"Colère noire" antisémite d'un détenu musulman ...

" Un soir, mon codétenu m’a parlé des Juifs et a proféré des injures antisémites. Je lui ai dit que, personnellement, je n’avais rien contre cette religion. Là, il est entré dans une colère noire. » Le lendemain, Antoine va payer ses déclarations. « En début de soirée, l’un des surveillants a fait entrer dans ma cellule un détenu d’à coté avec une lame d’environ 20 cm dans la main », décrit-il. Le surveillant, qui fait toujours l’objet d’une enquête administrative, est reparti en claquant la porte. Pendant une vingtaine de minutes, le jeune homme fait alors face, seul, à son codétenu et son complice : « Ils m’ont prévenu : Si tu ne te convertis pas, tu es un homme mort ».

Un prisonnier : «Si tu ne te convertis pas à l’islam, tu es un homme mort»
Incarcéré à Fresnes (Val-de-Marne), un prisonnier a subi les pressions et menaces d’un codétenu islamiste radical avant d’obtenir un changement de cellule.Témoignage.

Adrien Cadorel | Publié le 28.11.2013, 14h03

Protéger " Un papa, une maman" et soutenir le juge Fabrice Burgaud ( audience le 3 décembre), c'est protéger les enfants contre les pédophiles : cf...Matzneff

Le 3 décembre, Bertrand Tavernier sera jugé pour des propos pour le moins imprudents sur le juge Fabrice Burgaud, qui a eu la très lourde charge du procès d'Outreau et a TENTE DE PROTEGER LES ENFANTS. 
C'est l'occasion de manifester notre soutien à ce juge, victime lui aussi de la meute médiatique et de ceux que l'on nomme pédophiles et qu'il vaudrait mieux appeler tortionnaires d'enfants, une clique pédophile qui n'hésite jamais à massacrer les défenseurs des enfants, avec la même cruauté, le même acharnement, et le total cynisme qu'ils montrent envers les enfants. Quant aux opportunistes politiques, il vaut mieux pour eux que les archives de la chaine parlementaires est fait disparaitre les archives de la commission parlementaires où on les voit s'adresser avec arrogance et incompétence à ce jeune juge courageux.
VOIR ICI L'AVIS DU PR RASSAT : http://elisseievna.blogspot.fr/2010/03/fabrice-burgaud-lhonneur-dun-juge.html

Ce mois même, LA HONTE DU PRIX RENAUDOT  ATTRIBUE A MATZNEFF : personne ne demande que l'on interdise à Matzneff de publier bien évidemment, mais lui attribuer ce prix alors qu'il n'a en rien renié son  livre "les moins de seize ans" et les interviews données à son sujet est une honte.

Maztneff a le culot se proclamer chrétien  ... ses propos disent les tentatives de corrompre et pervertir le plus innocent et le plus sacré, d'accuser et d'humilier les mères les plus protectrices .

Et l'on veut nous faire croire que priver délibérement un enfant d'un de ses parents ou dispenser les parents de l'effort de vivre ensemble et de prendre soin l'un de l'autre tout en s'aidant pour élever leurs enfants, serait un bien ???
Et l'on veut nous faire croire que parler de respect de la dignité de l'autre dans les relations sexuelles, demander non pas l'interdit, mais la plus grande la prudence dans ce domaine, serait une exigence abusive et irréaliste, contraire au droit de faire "ce que je veux" et de s'amuser ...

La perversion est partout, dit "le diable", tu ne peux y échapper. La pédérastie est partout dit le professeur pédéraste, la prostitution est partout dans le mariage, disent la call-girl comme le client, la promotion canapé est partout, tu serais idiote de ne pas t'en servir, et de croire trouver un emploi en t'en dispensant, dit le harceleur.
Le mal c'est de vouloir autre chose que le mal, dit "le diable" : le mal c'est les familles "castratrices" qui protègent les enfants, dit le pédophile, le mal c'est les "ligues de vertu" qui "haissent la sexualité masculine" disent les prostitueurs ..





"  Une mère qui, veuve ou divorcée, élève seule son fils est moins hostile qu’une mère en puissance d’époux à une amitié entre le jeune garçon et un aîné. Dans la mesure du possible, je choisis mes petits amis dans les familles désunies, chaotiques, et je m’en trouve toujours bien. "

 Gabriel Matzneff, Les moins de seize ans, Paris, Julliard (Collection Idée fixe), 1974, p. 108

Le gosse, ce lingot d’or qu’on enferme dans un coffre-fort. La famille, ce bunker merdique.
Gabriel Matzneff, Les moins de seize ans, Paris, Julliard (Collection Idée fixe), 1974, p. 108 

Ce qui me captive, c’est moins un sexe déterminé que l’extrême jeunesse, celle qui s’étend de la dixième à la seizième année et qui me semble être — bien plus que ce qu’on entend d’ordinaire par cette formule — le véritable troisième sexe.
Gabriel Matzneff, Les moins de seize ans, Paris, Julliard (Collection Idée fixe), 1974, p. 21 

Beaucoup de pédagogues (instits, moniteurs, chefs scouts) sont des pédérastes, — parfois actifs, le plus souvent refoulés. C’est un prof qui l’avoue : « Tout désir d’éduquer est désir pédérastique perverti » (1). Cependant, motus et bouche cousue, ce ne sont pas des trucs qui se disent dans une société, la nôtre, dont l’une des colonnes d’Hercule est l’illusion que les chères têtes blondes (et brunes) ne peuvent être ni tentantes ni tentées.
(1) René Schérer, Émile perverti, Paris, 1974.
§  Gabriel Matzneff, Les moins de seize ans, Paris, Julliard (Collection Idée fixe), 1974, p. 31 (voir la fiche de référence)

J’ai horreur de Socrate, de Platon, de toute la mélasse sublime dont ils enrobent le désir et le plaisir, j’ai horreur de la pédérastie à prétentions pédagogiques. On peut caresser un jeune garçon sans se croire obligé de lui donner une leçon de maths ou d’histoire-géo dans la demi-heure qui suit. Et qu’on ne nous casse pas les pieds avec l’amour des âmes. L’âme, ça n’existe pas, et si ça existe, ça n’existe qu’incarné, chair dorée, duveteuse.
Gabriel Matzneff, Les moins de seize ans, Paris, Julliard (Collection Idée fixe), 1974, p. 3


Je sais que j’ai la meilleure part, et qu’elle ne me sera point enlevée.
Gabriel Matzneff, Les moins de seize ans, Paris, Julliard (Collection Idée fixe), 1974, p. 69 


Ce qui m’impressionne chez les très jeunes, c’est au contraire leur capacité de don total de soi, leur abandon sans réserve à l’être aimé. Un adolescent amoureux ne compose pas avec l’amour, il a foi en l’absolu de la passion, il s’y livre entièrement. Cela est si vrai que le seul argument sérieux contre l’amour des moins de seize ans me paraît être que lorsque nous allumons un feu dans le cœur de l’un d’eux, nous ne savons pas si, passée la frénésie sensuelle des premiers jours ou des premières semaines, nous aurons encore envie d’alimenter ce feu, nous ne savons pas davantage si nous serons alors capables de l’éteindre. Détacher un/une gosse de soi est parfois plus difficile que de se l’attacher. Une femme, à la rigueur, on la prend, puis on la jette ; mais c’est un jeu qu’à moins d’être un salaud on doit s’interdire avec les très jeunes. Quinze ans est l’âge où l’on se tue par désespoir d’amour, ne l’oublions pas.
Gabriel Matzneff, Les moins de seize ans, Paris, Julliard (Collection Idée fixe), 1974, p. 56-57

1.4 Les moins de seize ans, Les passions schismatiques, Scheer, 2005


 

Gabriel Matzneff : Les moins de 16 ans par FrenchCarcan

A Lire  :

De l’amour et du crime, du sexe et des enfants



Marion Sigaut à propos du décès de Patrice Chéreau par ERTV


OUTREAU et l'acharnement contre un juge Burgaud protecteur des enfants :




Retour à Outreau 5/16 - Le juge burgaud - J... par pedopolis

Le juge Burgaud poursuit Bertrand Tavernier : Audience à 13H30 le 3 décembre prochain à la 2e chambre du tribunal de grande instance de Paris. Le 10 avril dernier, sur le plateau de l’émission « C à vous » sur France 5, le réalisateur Bertrand Tavernier évoquant le film « Présumé coupable » avait notamment déclaré, faisant allusion à Fabrice Burgaud : « C’est quelqu’un que vous avez envie d’exécuter, le juge d’Outreau. »

NON Bertrand Tavernier ! Quand on a vu la commission parlementaire auditionner le juge Burgaud, et la façon convaincante dont il a répondu, et la morgue des parlementaires, c'est pour le parlement que l'on a honte !

A lire aussi sur Outreau :
http://www.letemps.ch/Facet/print/Uuid/c5c4486a-5e4f-11e1-9d26-32e99746e1f6/Deux_acquitt%C3%A9s_dOutreau_condamn%C3%A9s_pour_violences
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FRANCE Jeudi 23 février 2012

 Franck et Sandrine Lavier, des «acquittés d’Outreau ». Les yeux étaient donc braqués sur le tribunal de Boulgne-sur-Mer, qui a rendu, jeudi, un verdict clément: il a retenu les « violences habituelles » mais pas la « corruption de mineurs » contre le couple dont les deux cadets -10 et 11 ans-avaient fui les mauvais traitements en se réfugiant chez une ex-famille d’accueil.

Lors d’une perquisition, la police avait alors découvert des vidéos « festives » où les Lavier et des amis mimaient des actes sexuels devant leurs enfants. Ce comportement est moralement répréhensible, ont considéré les juges. Mais la volonté de corrompre les mineurs n’est pas prouvée. Les époux Lavier écopent d’une peine de dix et huit mois avec sursis et leurs amis des vidéos sont relaxés.
A l’issue du procès, en janvier, Me Emmanuelle Dehée, avocate des enfants, espérait que les adultes mis en cause seraient au moins reconnus coupables d’exhibitionnisme: «Mimer des partouzes en famille, c’était une habitude. Il n’y a chez ces personnes aucun respect de l’intimité des enfants.» Malgré tout, l’avocate se félicitait de voir cette affaire traitée « dans des conditions sereines ».
Les coups et les mauvais traitements subis par la fillette et le garçon Lavier sont, quant à eux, reconnus par leurs parents eux-mêmes. Les photos produites au procès montrent les blessures causées par des heures passées à genoux sur un balais en guise de punition. Des chambres aux lits défoncés et aux matelas trempés d’urine, sans poignée du côté intérieur mais munies de caméras de surveillance. Des clichés pour l’exemple, où l’on voit la petite fille avec une culotte sur la tête, souillée d’excréments.



OUTREAU LA VERITE ABUSEE

- Marie-Christine Gryson-Dejehansart -

L'affaire d'Outreau

et ses durs

enseignements



Site du professeur Jean-Yves Hayez

Pédopsychiatre, docteur en psychologie, professeur émérite à l'Université catholique de Louvain ( Belgique)


En 2004, avec Alain Lazartigues, j'ai publié Les durs enseignements d'Outreau, Le carnet psy, 2004, 22, 34-37. L'article a aussi paru dans la revue : Enfances § Adolescences, 2005/1, 66-72.
Vous en trouverez l'essentiel ci-dessous ... ce sont nos impressions de cliniciens, qui ont été associés de loin aux événements, sans implication directe. En 2009, nous ne les renions pas.

En 2009 cependant, vient de sortir un livre que je considère comme un événement. Il s'appelle Outreau, la vérité abusée, et a été écrit par Marie-Christine Gryson-Dejehansart, une des expertes principales de l'affaire, très injustement contestée par la suite. A mon sens, ce livre remet les pendules à l'heure et je vous en conseille vivement la lecture.
J.-Y. HAYEZ. 

La lutte contre l'erreur judiciaire est, pour nous, un seul et même combat. Que la victime de cette erreur soit un innocent injustement condamné, ou qu'elle soit un enfant abusé auquel la justice refuse la reconnaissance de son traumatisme. Il serait à la fois absurde et illégitime d'opposer ces deux revendications d'une vraie justice.


La tempête qui s’est déchaînée la semaine du 17 mai 2004 depuis le Tribunal de Saint-Omer, à propos de l’affaire dite d’Outreau, nous rappelle sinistrement les moments de misère de notre condition humaine commune.

La tempête qui s'est déchaînée la semaine du 17 mai 2004 depuis le tribunal de première Instance de Saint-Omer, à propos de l'affaire dite d'Outreau, nous rappelle sinistrement les moments de misère de notre condition humaine commune.

Elle n'en arrête pas de souffler. Un autre moment très fort a été l'acquittement général des adultes qui restaient incriminés, ce 01/12/05, par la cour d'appel de Paris, avec les excuses publiques du plus haut magistrat de France : du jamais vu, de mémoire d'homme ! . Et ce n'est pas fini : une commission parlementaire d'enquête vient de se mettre en place, début 2006.

Plus qu'une tempête, un tsunami d'indignation ! L'émotion générale est très forte, et l'on peut redouter que ne s'installe, pour apaiser celle-ci, l'une ou l'autre chasse aux sorcières : l'expert Viaux pourrait bien en faire les frais, surtout pour quelques mots malheureux qu'il a prononcés, alors que c'est une personnalité de réputation internationale ... Oui, des adultes sont capables de mentir ou de fabuler (1) , pas nécessairement par haine de ceux qu'ils enfoncent ni même par profit matériel : c'est au moins aussi souvent la peur, le besoin de se mettre en évidence, la lâcheté et la recherche de la moindre punition ou encore la honte et l'effroi à l'idée de se rétracter, qui les entraînent à dire faux, et parfois obstinément. Dans le secret de son âme, lequel de nous oserait-il prétendre qu'il n'a jamais cédé à cette tentation ?

Oui, les enfants et les adolescents sont porteurs de cette même capacité ; encore plus que les adultes, ils sont à risque de se laisser suggestionner par autrui ; surtout lorsque « autrui », c'est un personnage important de leur vie, par exemple un parent qu'ils redoutent ou dont les émotions les bouleversent, quelqu'un dont ils ne veulent pas perdre l'amour ou même qu'ils croient pouvoir aider et sauver par leurs affirmations. On les voit alors vouloir faire passer pour vrai du complètement fallacieux ou, au moins aussi souvent, on les voit s'embrouiller, en remettre, présenter des mélanges confus où s'entremêlent inextricablement lambeaux d'objectivité et fabulations ... alors, si, en plus, on les croit tout de suite à 100%, sans les aider à autocritiquer leurs dires, ils se sentent prisonniers de leur propre parole, condamnés à s'obstiner pour ne pas connaître le désaveu, la honte et la punition.

Oui des magistrats ou des experts sont faillibles, comme n'importe quel professionnel, comme n'importe quel être humain sont faillibles ; ils peuvent se tromper de bonne foi ou se laisser emporter par la fausse générosité des idéologies ou par l'orgueil et le refus de principe de faire jamais marche arrière. Les conséquences de ces erreurs et de ces manquements humains peuvent être tragiques, jusqu'à faire exécuter des innocents ou briser des vies ... ou jusqu'à rejeter en bloc tout ce que disent et diront à l'avenir ceux qui se sont égarés une fois et les rejeter plutôt que les aider. Il est donc de notre devoir de réfléchir aux valeurs, attitudes et moyens qui réduisent le plus ces risques.

Une constatation de terrain. 

Néanmoins et préalablement, en nous refusant de faire chorus avec le déchaînement des émotions collectives, il nous faut réaffirmer une constatation que notre expérience de terrain nous a toujours confirmée : l'enfant qui prend l'initiative de révéler un abus sexuel qu'il a subi dit souvent vrai, au moins pour l'essentiel de ce qu'il relate ; les fois où il ment, fabule totalement ou en en rajoutant, délire ou se trompe de bonne foi sont rares. Nous nous référons ici à l'enfant qui, en dehors de toute pression d'un tiers porteur d'emprise sur lui, va trouver une personne qui a sa confiance, souvent longtemps après que les faits aient eu lieu ou aient commencé - Dame ! Il a besoin de bien du courage pour hasarder sa démarche -. Il prend alors la très lourde responsabilité de mettre en cause un abuseur souvent plus puissant que lui, parfois même un parent ... et il s'avère capable de raconter avec des détails concrets plausibles et avec émotion le malheur qui lui est tombé dessus : dans un tel contexte et dans la majorité des cas, ce qu'il raconte est vraiment arrivé pour l'essentiel et il ne commet pas d'erreur sur la personne qu'il met en cause ... par la suite, plus on met de temps à le protéger efficacement et plus on multiplie les interrogatoires de cet enfant, plus sa mémoire s'effrite et se trompe sur des détails, plus il commence à avoir peur de ce qu'il a dit, et plus il est contaminé par l'inévitable dimension suggestive de certaines questions : alors oui, il peut se rétracter à tort ou s'embrouiller plus considérablement, d'autant qu'il est plus jeune.

Il existe bien sûr des exceptions à cette constatation statistique, et nous ne proclamerons donc pas que, même dans ce contexte, tout enfant dit toujours toute la vérité : même en dehors de pressions faites par autrui, on a vu, surtout autour de l'adolescence débutante, des jeunes accusateurs secrètement haineux en quête de vengeance, d'autres qui voulaient se rendre intéressants à n'importe quel prix, et d'autres encore qui justement en voulaient intensément à tel adulte de les avoir éconduits, au point de lui attribuer à lui les passions et désirs sexuels qu' eux, les jeunes, vivaient. On a vu aussi des tous petits se tromper spontanément de bonne foi et donner une connotation sexuelle à un geste de nursing ou de tendresse innocent. Mais l'arbre ne doit pas cacher la forêt : ce ne sont là que des situations minoritaires.

C'est lorsque des pressions existent autour de l'enfant qu'il faut encore se montrer plus prudent, sans nécessairement enterrer ipso facto ce qu'il dit : au contraire, l'investigation doit être menée avec plus de délicatesse, de compétence et de minutie que jamais ! Nous pensons par exemple aux séparations parentales difficiles et aux tous petits qui sont questionnés de façon soupçonneuse, voire inspectés corporellement lors des retours de séjour chez l'autre parent. Mais nous pensons aussi aux accusations collectives, entre autres en milieu scolaire, où une pression, même involontaire, peut émaner du regard des pairs, face auxquels on peut difficilement revenir en arrière ... Oui, dans de telles circonstances, le risque augmente : en mentant sciemment ou en fabulant, l'enfant ici concerné peut complètement « inventer » une histoire d'abus ou il peut amplifier la gravité de ce qui est arrivé et le nombre de personnes impliquées ... néanmoins, l'inverse existe aussi, et probablement bien plus fréquemment : on connaît des responsables de collectivité qui s'en prennent, des années durant, aux plus fragiles des gosses sous leur tutelle, avec la tyrannie d'une dure loi du silence qui pèse sur tous. Ces vécus de l'enfant ayant été rappelés, il nous faut évoquer les risques puis les enseignements que l'affaire d'Outreau pourrait entraîner.

Les risques, pour commencer. 

Il y a d'abord celui du débordement de l'indignation collective, toute compréhensible que celle-ci soit en la circonstance. Si elle s'emporte, on pourrait bien amplifier une chasse aux sorcières sournoisement démarrée il y a quelques années : on pourrait vouloir abattre ceux qui, de bonne foi, essaient de protéger les enfants qui se plaignent à eux. Ce Mac carthysme à l'envers n'est pas une vue de l'esprit : ainsi en France, jusque récemment, différents sièges de l'Ordre des médecins s'en sont-ils trop souvent pris à des praticiens, même chevronnés, ( C. Bonnet ; C. Spitz ; P. Sabourin, etc. ) alarmés par la détresse de leurs petits patients et simples auteurs de signalement. Ca a été inacceptable à un tel point que Jean-Miguel Petit, commissaire des Nations Unies pour les droits de l'homme, chargé d'examiner la situation globale de la maltraitance en France, s'en est ému dans son rapport de synthèse de 2002 ( Cfr « A la Commission des droits de l'Homme de l'ONU, inquiétude sur le face-à-face des enfants victimes et de la Justice française »)

En Belgique, certains se sont déjà ingéniés à faire un amalgame entre la situation d'Outreau et les « affaires » du collège Saint-Pierre et de la crèche Clovis : or, dans ces deux derniers cas, si la vérité judiciaire a été celle d'un non-lieu - ce qu'il s'agit de respecter dans un esprit d'apaisement et d'humilité citoyenne -, les investigations ont été correctement menées, les procédures bien respectées et surtout, aucun suspect de l'époque n'avait été indûment privé de sa liberté.

Dans le même ordre d'idées, on risque d'encore exagérer l'ampleur du problème des fausses allégations d'abus sexuel dans le contexte de la séparation parentale. Or, les études bien documentées montrent que de telles suspicions d'abus ne sont invoquées que dans 5 à 6 % des situations de séparation ... Certes, c'est déjà beaucoup, mais de nombreuses études montrent également que ces accusations sont fondées environ une fois sur deux ... non pas que tous les ex-conjoints se transforment soudain en pédophiles invétérés ... mais entre cet extrême rare et celui du dérapage occasionnel d'un adulte en manque, ou la surgescence du besoin de « salir » l'enfant tant chéri par le parent gardien ... il y a place pour quelques variantes.

Mais surtout et plus radicalement, l'affaire d'Outreau va être une très mauvaise chose pour la cause des enfants en difficulté. Comme vient de le dire un des avocats de la défense, elle risque bien de nous ramener vingt ans en arrière.

Il a souvent existé dans l'Histoire des mouvements de balancier entre la place positive qu'on reconnaît aux enfants et le crédit qu'on leur accorde, d'une part, et l'ignorance de leurs besoins et souffrances de l'autre (2) Jusque vers 1995, on a eu tendance à prendre très largement en considération les accusations de maltraitance qu'ils dirigeaient vers les adultes ... mais voilà, avec tous leurs cris, ils ont commencé à l'encombrer et à le déstabiliser, l'ordre adulte ... alors aujourd'hui, on enregistre toujours leurs plaintes, certes, on prétend même avoir amélioré les techniques de leur audition ... mais ensuite, que se passe-t-il vraiment sur le terrain de l'aide et de la protection (3)  ? Quelques têtes d'adultes que l'on continue à faire tomber spectaculairement ne dissimulent-elles pas beaucoup d'inertie et d'agacement pour une majorité plus significative des cas ? La bureaucratie et la recherche d'homéostasie de la société des adultes ne sont-elles pas occupées à reprendre le dessus ? Et le plus haut magistrat de France, de Belgique ou d 'ailleurs viendra-t-il un jour présenter ses excuses pour ces milliers de petites victimes éconduites, et souvent renvoyées auprès de leur abuseur triomphant d'impunité ?

Alors, Outreau, bonjour les dégâts ! Nous pensons au risque d'une non-écoute radicale, soi-disant parce qu'on aurait trop « sacralisé » la parole des enfants ces derniers temps. Mais nous pensons surtout à ces enfants dont le discours comporte un mélange très enchevêtré de vrai et d'exagérations : eux entre autres, sont à risque de faire les frais de la maxime « On jette le bébé avec l'eau du bain » : ils ont indisposé ; c'est compliqué de démêler l'écheveau de leurs dires et ils pourraient bien être rejetés en bloc à l'avenir ... La Belgique, elle a déjà opté pour la simplification radicale : dans le cas bien connu de Régina Louf, où se mélangent probablement lourds éléments de réalité et faux souvenirs ( false memories ), malgré que des faits graves aient été bel et bien reconnus et que les rapports psychiatriques soient très nuancés, on a fait courir la rumeur qu'elle était complètement folle et qu'il fallait en finir avec elle ... et on n'investigue plus rien.

Enfin, il nous reste à tous de sérieux efforts à faire pour nous discipliner face à la tentation du voyeurisme indécent. Dans l'affaire d'Outreau comme dans d'autres, des huis-clos n'ont pas été prononcés là où ils auraient dû l'être, du moins en première instance, et une certaine presse a jeté en pâture à ses lecteurs de larges extraits précis de l'audition des enfants. C'est proprement scandaleux.

Et les leçons à tirer ? 

En exergue, je voudrais citer Monsieur le Conseiller à la Cour d'appel de Bruxelles Patrick Mandoux, qui nous invite à la sagesse et à garder la tête froide : « Oui, ces paroles (d'enfants) ont la même valeur ( que les paroles d'adultes ) Encore faut-il pouvoir comprendre la parole des enfants. Là, il faut voir l'apport de toutes les sciences qui nous aident à décoder les paroles des enfants. Mais cela s'applique aussi aux adultes. Il faut également pouvoir décoder pour comprendre ce qu'ils ont voulu dire. La vigilance du juge doit être constante. Il ne faut surtout pas se laisser persuader par des évidences » (4) 

Comment alors se mettre dans les meilleures conditions pour donner toute leur valeur à ces paroles, d'interprétation parfois si difficile ?

Se pose d'abord et avant tout ici, une fois de plus, la question de la compétence des personnes chargées de recueillir ces témoignages verbaux, et au-delà, d'investiguer les autres éventuels éléments de preuve chargés de les pondérer positivement et négativement. Nous y reviendrons dans le dernier paragraphe en parlant explicitement des experts. La compétence s'appuie aussi, faut-il le rappeler, sur l'expérience acquise, les premiers pas étant rigoureusement supervisés par des « seniors » bienveillants et riches de leurs connaissances et de leur expérience de terrain. Elle gagne encore en qualité lorsque elle procède d'une réflexion pluridisciplinaire ; une réflexion qui soit une véritable mise en commun, chacun y amenant les richesses de ses méthodes propres et de la lecture de l'humain que fait sa discipline, et en assumant les manques ... Certes, en fin de compte quelqu'un, personne physique ou morale, doit décider ... Mais quel appauvrissement quand celui qui décide, c'est un petit tyran qui s'est contenté de lire les rapports écrits des autres et de n'en prendre que ce qui lui convenait ...

A supposer que l'on dispose de cette équipe pluridisciplinaire potentiellement compétente, il faut alors mettre dans de bonnes conditions l'enfant et l'adulte qui doivent parler, pour qu'ils aient envie d'aller au plus profond d'eux-mêmes.

Limitons-nous à rappeler quelques éléments essentiels de l'ambiance et de l'organisation du travail :

a) On a déjà dit et redit, à ce propos, combien il est important que les entretiens d'audition ne soient pas répétées. Donc, mieux vaut vidéo filmer le premier d'entre eux, mené avec un bon interviewer et dans des conditions fiables. Oui, certes, mais à condition que les avocats de l'abuseur suspecté ne fassent pas un usage pervers de cet enregistrement : qu'ils ne trouvent pas dans ses quelques inévitables failles l'occasion de mettre l'interviewer et l'enfant KO d'un seul effet de manche à l'audience, en arguant sur le côté imparfait des discours : précisément, cet enregistrement n'a pas pour intention de constituer une preuve objective, mais un élément d'appréciation, inévitablement imparfait, comme toute oeuvre humaine (5) 

b) On ne dit pas assez combien il est impératif et urgent de mettre en place des procédures d'écoute très rapides pour les tous petits : comment peut-on imaginer qu'un discours d'enfant de moins de six, sept ans soit encore décodable après trois mois passés et cinq interviewers différents ?

c) Faut-il ajouter à cet arsenal de méthodes une confrontation directe entre l'enfant et la personne qu'il accuse ? A Outreau, on s'est plaint que le magistrat ne l'avait pas mise en place. Nous sommes cependant des plus sceptiques sur la contribution que la confrontation peut apporter à une meilleure connaissance de la vérité : pour beaucoup d'enfants « normaux », c'est d'abord et avant tout une expérience de très grande angoisse, qui les pousse à se rétracter. Quant aux plus fabulateurs, enfermés qu'ils sont dans leur volonté de convaincre, rien ne prouve qu'ils vont s'y laisser démonter ! La confrontation indirecte, par vidéo interposée, est peut-être un peu moins anxiogène, mais les enjeux y sont identiques.

Pour terminer, et même si cela semble un lourd pavé dans une mare plutôt bouillante, nous nous permettrons d'exprimer notre perplexité face à la forte pression contemporaine qui voudrait que tous les cas suspects d'abus sexuel soient signalés et traités judiciairement. Les arguments avancés pour y procéder sont qu'il s'agit bel et bien de délits - mais la grande majorité des délits d'une société restent pourtant « ignorés » des tribunaux, même quand des tiers en sont témoins ! - ; on invoque aussi une hypothétique meilleure efficacité dans le « traitement » des cas, et la nécessité que, dans une société démocratique, ce soit l'institution judiciaire qui « dise » toujours la Loi.

Il nous semble cependant que l'on peut raisonner autrement sans pour autant être pervers. Pour des raisons pragmatiques d'abord : dans beaucoup de pays, les tribunaux sont saturés par des suspicions d'affaires de mœurs et ne peuvent plus les suivre à un rythme efficace. Pour des raisons plus profondes ensuite : il existera toujours un hiatus entre le raisonnement judiciaire, prudent, pesant le pour et le contre, naviguant entre le principe de respecter la présomption d'innocence et celui de sanctionner les délits avérés et de rendre justice aux victimes ... Dans cet inévitable état d'esprit, beaucoup de « vérités judiciaires » aboutiront encore à des non-lieu, tout au plus au bénéfice du doute ...

Alors ? Alors, sans prôner cette attitude d'extrême droite que serait la vengeance directe, ne peut-on pas vraiment apprendre aux enfants à mieux se protéger directement ? Ne peut-on pas encourager le tissu familial et social de première ligne à mieux les protéger sur place, sans faire tout de suite appel aux institutions les plus spécialisées ? Ne peut-on pas réserver l'intervention de celles-ci aux cas les plus odieux, les plus rebelles, les plus violents ?

Considérations particulières sur l’expertise psychologique dans le contexte pénal de l’abus sexuel. 

I. Les connaissances requises. 

Procéder à l'expertise psychologique d'un enfant présumé victime d'abus sexuel ( et de son environnement ) demande un supplément de connaissances spécifiques. Un psy « généraliste », même chevronné, risque de passer à côté d'indicateurs préoccupants, d'interpréter erronément des signes banaux si pas des symboles généraux, de ne pas poser les questions précises nécessaires ni d'encourager l'enfant à aborder certains thèmes ( par exemple angoisses à propos de l'altération du corps ) Celles et ceux qui acceptent d'être experts devraient donc d'abord avoir suivi des suppléments de formation spécialisée : ainsi, ils connaîtront mieux la psychologie et les comportements de l'enfant abusé et la dynamique des relations entre lui, sa famille et les adultes. Ils sauront aussi comment son comportement évolue au fil du temps et, entre autres, comment il évolue en référence aux interventions professionnelles qui se succèdent : il est rare qu'elles soient vécues d'une manière globalement positive et qu'elles n'entraînent pas une traumatisation secondaire qui a elle-même des effets de rétroaction sur le discours de l'enfant ( et de sa famille !)

Mais il y a plus : l'expert crédible doit utiliser comme référence principale des instruments d'observation et d'analyse qui font un large consensus dans le monde scientifique. Instruments qui devraient d'ailleurs être connus, d'une manière plus théorique et générale, par les partenaires professionnels de l'expert, notamment les policiers et les magistrats et constituer ainsi une référence commune. Or, il n'existe à notre connaissance que l'un ou l'autre de ces instruments, qui font un large consensus international ; ils se copient largement et le plus paradigmatique, en ce qui concerne la dynamique de la relation enfant-expert, c'est l'entretien non-directif par étapes successives de Yuille. En ce qui concerne l'analyse du discours et du comportement de l'enfant et l'analyse du contexte, c'est la grille SVA (« Statement validation analysis » ou Analyse de la validité des déclarations ) Elle a été créée par le même Yuille et légèrement transformée par la suite. Celles et ceux qui rejettent ce type d'instrument et n'invoquent que leur large et réputée expérience clinique et leur formation générale ne devraient pas être choisis comme experts dans le champ qui nous occupe ici.

II. Qu’attendre de l’expert ? 

A. Qu'il s'engage personnellement, en référence à l'intime conviction qui émane de ses connaissances et de son observation spécialisée. L'intime conviction, c'est parfois de douter, parfois d'être raisonnablement convaincu que non, et parfois que oui. Il doit pouvoir le dire, en son nom personnel, sans se prendre pour Dieu qui peut tout affirmer, mais sans non plus laisser le magistrat face à un fatras d'éléments techniques dont il aurait à faire lui-même la synthèse : l'expert n'est pas un enquêteur, et sa mission n'est pas de trouver des preuves mais elle n'est pas non plus d'avoir la langue de bois. Si, en référence à un travail sérieux et à une analyse via instruments valables, il a l'intime conviction que tel enfant a été abusé de telle manière, et que ça ne peut être que par son père, comme l'enfant l'affirme, qu'il le dise comme une conviction personnelle, ni plus ni moins. Si, au terme de son travail, il a des raisons de douter, qu'il expose en détails le pour et le contre, mais, en tout état de cause, qu'il rende compte clairement du résultat de son cheminement intérieur : ceci constituera pour le Tribunal un élément de réflexion parmi d'autres et une aide utile pour le jugement qu'il doit prononcer !

B. Par ailleurs, l'expert doit garder sa liberté et ne pas accepter n'importe quelle mission ! Il sait à l'avance que certaines sont susceptibles d'apporter du fruit et que d'autres seront probablement stériles, voire traumatisantes pour l'enfant (et sa famille) : pensons par exemple aux expertises demandées tardivement dans le processus d'instruction judiciaire, ou à celles qui constituent une nième épreuve identique. Face à ce type de problèmes, mieux que de réagir au cas par cas, l'expert - ou mieux encore, la communauté des experts - pourrait s'engager politiquement - au sens large du terme ! - et dialoguer avec l'institution judiciaire pour que la fonction d'expertise soit positionnée et organisée le mieux possible dans le processus d'instruction. Certains progrès ont déjà été réalisés comme, par exemple, l'audition filmée de l'enfant par un policier censé être expérimenté, processus bénéficiant de l'accompagnement par un psychologue du Parquet qui analyse ensuite le document filmé. Pour chaque cas instruit, ceci ne pourrait-il pas constituer le centre de la fonction d'expertise ?

Si des devoirs d'expertise supplémentaires sont demandés ultérieurement, que ce soit à la demande d'un juge ou d'un avocat, on pourrait procéder comme suit : le nouvel expert désigné analyse d'abord le document filmé et le premier travail réalisé par l'expert du Parquet. Ensuite, il décide si, oui ou non, il est opportun qu'il rencontre l'enfant et/ou tel ou tel membre de sa famille. Le premier effet de cette latitude de choix pourrait être de protéger l'enfant de répétitions qui le traumatisent quasi-inévitablement, lorsque celles-ci sont évaluées comme inutiles. Mieux encore, s'abstenir de procéder à la énième évaluation permettra souvent à l'enfant de conserver plus clairement et plus sereinement ses idées personnelles puisque, cette fois, les adultes ont l'air de croire ce qu'il a déjà dit ( ... et redit )

- Notes - 

(1) Fabuler, c'est se raconter une fable à soi-même, en s'autosuggestionnant ; croire plus qu'à moitié qu'elle est largement ou totalement « objective », sans accepter que se déploie quelque sens de l'autocritique, ici mis en veilleuse ; c'est se laisser emporter par son imagination, et s'y accrocher ... jusqu'à un certain point. Le fou qui délire, lui, est totalement persuadé de l'authenticité objective de son délire et incapable d'autocritique.

(2) C. Bonnet, L'enfant cassé, Albin Michel, 1999.

(3) Pour plus de détails, se référer à mon livre « La sexualité des enfants », paru aux éditions Odile Jacob (2004), pages 179 et suivantes.

(4) Patrick Mandoux, « Il faut se méfier des évidences », Le Soir, 22 et 23/05/04, page 7.

(5) Il est normal qu'un enfant fiable fasse quelques petites erreurs de détail ; il est normal qu'un interviewer, qui reste un être humain, ne soit pas parfait dans sa manière de poser les questions.

Le Pape ment sur l'islam

Je ne peux pas croire que le Pape François soit ignorant au point d'ignorer la fausseté de ce qu'il affirme dans son exhortation intitulée "Evangelii Gaudium" ("La joie de l'Evangile") rendue publique aujourd'hui.

Il  y écrit  page 142 :  " le véritable Islam et une interprétation adéquate du coran s'opposent à toute violence".

Le chef de la chrétienté d'occident aurait pu au moins se taire.

Pour comparer on se rappellera que les évangiles montrent un Jésus qui ne mâche pas ses mots quand il a une critique à faire à l'interprétation ou l'attitude des notables de son temps.


Voici ci dessous toute une série de témoignages d'ex-musulmans, y compris des oulémas et des imams, devenus chrétiens, mais il existe aussi des musulmans qui abandonnent l'islam tout en restant juste croyants, sans devenir pour autant chrétiens ou juifs ou autre, d'autres deviennent athés.


Dr.Mark Gabriel, Former Muslim Imam's journey to Christ - 


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2 3 4 5 Nadereh, Former Muslim's Conversion from Islam to Jesus Christ. Why I Left Islam - Kamran Imams convert to Christ Muslim Leader found Lord Jesus Christ....Dr Daniel Shayesteh Dr Daniel Shayesteh is the director of the inter-denominational organisation" Exodus from Darkness". He was deeply involved in the Iranian Revolution (1979) as a leading Muslim political leader and teacher of Islam and religious philosophy. He was saved wonderfully through Christ, when he escaped to Turkey after falling out of favour with Ayatollah Khomeini's political group. Worlds Apart is an Al Hayat TV production. Their contact details are as follows: phone: +61 469 083 946 email: info@alhaya.tv Amy was born in Muslim family in Syria. At age of 18, her family moved to Egypt. She went to school in Europe. She renounced her faith when she moved to Egypt. She'd never had peace in her heart until she saw Jesus in her vision at the moment she was planed to do surgery next day. Amy could found peace and love in Jesus Christ. http://www.cbn.com/700club Toll Free Prayer Line: 800-759-0700 Jerry Rassamni was born in Lebanon who was watching Civil war when he was young. He hated Christians and became a member of Jihad army to kill Christian. Then, he had an opportunity to come to United States. He met a girl and falling in love with her who was a Christian. He studied Bible to convince that Islam is truth. But he found the truth in Jesus Christ. Afshin was born in 1972 in southern Iran in a city called Abadan. His earliest childhood memories was the islamic revolution in 1979. When he was about 8 years old he remembers a plane flying about 40 feet above his head and a few seconds later there was a loud sound and the ground shook. This was the first bomb dropped by the Iraqi Airforce. At this point they got into a car and left everything they owned and went to a city about an hour away. When the Iraqi's advanced they had to move four more times before they had to leave the country in 1987. As a 15 year old he crossed the dessert walking into Pakistan and witnessed the poverty in Pakistan. From 1990-1992 he spent time in Bangladesh as a missionary while waiting to move to Canada. He is now the founding member of I AM Thirsty Ministries in Vancouver. Afshin is happily married and recently renewed his wedding vows for his 15th year anniversary. Afshin and his wife have four beautiful children. Biography from Afshin Javid Website: http://www.afshinjavid.com/ Full Circle: Zak Gariba Pastor --Jubilee Celebration Centre - former Nigerian Imam is now a Christian pastor in Orillia. www.OrilliaJubileecc.org A devout Muslim from Saudi Arabia, Al Fadi was no match for the transforming love of Jesus Christ!! See what happened! http://www.cbn.com/700club 800-759-0700 - Toll Free Prayer Line


Et le jihad commence à la cathédrale de Saint Denis : des sans-logis, certes, qui comme par hasard viennent de pays musulmans et ne se refugient pas dans une mosquée ...  pendant que l'on importe des immigrés sans logis, en partie pour les exploiter au noir, des mosquées sont financées sur fond public, des églises sont abattues faute de réparations ...

Apprenez de Umar Mulinde, ou pourquoi il est totalement insupportable de voir manoeuvrer le racisme anti-noirs

http://elisseievnatome2.blogspot.fr/2013/10/pasteur-umar-mulinde-sur-linvasion-de.html

Fondamentalistes juifs

Halte aux PROVOCATEURS : Roland Hureaux a raison sur Taubira


 Joshua Fit The Battle Of Jericho 


Je partage l'avis de Roland Hureaux, mais il ne faut pas sous estimer la part de simple bassesse des dits "c .." qui ne demandent qu'un semblant de prétexte pour s'exprimer. 
Ce qui me parait le plus insupportable, n'est pas qu'une femme politique soit insultée, ce sont après tout les risques du métier, mais c'est qu'à travers cette femme noire, ce sont quantité de noirs qui sont heurtés : 
j'ai rarement entendu de propos contre les noirs en France, dire que  la France serait raciste me parait des plus injustes, mais cependant j' ai été témoin de tels propos, dans la bourgeoisie la mieux éduquée, ainsi que de discrimination à l'embauche pour cause d'origine africaine noire, 
voilà pourquoi je répète mon indignation devant ces propos et tous ceux qui les défendent sous prétexte d'humour ou autre.
et ce n'est pas ainsi que l'on fera tomber les murailles ...


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Taubira : le piège à cons fonctionne…
Le 24 novembre 2013
Les gens du commun soupçonnent rarement jusqu’où peut aller le machiavélisme de certains hommes politiques.
Les gens du commun soupçonnent rarement jusqu’où peut aller le machiavélisme de certains hommes politiques.
Le retournement récent de l’opinion, en tous les cas de ceux qui l’inspirent, en faveur de Christiane Taubira à la suite des injures à caractère raciste qui lui ont été adressées, en offre l’exemple.
Que le lynchage médiatique d’une gamine de 11 ans, visiblement pas inspirée par ses parents, soit inacceptable — et, comme d’habitude, il n’aurait pas eu lieu si les positions avaient été inversées ! —, il faut le dire clairement. Mais que le même thème, dit « de la banane », ait été enfourché par une candidate aux élections passant sur France 2 ou par un hebdomadaire partisan, tous deux situés à la droite extrême, est le révélateur de ce qu’il faut bien appeler une immense bêtise. D’autant plus inquiétante qu’on suppose que ce qui a ainsi fortuitement transpiré en public est habituel en privé.
Pourquoi bêtise ? Parce que le racisme, le vrai, est bête. Sans doute. Mais surtout parce que ce qui est reproché, à juste titre, à Mme Taubira, tant sur la question du mariage homosexuel que sur celle de la réforme de la justice, est peut-être ce qu’il y a de plus éloigné de toute considération raciale.
Ce qui s’y trouve en cause en effet est, non la couleur de la peau, mais une des perversions intellectuelles les plus dangereuses de notre époque : l’idéologie. L’arasement des repères familiaux d’un côté, celui du sens élémentaire du bien et du mal, de l’autre, dont procèdent les réformes défendues par le Garde des Sceaux, sont des produits on ne peut plus typiques de cette idéologie qui ronge notre société et dont le parti socialiste dans son ensemble est devenu le plus fervent promoteur. Maladie de l’esprit qui n’a rien à voir avec la race.
Ajoutons que les promoteurs des idées perverses en cause (théorie du genre, déresponsabilisation des délinquants) qui inspirent Christine Taubira, si on en refait la généalogie, sont tous de race blanche. Le ministre n’est dans cette affaire que l’exécutrice d’un courant d’idées dont elle n’est sûrement pas à l’origine.
On pourrait même aller plus loin et inverser les choses : ce n’est sans doute pas par hasard que ces idées, au moins celles qui ont trait au mariage, furent rejetées avec le plus de violence dans les territoires de la République dont la majorité est de couleur : Antilles, Guyane, et combattues avec le plus de talent par des élus de ces régions, tel l’admirable Nestor Azerot. Avant de faire l’objet de manifestations hostiles en métropole, Christine Taubira était déjà persona non grata dans sa Guyane natale ! Il y a le « sanglot de l’homme blanc », il y a aussi la décadence de l’homme blanc, le contraire donc de ce que croient les imbéciles.
On peut donc tenir pour une habileté machiavélique de François Hollande de faire porter par quelqu’un comme Christine Taubira les réformes en cause, si contraires à la conscience et au bon sens d’une partie des Français, voire à l’intérêt national, et ressenties comme une injustice. Même stupide, une telle réaction à l’égard de leur promotrice était prévisible et l’exploitation que pouvait en faire le pouvoir également. Il faudrait même remarquer, comme l’a fait Xavier Bongibault, que c’est miracle qu’au sein des marées humaines de protestation qu’on a vues se lever au printemps, il n’y en ait pas eu davantage : preuve, somme toute, qu’on avait vraiment affaire à des gens civilisés !
Il semble certes que si Martine Aubry n’avait pas renoncé à ce poste, Christine Taubira n’aurait pas été nommée Garde des Sceaux, mais, quand même, doit-on écarter l’idée que cela a été fait exprès ?
D’autant qu’il y a un précédent. L’assouplissement de l’interdiction de l’avortement qui est intervenue en 1975 aurait pu être défendue au Parlement par beaucoup. Pourquoi fallait-il que ce soit par une juive rescapée des camps, comme Simone Veil ? Les grands catholiques qui étaient alors à la tête de l’État, Valéry Giscard d’Estaing, Jacques Chirac, sans oublier le Garde des sceaux, Jean Lecanuet (enterré depuis dans un monastère, paix à son âme !) n’auraient-ils pas dû en prendre eux-mêmes la responsabilité ? Il semble que dans le cas d’espèce, le machiavélisme soit patent.

Déjà, ce que nous appelons le « piège à cons » — comment l’appeler autrement ? — avait fonctionné : il s’était trouvé des excités, pas beaucoup mais qu’importe, pour se laisser aller aux amalgames et dérapages que l’on pouvait craindre et ainsi disqualifier les opposants à la loi. Les défenseurs de la vie se virent alors assimilés, et cela leur colle encore à la peau, aux auteurs de la destruction planifiée de millions de vies. Comme par un fait exprès…

Paris : " russophobie" (#) et conférence interrompue



http://www.prorussia.tv/Journal-hebdomadaire-25-novembre-2013_v638.html

Leipzig : conférence sur la famille et heurts ...



Репортаж "Вестей недели" о конференции по семейным ценностям в Лейпциге 23 ноября 2013 года



Natalia Narochnitskaya a partagé un lien.
23 novembre, à proximité de Moscou

Елена Мизулина назвала российских геев более интеллигентными

Когда российская делегация шла на форум, их атаковала толпа представителей секс-меньшинств. На самом форуме глава думского комитета по вопросам семьи во время выступления на тему «Защита демократии» Елена Мизулина произнесла, что к лицам с нетрадиционной ориентацией не стоит относиться снисходительно. Однако завершить выступление пришлось уже под крики возмущенных геев.

В интервью Life News депутат Госдумы рассказала подробности нападения на нее.

- Когда делегация участников шла к зданию, где должна была пройти конференция, полиция вместо того, чтобы оградить достаточно большую акцию протеста из представителей секс-меньшинств, разрешила им фактически перегородить дорогу. Они меня и Наталью Нарочицкую ударили несколько раз, не давая нам возможности пройти. Мы спокойно стали их обходить, и один из представителей ЛГБТ 65 лет в вишневой куртке со всей силы пнул меня по ноге, - рассказала Life News Елена Мизулина. - Не очень приятный инцидент, я могу сказать, в России таких ситуаций нет. Не хочу уподобляться представителям секс-меньшинств и кричать громко об этом случае.

Елена Мизулина прокомментировала Life News свое высказывание о том что "к геям не стоит относиться снисходительно". Она считает, что геи на Западе - это организованная сила, в отличие от представителей секс-меньшинств в России.

- На форуме была продемонстрирована агрессивность и жестокость этих людей, и говорить о том, что это слабое сообщество - большое заблуждение. Гомосексуалисты - это организованная сила на Западе. Они влияют на многие стороны жизни. Многие мне потом говорили, что после акции организаторы студентам раздавали деньги. Они пытаются влиять и влияют на принятие большого количества решений. С этой силой надо разговаривать всерьез, - утверждает Елена Мизулина. - А то как в сказке про зайкину избушку: заяц впустил лису к себе пожить на время, а она и дом заняла. У нас другая ситуация в России. У нас геи другие - они не такие агрессивные, более интеллектуальные и дружественные. У них нет злобы и агрессии, во всяком случае, у тех, кто называет себя представителями секс-меньшинств. И полиция их защищает, и нет такого рода безобразия, как было в Лейпциге.

Yelena Mizulina appelé russe sex de gays plus intelligents quand la délégation russe au Forum, ils ont attaqué une foule de minorités. Lors du Forum, le chef de la Commission de la Douma de la famille lors d'un discours sur le thème « protéger la démocratie, » Yelena Mizulina a déclaré que les personnes ayant une orientation non traditionnelle ne pas scoff. Cependant, la fin était déjà sous les cris des homosexuels en colère.

Dans un entretien avec le député de la Douma d'État a dit vie News les détails de l'attaque sur elle.

-Quand une délégation des participants sont allés à l'immeuble où la Conférence a été de se tenir, la police plutôt que d'isoler une grande manifestation de représentants des minorités de sexe, leur a permis de réellement barrer la route. Ils m'ont et Natalia Naročickuû a été frappé à plusieurs reprises, sans nous donner l'occasion de passer par. Tranquillement, nous sommes devenus un seul et éluder les personnes LGBT de 65 ans en veste cerise avec toute la force m'a frappé sur la jambe, dit Elena Mizulina nouvelles de la vie. -Incident pas très agréable, je peux dire qu'il n'y a aucune telle situation en Russie. Je ne veux pas devenir comme les représentants du sexe minoritaire et crier haut et fort sur cette affaire.

Yelena Mizulina dit nouvelles vie sa disant que "chez les gays ne moquer. Elle croit que les hommes gais en Occident sont organisés puissance, contrairement aux représentants des minorités de sexe en Russie.

-Le Forum a démontré l'agressivité et la brutalité de ces personnes et de dire, c'est une faible Communauté-a grande illusion. Homosexuels sont organisés dans l'ouest de puissance. Elles touchent de nombreux aspects de la vie. Beaucoup m'a alors dit qu'après que les organisateurs de la protestation distribuaient de l'argent aux étudiants. Ils essaient d'influencer et d'influer sur l'adoption d'un grand nombre de décisions. Avec cette force pour parler sérieusement, "a déclaré Elena Mizulina. - Et comme dans le conte de fées sur zajkinu maison : lièvre admis à Fox de vivre pendant un certain temps, et elle et maison occupent. Nous avons une situation différente en Russie. Nous avons gays, l'autre-ils ne sont pas aussi agressif, plus intelligent et sympathique. Ils n'ont aucune malice et l'agression, en tout cas, ceux qui se disent représentants de sex des minorités. Et police défendre eux et il n'y n'est aucun ce genre de laideur, tel qu'il était à Leipzig. (Traduit par Bing)



В эти минуты Институт демократии и сотрудничества, Париж, начинает в Лейпциге совместно с немецким консервативным журналом Compact конференцию на тему семьи и семейных ценностей.
Перед конференц- залом участников конференции встречала орущая, бьющая в барабаны, беснующаяся толпа сторонников однополых браков и прочая нечисть. Полиция еле сдерживала противников традиционных семейных ценностей!
Наталии Алексеевне Нарочницкой нарочно наступили на ногу, полиция никак не отреагировала. Машину ко входу в здание не пропустили, так что нашим, французским и немецким участникам конференции пришлось пройти по коридору мимо бесноватых, размахивающих кулаками и палками!

Сообщение с места проведения конференции от Юрия Шешко (вэб-мастер ИДС):
"Ужасно, мы еле провели Наталию Алексеевну и депутатов ГД к месту конференции. Наталии Алексеевне наступили на ногу, они толкались, полиция стояла рядом, не вмешивалась. Конференция началась с получасовым опозданием. Манифестанты постоянно шумят рядом, стучат в барабаны, включают сирены".

Наталия Алексеевна Нарочницкая: "Толпы нас пинали. толкали кричали! К полиции подмога приехала, еще несколько десятков, кроме тех что уже были!"

Ольга Позигунлва - секретарь, помощник директора ИДС: "Конференция проходит под" музыку" сирены и стуки в стены и двери".

От нашего внештатного сотрудника, оператора Хачатура Мартиросяна:
"Очень сильно шумят, очень воинственно настроены. Бьют по стенам зала уже 30 мин без остановки так, что внутри еле шлышно, и кажется стенка обрушится".

Вновь Юрия Шешко:
"Начались аресты хулиганов. Они были очень агрессивны. Но на конференции все равно более 400 человек. Прорвались! Эльзессер (один из организаторов конференции с немецкой стороны) очень резко отозвался о действиях полиции.

Наталия Алексеевна во уступительном слове: "никогда не могла подумать, что я, россиянка, буду защищать трад. ценности и права человека в Германии, на Западе!"
Наталия Алексеевна закончила свое выступление под овации зала.

Друзья мои, участники конференции собрались в одном из залов Лейпцига, чтобы поддержать семейные ценности, в защиту тех людей, которые хотели бы растить своих детей в таких семьях, в которых выросли мы с вами, где была мама и был папа, о нас заботились бабушки и дедушки. А сейчас в однополых браках есть родитель N1 и родитель N 2. Их значительно меньше, тех кто будет у своего ребенка проходить под номерами. Но какая агрессия!

На месте работают телеканалы Россия и Союз. Будем ждать их репортажей.

Данный "репортаж" ведет и будет вести дальше исполнительный директор Института демократии и сотрудничества Евгений Осадчий, оставшийся в Париже из-за сломанной ноги.
Dans l'Institut de la démocratie et de la coopération, Paris, commence à Leipzig en coopération avec la Conférence Compact magazine conservateur allemand sur les familles et les valeurs familiales.
Devant les participants à la Conférence de Hall de conférence a rencontré oruŝaâ, battant des tambours, besnuûŝaâsâ foule de partisans du mariage homosexuel et autres vermines. La police a à peine freiné les ennemis des valeurs familiales traditionnelles !
Natalia Alexéévna Naročnickoj marché volontairement sur pied, la police ne répondit jamais. La voiture à l'entrée de l'immeuble n'est pas autorisée, afin que nos participants français et allemands devaient passer par le couloir de l'enragé, agitant les poings et les bâtons !

Le message de la salle de conférence de Yuri Šeško (Web master IDS): "horrible, nous avaient guère Natalia Alekseevnu et adjoints de la DG à la Conférence. Natalia Alekseevna posé le pied sur le pied, ils poussaient mutuellement, police se trouvait à proximité, n'est ne pas intervenu. La Conférence a commencé avec une demi heure de retard. Les manifestants sont constamment bruyants, tambours bavardage comprennent des sirènes ".

Natalia Narochnitskaya, "nous avons lancé de la foule. poussé le crier ! Pour aider la police vint, des dizaines, en plus de ceux qui ont déjà!"

Olga Pozigunlva-Secrétaire, Assistant directeur d'EADS, "la Conférence est tenue en vertu de la" musique « sirène et frapper dans les murs et portes ».

De notre pigiste, opérateur de Khachatur Martirosyan: "très bruyant et très violente configuré. Beat sur les murs de la salle ont 30 minutes sans s'arrêter pour que l'intérieur à peine šlyšno et il semble que le mur s'effondrera. »

Yuri Šeško encore une fois: "a commencé à arrêter les hooligans. Ils étaient très agressifs. Mais la Conférence quand même plus de 400 personnes. Cassé ! Elzesser (l'un des organisateurs de la Conférence du côté allemand) très fortement sur les actions de la police.

Natalia Alekseevna dans ses remarques préliminaires: "pourrait jamais penser que j'ai, un russe, défendra Trad. valeurs et droits de l'homme en Allemagne, dans l'Ouest! "Natalia a terminé son discours par des applaudissements.

Mes amis, la Conférence participants sont réunis dans une des salles à Leipzig pour soutenir les valeurs familiales, pour les personnes qui souhaitent élever leurs enfants dans ces familles où vous grandi, où est papa et maman, nous grands-parents s'occuper. Et maintenant le mariage de même-sexe a un parent, le parent 2 N et N1. Il y a beaucoup moins de ceux qui auront leur enfant se déroulent sous les numéros. Mais quelle agressivité !

Chaînes de télévision de Russie sont en place et de l'Union. Nous allons attendre que leurs histoires.

Ce « rapport » est leader et mènera plus loin, directeur exécutif de l'Institut de la démocratie et de la coopération Eugene Osadchiy, demeurant à Paris en raison d'une fracture de la jambe. (Traduit par Bing)