Outil pour abuseurs d'enfants livré par un musée public

Vous voulez vous amuser à voir la réaction d'un enfant à des images sexuelles, le forcer à les voir en lui expliquant que c'est pour son bien et que tous les parents vont voir et faire cela à leurs enfants ?
Un musée public vous livre l'outil clé en main, prêt à l'emploi.
Une agression sexuelle pédophile organisée, publique, voilà ce qu'est cette exposition.

Un demi million de visiteurs : agression sexuelle à grande échelle des enfants en France ...

Expo de détraqués pour des salopards.





Pétition

à Najat Vallaud-Belkacem
Ministre de l’Éducation nationale

Madame le Ministre de l’Éducation,
Comme les 60 000 membres de SOS Éducation, je m'inquiète des sorties qui vont être organisées dans le cadre scolaire pour emmener des élèves voir l'exposition « Zizi sexuel », qui vise un public d'enfants dès 8 ou 9 ans à la Cité des Sciences :
En effet, à l’heure où les savoirs fondamentaux, lire, écrire et compter sont de moins en moins maîtrisés, est-il réellement judicieux de prélever encore une demi-journée sur le temps d’apprentissage des élèves pour aller leur faire humer des effluves de pieds ou d'aisselles, leur faire appuyer sur une pédale permettant de dresser un « zizi piquet » qui éjacule, ou leur enseigner la masturbation ?
Sur des sujets si intimes touchant leurs enfants, les parents doivent par ailleurs être informés et consultés. Or cette exposition les tient à l’écart de manière on ne peut plus explicite puisqu’elle comporte même un espace « interdit aux adultes ».
Je vous demande donc solennellement :
  1. d’exiger de tous les directeurs d’école qui décideront d’envoyer des classes à l’exposition « Zizi sexuel » d’informer préalablement les parents du contenu de cette exposition, y compris de la présence de mannequins qui simulent l’érection et l'éjaculation, et de donner aux parents le droit de s’opposer à ce que leurs enfants s’y rendent ;

  2. de souligner, à l'heure ou plus de 20% des élèves de 6e sont touchés par l'illettrisme, que ces sorties scolaires ne doivent en aucun cas être prises sur le temps consacré aux apprentissages fondamentaux.
Je compte sur vous, Madame le Ministre, pour me tenir informé, personnellement ou par voie de presse, de ce que vous entreprendrez pour protéger nos enfants.
Tout comme 34753 parents d'élèves, professeurs et citoyens mobilisés contre l'éducation à la sexualité par le «  Zizi sexuel ».
Avec mes sentiments distingués.


"Zizi sexuel l'expo" revient à la Cité des Sciences à Paris

Publié le 12.10.2014, 00h23
L'exposition

L'exposition "Zizi sexuel" à la Cité des Sciences à Paris répond aux questions des 9-14 ans sur l'amour et la sexualité le 10 octobre 2014 avant l'ouverture au public le 14 octobre | Patrick Kovarik

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"C'est quoi être amoureux?", "Comment on embrasse?": sept ans après son premier succès et une tournée européenne, l'expo "Zizi sexuel" revient à Paris pour répondre aux questions des 9-14 ans sur l'amour et la sexualité.
Nadia et Titeuf, les deux personnages du "Guide du Zizi sexuel" de Zep et Hélène Bruller, sont de retour à la Cité des Sciences à partir de mardi et jusqu'au 2 août prochain, pour animer cette exposition décomplexée, mais qui veille à préserver la pudeur des pré-ados et des parents. 

Emergence des réseaux sociaux, adoption de la loi ouvrant le mariage aux couples homosexuels: il s'en est passé des choses en sept ans. Pourtant l'exposition, qui avait attiré 340.000 visiteurs à Paris en 2007, est restée rigoureusement la même.
"Le contexte a sensiblement changé, on en est bien conscients, mais les questions fondamentales que se posent les enfants sont restées les mêmes: c'est quoi la puberté? c'est quoi faire l'amour?...", explique à l'AFP Maud Gouy, commissaire de l'exposition.
"Cette exposition est d'autant plus d'actualité que le contexte a changé", estime-t-elle. "On s'aperçoit qu'il y a de plus en plus d'insultes sexistes, homophobes, dans les cours de récréation. Dans cette exposition on prône des valeurs qui nous paraissent essentielles, comme le respect, la tolérance, le consentement mutuel".
"On sait qu'un enfant sur trois, à 12 ou 13 ans, a vu un film ou des images pornographiques, on sait que le cyber-harcèlement est très présent, donc cette exposition a toute sa légitimité", assure-t-elle. 

- Un peu, beaucoup, passionnément -

L'entrée de l'exposition se fait sous un grand coeur. "Je tenais à ce que cette exposition redore l'idée de l'amour, mette en avant le sentiment amoureux, le plaisir d'être ensemble, la tendresse", précise Maud Gouy.
On peut s'allonger sur le lit en forme de coeur de Nadia pour visionner de célèbres scènes d'amour du cinéma.
Tout au long du parcours, la BD, le dessin, permettent d'éviter de choquer. Il n'y a jamais de vraies images de vraies personnes.
"Tout ce qui a été mis en place tient vraiment compte des enfants, de leur personnalité, de leur sensibilité", souligne Maud Gouy.
C'est aussi pour cette raison que les différentes manipulations sont surdimensionnées, histoire de désinhiber les plus gênés. "C'est une exposition qui se veut drôle, mais avec un support scientifique de qualité", dit Maud Gouy.
Un "amouromètre" pour savoir combien on aime en serrant un gros coeur, une marguerite géante à effeuiller pour voir si on nous aime un peu, beaucoup, passionnément, une "ola" des capotes... On s'amuse.
On apprend aussi: le "pubertomatic" montre, en jouant la carte de l'exagération, comment se transforme le corps à la puberté, pour les filles et les garçons. Dans la "salle de classe", on découvre comment on fait un bébé. Toujours avec beaucoup d'humour et de décalage.
"On a travaillé pour ne jamais déranger les enfants", souligne Maud Gouy. "C'est important d'exagérer, parce que si on est trop réaliste, ça fait peur".
Un espace aborde des questions intimes: les parents restent à l'extérieur. "C'est surtout une barrière symbolique", pour montrer que certaines choses doivent rester de l'ordre du privé, explique la commissaire de l'exposition. 
Le parcours comprend aussi des mises en garde sur les dangers que peuvent rencontrer les enfants, sur internet ou dans la rue.
Et on repart avec un peu de poésie dans la poche, grâce à la "machine à déclarations" qui fournit à la demande des poèmes personnalisés pour la personne aimée. Un gros succès. 
Au total, l'expo "Zizi sexuel" a été vue par un demi-million de personnes en France et en Europe.
Son second passage à Paris sera son dernier tour de piste.

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