La vérité est toute simple : tuer est un assassinat, tuer sert à s'emparer du pouvoir et des richesses, la bourgeoisie envieuse se délectait de voir Fouquier-Tinquille la débarasser de la noblesse, le peuple allemand était majoritairement ivre de fureur et de désir de vangeance dans les années 20-30, Marx méprisait les droits humains "bourgeois/civiques", le coran prône de tuer, de terroriser et de conquérir à l'image d'un Mahomet qui finit ivre de pouvoir, de sang et de sexe, et aujourd'hui les Etats de l'OCI affichent leur volonté de "galvaniser" la "oumma islamique" pour appliquer le coran et suivre le modèle de Mahomet.
La vérité est toute simple aussi sur le patriotisme : ce n'est pas parce que Hitler a eu une notion délirante et paranoïaque du nationalisme en pensant que préserver le peuple allemand nécessitait d'exterminer les autres, qu'il faut oublier la notion de base de liberté donnée par les Grecs comme par la bible : être libre, c'est d'abord ne pas être esclave, ne pas se laisser envahir et assujettir ; il est normal pour un peuple d'aimer protéger ses enfants et leur transmettre le meilleur de sa culture, de son "identité" ....
Ceux qui tentent de culpabiliser les peuples qui refusent l'envahissement ou la destruction de leur sécurité et de leur culture sont simplement les complices des envahisseurs ou les oppresseurs.
Heureusement que certains, avec des idées diverses, se révoltent : voir ici http://anne-kerjean.blogspot.fr/2012/05/hommage-national-jeanne-darc-13-mai_6703.html
et ici : Nonie Darwish est une femme arabe, qui aime sa culture, et veut en transmettre le meilleur et c'est pourquoi elle dit :
" L'islam doit être annihilé ! Il sera annihilé, il sera brisé !" dixit Nonnie Darwish
Il y a de
longues années, vivait un empereur qui aimait plus que tout les habits neufs,
qu'il dépensait tout son argent pour être bien habillé. Il ne se souciait pas
de ses soldats, ni du théâtre, ni de ses promenades dans les bois, si ce
n'était pour faire le montre de ses vêtements neufs. Il avait un costume pour
chaque heure de chaque jour de la semaine et tandis qu'on dit habituellement
d'un roi qu'il est au conseil, on disait toujours de lui: "L'empereur
est dans sa garde-robe!"
Dans la
grande ville où il habitait, la vie était gaie et chaque jour beaucoup
d'étrangers arrivaient. Un jour, arrivèrent deux escrocs qui affirmèrent être
tisserands et être capables de pouvoir tisser la plus belle étoffe que l'on
pût imaginer. Non seulement les couleurs et le motif seraint
exceptionnellement beaux, mais les vêtements qui en seraient confectionnés
posséderaient l'étonnante propriété d'être invisibles aux yeux de ceux qui ne
convenaient pas à leurs fonctions ou qui étaient simplement idiots.
"Ce
serait des vêtements précieux", se dit l'empereur. "Si j'en avais
de pareils, je pourrais découvrir qui, de mes sujets, ne sied pas à ses
fonctions et départager les intelligents des imbéciles ! Je dois sur le champ
me faire tisser cette étoffe!" Il donna aux deux escrocs une avance sur
leur travail et ceux-ci se mirent à l'ouvrage.
Ils
installèrent deux métiers à tisser, mais ils firent semblant de travailler
car il n'y avait absolument aucun fil sur le métier. Ils demandèrent la soie
la plus fine et l'or le plus précieux qu'ils prirent pour eux et restèrenet
sur leurs métiers vides jusqu'à bien tard dans la nuit.
"Je
voudrais bien savoir où ils en sont avec l'étoffe!", se dit l'empereur.
Mais il se sentait mal à l'aise à l'idée qu'elle soit invisible aux yeux de
ceux qui sont sots ou mal dans leur fonction. Il se dit qu'il n'avait rien à
craindre pour lui-même, mais préféra dépêcher quelqu'un d'autre pour voir
comment cela se passait. Chacun dans la ville connaissait les qualités
exceptionnelles de l'étoffe et tous étaient avides de savoir combien leur
voisin était inapte ou idiot.
"Je
vais envoyer mon vieux et honnête ministre auprès des tisserands", se
dit l'empereur. "Il est le mieux à même de juger de l'allure de
l'étoffe; il est d'une grande intelligence et personne ne fait mieux son
travail que lui!"
Le vieux
et bon ministre alla donc dans l'atelier où les deux escrocs étaient assis,
travaillant sur leurs métiers vides. "Que Dieu nous garde!", pensa
le ministre en écarquillant les yeux. "Je ne vois rien du tout!"
Mais il se garda bien de le dire.
Les deux
escrocs l'invitèrent à s'approcher et lui demandèrent si ce n'étaient pas là
en effet un joli motif et de magnifiques couleurs. Puis, ils lui montrèrent
un métier vide. Le pauvre vieux ministre écarquilla encore plus les yeux,
mais il ne vit toujours rien, puisqu'il n'y avait rien. "Mon Dieu,
pensa-t-il, serais-je sot? Je ne l'aurais jamais cru et personne ne devrait
le savoir! Serais-je inapte à mon travail? Non, il ne faut pas que je raconte
que je ne peux pas voir l'étoffe.
"Eh
bien, qu'en dites-vous ?", demanda l'un des tisserands.
"Oh,
c'est ravissant, tout ce qu'il y a de pklus joli !", répondit le vieux
ministre, en regardant au travers de ses lunettes. "Ce motif et ces
couleurs! Je ne manquerai pas de dire à l'empereur que tout cela me plaît
beaucoup!"
"Nous
nous en réjouissons!", dirent les deux tisserands. Puis, ils nommèrent
les couleurs et discutèrent du motif. Le vieux ministre écouta attentivement
afin de pouvoir lui-même en parler lorsqu'il serait de retour auprès de
l'empereur; et c'est ce qu'il fit.
Les deux
escrocs exigèrent encore plus d'argent, plus de soie et plus d'or pour leur
tissage. Ils mettaient tout dans leurs poches et rien sur les métiers; mais
ils continuèrent, comme ils l'avaient fait jusqu'ici, à faire semblant de
travailler.
L'empereur
envoya bientôt un autre honnête fonctionnaire pour voir où en était le
travail et quand l'étoffe serait bientôt prête. Il arriva à cet homme ce qui
était arrivé au ministre: il regarda et regarda encore, mais comme il n'y
avait rien sur le métier, il ne put rien y voir.
"N'est-ce
pas là un magnifique morceau d'étoffe?", lui demandèrent les deux
escrocs en lui montrant et lui expliquant les splendides motifs qui
n'existaient tout simplement pas.
"Je
ne suis pas sot, se dit le fonctionnaire; ce serait donc que je ne conviens
pas à mes fonctions? Ce serait plutôt étrange, mais je ne dois pas le laisser
paraître!" Et il fit l'éloge de l'étoffe, qu'il n'avait pas vue, puis il
exprima la joie que lui procuraient les couleurs et le merveilleux motif.
"Oui, c'est tout-à-fait merveilleux!", dit-il à l'empereur.
Dans la
ville, tout le monde parlait de la magnifique étoffe, et l'empereur voulu la
voir de ses propres yeux tandis qu'elle se trouvait encore sur le métier. Accompagné
de toute une foule de dignitaires, dont le ministre et le fonctionnaire, il
alla chez les deux escrocs, lesquels s'affairaient à tisser sans le moindre
fil.
"N'est-ce
pas magnifique?", dirent les deux fonctionnaires qui étaient déjà venus.
"Que Votre Majesté admire les motifs et les couleurs!" Puis, ils
montrèrent du doigt un métier vide, s'imaginant que les autres pouvaient y
voir quelque chose.
"Comment!,
pensa l'Empereur, mais je ne vois rien! C'est affreux! Serais-je sot? Ne
serais-je pas fait pour être empereur? Ce serait bien la chose la plus
terrible qui puisse jamais m'arriver."
"Magnifique,
ravissant, parfait, dit-il finalement, je donne ma plus haute
approbation!" Il hocha la tête, en signe de satisfaction, et contempla
le métier vide; mais il se garda bien de dire qu'il ne voyait rien. Tous les
membres de la suite qui l'avait accompagné regardèrent et regardèrent encore;
mais comme pour tous les autres, rien ne leur apparût et tous dirent comme
l'empereur: "C'est véritablement très beau !" Puis ils
conseillèrent à l'Empereur de porter ces magnifiques vêtements pour la
première fois à l'occasion d'une grande fête qui devrait avoir lieu très
bientôt.
Merveilleux
était le mot que l'on entendait sur toutes les lèvres, et tous semblaient se
réjouir. L'empereur décora chacun des escrocs d'une croix de chevalier qu'ils
mirent à leur boutonnière et il leur donna le titre de gentilshommes
tisserands.
La nuit qui
précéda le matin de la fête, les escrocs restèrent à travailler avec seize
chandelles. Tous les gens pouvaient se rendre compte du mal qu'ils se
donnaient pour terminer les habits de l'empereur. Les tisserands firent
semblant d'enlever l'étoffe de sur le métier, coupèrent dans l'air avec de
gros ciseaux, cousirent avec des aiguilles sans fils et dirent finalement:
"Voyez, les habits neufs de l'empereur sont à présent terminés !"
"Voyez,
Majesté, voici le pantalon, voilà la veste, voilà le manteau!" et ainsi
de suite. "C'est aussi léger qu'une toile d'araignée; on croirait
presque qu'on n'a rien sur le corps, mais c'est là toute la beauté de la
chose!"
"Oui,
oui !", dirent tous les courtisans, mais ils ne pouvaient rien voir,
puisqu'il n'y avait rien.
"Votre
Majesté Impériale veut-elle avoir l'insigne bonté d'ôter ses vêtements afin
que nous puissions lui mettre les nouveaux, là, devant le grands miroir
!"
L'empereur
enleva tous ses beaux vêtements et les escrocs firent comme s'ils lui
enfilaient chacune des pièces du nouvel habit qui, apparemment, venait tout
juste d'être cousu. L'empereur se tourna et se retourna devant le miroir.
"Dieu
! comme celà vous va bien. Quels dessins, quelles couleurs", s'exclamait
tout le monde.
"Ceux
qui doivent porter le dais au-dessus de Votre Majesté ouvrant la procession
sont arrivés", dit le maître des cérémonies.
"Je
suis prêt", dit l'empereur. "Est-ce que cela ne me va pas bien ? Et
il en se tourna encore une fois devant le miroir, car il devait faire
semblant de bien contempler son costume.
Les
chambellans qui devaitn porter la traîne du manteau de cour tâtonnaient de
leurs mains le parquet, faisant semblant d'attraper et de soulever la traîne.
Ils allèrent et firent comme s'ils tenaient quelque chose dans les airs; ils ne
voulaient pas risquer que l'on remarquât qu'ils ne pouvaient rien voir.
C'est
ainsi que l'Empereur marchait devant la procession sous le magnifique dais,
et tous ceux qui se trouvaient dans la rue ou à leur fenêtre disaient:
"Les habits neufs de l'empereur sont admirables ! Quel manteau avec
traîne de toute beauté, comme elle s'étale avec splendeur !" Personne ne
voulait laisser paraître qu'il ne voyait rien, puisque cela aurait montré
qu'il était incapable dans sa fonction ou simplement un sot. Aucun habit neuf
de l'empereur n'avait connu un tel succès.
"Mais
il n'a pas d'habit du tout !", crai petit enfant dans la foule.
"Éntendez la voix de l'innocence!", dit le père; et chacun murmura à son voisin ce que l'enfant avait dit.
Puis la
foule entière se mit à crier: "Mais il n'a pas d'habit du tout!"
L'empereur frisonna, car il lui semblait bien que le peuple avait raison,
mais il se dit: "Maintenant, je dois tenir bon jusqu'à la fin de la
procession." Et le cortège poursuivit sa route et les chambellans continuèrent
de porter la traîne, qui n'existait pas.
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