Voici les documents sur ce que l'OMS prône d'enseigner à des enfants. Elle ouvre l'accès aux enfants à des adultes pervers pour parler aux enfants de sexe, sans qu'ils l'aient demandé, c'est à dire pour s'immiscer dans leur sexualité : il s'agit de VIOL !
Tous ces pourris et ces tarés veulent bien entendu faire passer leur pourriture de mesures "en loucedé", à l'abri des débats, alors ils MENTENT comme des arracheurs de dents, en prétendant que jamais de tels enseignements n'ont été prônés.
Voici les copies des textes qui sont publics et voici les adresses web où ils sont publiés
Ce qu'il faut apprendre aux enfants selon l'OMS :
- de 0 à 4 ans : toutes les parties du corps et leur fonction, la masturbation, le droit d'explorer les identités de genre
- de 4 à 6 ans : les bases de la reproduction humaine, le langage sexuel approprié, les sentiments sexuels ( proximité, jouissance, excitation ), différence culturelles, de genre d'age et différences de normes entre les pays,
- de 6 à 9 ans : changements du corps, menstruation, éjaculation, différences entre hommes et femmes, contraception, différentes méthodes de conception ...
il est évident que ce programme prône que des adultes forcent des enfants à ressentir des sensations sexuelles, à les rechercher, à entendre parler de sensations ou d'idées qui ne sont pas de leur âge et donc traumatisantes : c'est de viol dont il s'agit, c'est de formatage d'enfants précocément sexualisés et habités à être soumis à des traumatismes dont il s'agit ...
Tout ce qu'un enfant a besoin de savoir, est :
- que son corps est beau, sain,
- qu'il faut que le laver et dès qu'il le peut apprendre à se laver tout seul,
- qu'il est poli de ne pas se montrer nu aux autres, de toujours respecter une distance entre soi et le corps des autres, sauf pour embrasser les gens de sa famille ou ses amis, de ne pas montrer l'intérieur de son corps aux autres ( mettre la main devant sa bouche pour bailler, ne pas faire de bruit en mangeant etc)
- que si un adulte ne se conduit pas de façon poli envers un enfant, ou est désagréable d'une façon ou d'une autre, l'enfant doit appeler sa famille au secours, et ne jamais écouter un adulte qui lui dirait qu'il n'a pas le droit de parler, ( et si l'adulte malpoli fait partie de la famille, l'enfant a le droit d'appeler à l'aide les autres adultes de sa famille ou la police si personne ne l'écoute)
- que si un enfant est surpris par des sensations ou des rêves, il peut toujours en parler à ses parents et poser des questions
Tout ce qu'un adolescent doit savoir, c'est qu'il existe à sa disposition des livres adaptés à son âge sur la reproduction, la sexualité, la contraception, qui sont à sa disposition et qu'il peut consulter SI IL LE SOUHAITE et SANS LA PRESENCE D'ADULTE.
Nouvelles
recommandations européennes sur l’éducation sexuelle : selon les experts,
l’éducation sexuelle devrait commencer dès la naissance
Madrid,
20 octobre 2010
Aujourd’hui,
le Bureau régional de l’OMS pour l’Europe a publié les premières recommandations
détaillées en vue d’aider les décideurs de la santé publique à élaborer des
programmes appropriés d’éducation sexuelle.
Le
document a été lancé lors de la réunion européenne de l’OMS sur les défis à
l’amélioration de la santé sexuelle, organisée à Madrid (Espagne) sous l’égide
du ministère de la Santé et de la Politique sociale. Les recommandations ont
été formulées par un groupe de 20 experts en provenance de 9 pays d’Europe sous
la direction du Centre fédéral pour l’éducation à la santé (BZgA) de Cologne
(Allemagne) et du Bureau régional de l’OMS pour l’Europe. Elles contiennent des
instructions par étape ainsi qu’une matrice détaillée devant aider les
professionnels de la santé et de l’enseignement à fournir aux enfants des
informations exactes sur la sexualité, sous une forme qui tienne compte de leur
sensibilité.
Le
docteur Gunta Lazdane, conseillère régionale pour la santé sexuelle et
génésique au Bureau régional, qui a coordonné la rédaction de ce document,
déclare : « La particularité de ces nouvelles recommandations, au-delà du thème
abordé, c’est qu’elles insistent sur la nécessité de commencer l’éducation
sexuelle dès la naissance. Elles expliquent également les compétences
spécifiques que les enfants et les jeunes doivent acquérir, ainsi que les comportements
à promouvoir à des périodes déterminées de l’existence. »
En
général, les programmes actuels d’éducation sexuelle mettent largement l’accent
sur les aspects biologiques. « Or, ce n’est pas suffisant. Nous avons besoin
d’une nouvelle approche en matière d’éducation sexuelle. Et c’est le thème de
ces recommandations. Celles-ci placent les faits dans le contexte plus large
des valeurs, des connaissances ou des aptitudes utiles dans la vie, de sorte
que les aspects en rapport avec la santé soient compris de la manière la plus
générale possible », ajoute le docteur Lazdane.
Les
nouvelles recommandations s’inspirent d’une interprétation positive de la
sexualité, comme partie intégrante de la santé physique et mentale. Des
thématiques telles que le VIH/sida, les grossesses non désirées et la violence
sexuelle sont inscrites dans des programmes pédagogiques globaux qui se
concentrent sur l’autodétermination des individus et leur responsabilité envers
eux-mêmes et autrui.
L’orientation
unilatérale et la piètre qualité de l’éducation sexuelle sont souvent tenues
responsables des défis grandissants en matière de santé sexuelle, tels que
l’augmentation des grossesses adolescentes, la hausse des taux d’infections
sexuellement transmissibles et la violence sexuelle en général. L’un des
principaux objectifs de ces nouvelles recommandations est d’aider à améliorer
la santé sexuelle en général.
Elles
doivent aussi réagir aux nombreux défis posés par les énormes différences
existant entre les pays d’Europe en termes de qualité de l’éducation sexuelle
dans le cadre scolaire. Actuellement, un tiers des pays de la Région européenne
de l’OMS n’ont pas mis en place des programmes d’éducation sexuelle à l’école.
Dans certains pays, les jeunes ne reçoivent pas d’éducation sexuelle avant
l’âge de 14-18 ans.
Les
auteurs font néanmoins remarquer avec importance que les recommandations fixent
uniquement des objectifs à réaliser. Il ne s’agit donc que de la première étape
du processus. En effet, comme l’explique le docteur Lazdane, « l’étape suivante
consistera à élaborer la méthodologie ».
Pour de
plus amples informations, veuillez contacter :
Dr
Gunta Lazdane
Conseillère régionale, Santé sexuelle et génésique
Bureau régional de l’OMS pour l’Europe
Scherfigsvej 8
2100 Copenhague Ø, Danemark
Tél. : +45 39 17 14 26
Courriel : gla@euro.who.int
Conseillère régionale, Santé sexuelle et génésique
Bureau régional de l’OMS pour l’Europe
Scherfigsvej 8
2100 Copenhague Ø, Danemark
Tél. : +45 39 17 14 26
Courriel : gla@euro.who.int
Mme
Liuba Negru
Chargée de communication
Bureau régional de l’OMS pour l’Europe
Scherfigsvej 8
2100 Copenhague Ø, Danemark
Tél. : +45 39 17 13 44 ; portable : +45 20 45 92 74
Courriel : lne@euro.who.int
Chargée de communication
Bureau régional de l’OMS pour l’Europe
Scherfigsvej 8
2100 Copenhague Ø, Danemark
Tél. : +45 39 17 13 44 ; portable : +45 20 45 92 74
Courriel : lne@euro.who.int
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire