans l’Hexagone. Cela grâce, entre autres, à l’unité de la langue française sur l’ensemble du territoire.
C’est pourquoi, quand je vois une banderole, en tête de la Manif pour tous, avec ces mots, écrits en français et en arabe : « Les Français musulmans disent non au mariage homosexuel », je suis indignée à plusieurs titres.
Je le suis d’abord par le bilinguisme, dans un contexte où ce gouvernement, en préparant la ratification des langues régionales et minoritaires, veut, pour complaire à l’Union européenne, faire éclater le socle républicain, dont l’unité linguistique est un pilier. Certains régionalistes en seront ravis. Mais il faut être bien aveugle pour ne pas penser que l’arabe sera de plus en plus la deuxième langue dans certains départements français.
Quand je vois des tracts syndicaux ou politiques, voire des textes administratifs rédigés en arabe, je me dis qu’on est bien loin du témoignage du regretté Cavanna qui, dans ses livres, nous racontait que ses parents italiens lui interdisaient de parler leur langue dans la rue et lui imposaient le français. C’était cela, l’assimilation, et c’est ce qui a marché en France pour réussir à intégrer des strates de différentes immigrations, dont j’ai eu l’honneur de faire partie.
Je suis également indignée, en tant que femme, par cette banderole. Quelle crédibilité accorder, pour défendre la famille, à des personnes qui n’ont jamais condamné le mariage polygame, souvent imposé à des mineures ? Ces Français musulmans défendent donc les prérogatives de la famille musulmane, où l’homosexualité n’est pas tolérée, et absolument pas la conception de la famille française, d’une grande tolérance sur cette question.
Mais le pire n’est pas là. J’ai vécu l’enfer que les islamistes ont fait subir au peuple iranien. Je n’oublierai jamais cette Gardienne de la révolution qui, avec une punaise, a planté sur le front de mon amie un voile qui tenait mal. J’ai encore en tête des centaines de scènes de cauchemar, comme ce hammam réservé aux seules femmes, bombardé lors de la guerre Iran-Irak. Elles étaient encore vivantes et criaient sous les décombres. Les islamistes, plutôt que de les secourir, ont fait recouvrir le bâtiment par les pelleteuses, pour que les voisins ne voient pas des créatures impures et indécentes apparaître.
Alors, quand je vois des chrétiens français suffisamment candides pour laisser des musulmans, dont je connais les objectifs, prendre la tête d’une manifestation, je l’avoue, mon inquiétude est grande. Croient-ils vraiment, sous prétexte que des musulmans protestent contre le mariage pour tous, ou contre la théorie du genre, qu’ils sont – comme le disait Frigide Barjot au congrès de l’UOIF – l’espérance des Français ?
Mes amis catholiques me font penser à ces gens de gauche qui, il y a 35 ans, collaboraient avec l’ayatollah Khomeiny pour faire partir le shah. La plupart ont été exécutés, quand la victoire de la Révolution islamique était assurée. Je crois savoir de quoi je parle, et la progression de l’islam que je constate, tous les jours en France – et cette banderole me le confirme —, me rappelle trop ce que j’ai vécu en Iran dans mon enfance.
J’étais justement venue en France pour ne plus connaître cela…
http://www.lexpress.fr/resultats-elections/municipales-2014-saint-cyr-sur-mer-83270_413079.html
http://www.lexpress.fr/resultats-elections/municipales-2014-saint-cyr-sur-mer-83270_413079.html
Résultats des élections municipales 2014Saint-Cyr-sur-Mer (83270 - Var)
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Résultats du 1er tour
Tous les sièges ont été pourvus dès le premier tour.
Liste conduite par Philippe Barthélemy (UD)
51,88% (3 356 voix)
26 sièges attribués
Liste conduite par Elisabeth Lalesart (FN)
21,63% (1 399 voix)
3 sièges attribués
Liste conduite par Claude Giuliano (UDI)
14,62% (946 voix)
2 sièges attribués
Liste conduite par Philippe Serre (DVG)
11,87% (768 voix)
2 sièges attribués
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