песня Леля из оперы "Снегурочка"
Третья песня Леля Лариса Авдеева / Avdeeva - 3-я песня Леля ("Снегурочка") Irina Arhipova Svetlana Kushnerova Voi che sapete Elisabeth Schwarzkopf
Discussion sur la haine, avec ma participation au débat
nb: le dernier message que j'avais envoyé n'a pas été publié et ne figure pas ici
Faut-il les
haïr?
Comment réagir face au terrorisme?
par Levi Brackman
Nombre d'entre nous
s’interrogent sur ce qu’il convient de ressentir envers des terroristes qui
n'ont aucun scrupule à massacrer des innocents en grands nombres. Devrions-nous
les prendre en pitié au motif que des chefs religieux démagogiques les ont
manipulés et endoctrinés pour perpétrer ces tueries ? Ou bien devons-nous
les haïr pour l'horreur, la peur et le chaos qu'ils instillent dans nos
vies ?
La haine est une notion très forte et il existe le camp de ceux qui pensent qu'éliminer la haine – à commencer par la nôtre – fera du monde un endroit bien meilleur à vivre. Pourtant, il n'y a pas de raisonnement plus faux que celui-ci. Tous les attributs humains peuvent avoir un bon ou un mauvais visage. Un amour inapproprié, par exemple, est une force terriblement destructrice : imaginez une épouse qui reste fidèle à un mari pédophile et ne le dénonce pas par amour pour lui. Toutefois, quand l'amour est convenablement orienté, il est l’une des plus puissantes forces positives et constructives dont dispose l’humanité.
Il en est de même pour la haine. Le peuple juif est
malheureusement familier des conséquences d’une haine insensée. L'été dernier
et comme chaque année à la même période, nous avons observé trois semaines de
deuil intensif pour commémorer la destruction du Saint Temple à Jérusalem et la
déportation d’Israël de sa terre qui s'ensuivit il y a de cela presque deux
mille ans. D'après nos Sages, ce fut la haine « gratuite » (sinat
‘hinam) qui engendra la destruction du Temple et marqua le début de notre
interminable galouth (exil).1 Il
est évident qu’une haine irrationnelle et sans objet est une force
essentiellement néfaste. Cela ne signifie toutefois pas que toute haine soit
nécessairement mauvaise. Il arrive que la haine soit tout à fait à propos et il
existe même certaines choses que nous avons le devoir de haïr. Le roi David
avait lui-même déclaré au sujet de mauvaises personnes « Je les hais d’une
haine absolue. »2
Dès lors que l’on commence
à « comprendre » le mal et ses causes, on devient vulnérable à son
influence. La logique derrière cela est profonde. Étant donné qu’il est dans
la nature humaine de s’éloigner des gens et des choses que l’on déteste, il
s’ensuit que le meilleur moyen de se tenir à distance du mal est de le haïr.
D’autant qu’une attitude ambivalente envers le mal peut aisément conduire à
éprouver de la sympathie pour ce dernier : dès lors que l’on commence à
« comprendre » le mal et ses causes, on devient vulnérable à son
influence.
D’un autre côté, il faut savoir que même une « bonne »
haine peut également s’avérer dangereuse. Notre haine se doit d’avoir un
objectif constructif qui la motive et la contrôle. Si nous devions être
consumés par la haine au point d’en être totalement submergés, cela
signifierait que, d’une force précieuse et constructive, elle sera devenue une
impulsion aveuglément destructrice.
Lorsque la haine devient
passionnelle, elle dépasse les limites et devient mauvaise. C’est bien en cela que les
terroristes se fourvoient. Il y a, certes, de nombreux aspects négatifs au sein
des sociétés occidentales que l’on peut légitimement détester, combattre, et
s’efforcer d’en dénoncer la nature destructrice à travers la communication. De
tels sentiments d’aversion peuvent engendrer une motivation à combattre
résolument ces traits négatifs. Mais si on donne libre cours à cette haine
jusqu’à ce qu’elle devienne passionnelle – comme le font les terroristes –,
alors celle-ci franchit les limites et devient mauvaise.
Notre réponse au fléau du terrorisme doit être implacable. Pour
pouvoir le combattre efficacement, il nous faut le haïr, lui et ceux qui le
mettent en œuvre. Le défi qui s’offre à nous, cependant, est de ne pas laisser
cette antipathie légitime s’emparer de nous et nous consumer au point de se
transformer en force négative.
NOTES
Talmud Yoma 9a.
Psaumes 139,22.
PAR LEVI BRACKMAN
Rav Levi
Brackman est le directeur de Judaism in the Foothills et l’auteur de nombreux articles sur
les sujets d’actualité.
Au sujet de
l’artiste : Sarah Kranz illustre des magazines, des webzines
et des livres (dont cinq livres pour enfants) depuis qu’elle a été diplomée du
Istituto Europeo di Design de Milan en 1996. Elle a travaillé pour des clients
prestigieux tels que le New York Times et le Money
Marketing Magazine de
Londres.
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Franck Lambez Paris22 mai 2014
Emmanuel Mergui, pour Chabad.org 14
novembre 2013
Détruire le malEffectivement, pour détruire
le mal, il faut avoir la volonté de le détruire.
Et pour l'éradiquer totalement, il faut le haïr.
Pour sortir de ce qui semble être un paradoxe, il faut savoir que la Torah distingue deux sortes de "méchants".
Il y a ceux qui pensent faire du bien en faisant du mal. Même s'ils sont plus ou moins conscients que ce qu'ils font est mal, ils ont le sentiment (erroné mais réel) que c'est justifié, au nom de quelque bonne cause. Ceux-là représentent la majorité et, bien sûr, l'attitude qu'ils convient d'adopter vis-à-vis d'eux est de tenter dans la mesure du possible de leur faire prendre conscience de la vérité (tout en se protégeant de leurs méfaits, évidemment).
Et puis il y a ceux, très minoritaires mais tellement, tellement néfastes, qui font le mal pour faire le mal, en ayant parfaitement conscience que c'est du mal. L'archétype de ces méchants assumés est Amalek, dont il est dit: "Il sait qui est son maître (le Maître de l'Univers), et il Lui est volontairement rebelle." Voir, à son propos Exode 17,8-17.
Dans cette catégorie, on peut aisément ranger les nazis, ou ceux qui envoient cyniquement les enfants de leur peuple massacrer les enfants d'un autre peuple par pure haine.
Ces êtres que l'on peut difficilement qualifier d'humains ont perdu toute trace de bien et ne vivent que pour le mal. Il est illusoire de chercher à leur faire entendre raison au nom de quelque étincelle de bien qui demeurerait en eux. Celle-ci est éteinte depuis bien longtemps. Au contraire, toute tentative d'apaisement les renforce dans leur cheminement meurtrier. L'Histoire retient cette démarche vaine sous le nom d'"esprit de Munich", évoquant la conférence de Munich ou les gouvernants français de l'époque se targuaient d'avoir "sauvé la paix" en brandissant un accord signé de la main d'Hitler. Las, cet accord n'avait pas plus de valeur que celui de la feuille de papier sur laquelle il était écrit. La suite est connue.
C'est pourquoi, dans la vision messianique du Judaïsme, toute l'humanité trouvera sa place dans une paix et une harmonie universelles, car tous les doutes seront dissipés et le bien apparaitra en évidence aux yeux de tous, de sorte que personne ne fera plus de mal par égarement.
Mais, pour cette même raison, ceux qui seront animés de l'esprit d'Amalek, une petite minorité, revendiquera le combat du mal contre le bien, et finira alors dans son ultime défaite sa mission en ce monde: démontrer l'existence du Bien absolu de D.ieu en l'attaquant dans une pulsion de mal absolu.
Voir Deutéronome 25,17 et Nombres 24,20.Reply
Et pour l'éradiquer totalement, il faut le haïr.
Pour sortir de ce qui semble être un paradoxe, il faut savoir que la Torah distingue deux sortes de "méchants".
Il y a ceux qui pensent faire du bien en faisant du mal. Même s'ils sont plus ou moins conscients que ce qu'ils font est mal, ils ont le sentiment (erroné mais réel) que c'est justifié, au nom de quelque bonne cause. Ceux-là représentent la majorité et, bien sûr, l'attitude qu'ils convient d'adopter vis-à-vis d'eux est de tenter dans la mesure du possible de leur faire prendre conscience de la vérité (tout en se protégeant de leurs méfaits, évidemment).
Et puis il y a ceux, très minoritaires mais tellement, tellement néfastes, qui font le mal pour faire le mal, en ayant parfaitement conscience que c'est du mal. L'archétype de ces méchants assumés est Amalek, dont il est dit: "Il sait qui est son maître (le Maître de l'Univers), et il Lui est volontairement rebelle." Voir, à son propos Exode 17,8-17.
Dans cette catégorie, on peut aisément ranger les nazis, ou ceux qui envoient cyniquement les enfants de leur peuple massacrer les enfants d'un autre peuple par pure haine.
Ces êtres que l'on peut difficilement qualifier d'humains ont perdu toute trace de bien et ne vivent que pour le mal. Il est illusoire de chercher à leur faire entendre raison au nom de quelque étincelle de bien qui demeurerait en eux. Celle-ci est éteinte depuis bien longtemps. Au contraire, toute tentative d'apaisement les renforce dans leur cheminement meurtrier. L'Histoire retient cette démarche vaine sous le nom d'"esprit de Munich", évoquant la conférence de Munich ou les gouvernants français de l'époque se targuaient d'avoir "sauvé la paix" en brandissant un accord signé de la main d'Hitler. Las, cet accord n'avait pas plus de valeur que celui de la feuille de papier sur laquelle il était écrit. La suite est connue.
C'est pourquoi, dans la vision messianique du Judaïsme, toute l'humanité trouvera sa place dans une paix et une harmonie universelles, car tous les doutes seront dissipés et le bien apparaitra en évidence aux yeux de tous, de sorte que personne ne fera plus de mal par égarement.
Mais, pour cette même raison, ceux qui seront animés de l'esprit d'Amalek, une petite minorité, revendiquera le combat du mal contre le bien, et finira alors dans son ultime défaite sa mission en ce monde: démontrer l'existence du Bien absolu de D.ieu en l'attaquant dans une pulsion de mal absolu.
Voir Deutéronome 25,17 et Nombres 24,20.Reply
elisseievna 14
novembre 2013
La haine débouche sur la volonté de détruire,
sur le mal.
Alors Emmanuel Mergui, cet article n'est pas clair du tout. Car il confond haine de certains actes et haine des personnes. Comme vous le rappelez, chaque personne a vocation a exister et à faire le bien.Reply
Alors Emmanuel Mergui, cet article n'est pas clair du tout. Car il confond haine de certains actes et haine des personnes. Comme vous le rappelez, chaque personne a vocation a exister et à faire le bien.Reply
Emmanuel Mergui, pour Chabad.org 14
novembre 2013
LA HAINE A-T-ELLE UNE PLACE DANS LE JUDAISME?En
complément de l'article ci-dessus, voici quelques éléments.
La haine est un sentiment de rejet extrême, de total exclusion. Haïr quelqu'un ou quelque chose revient à ressentir que cette chose n'a pas de place dans la réalité. Or, si D.ieu a créé telle chose ou telle personne, c'est bien parce qu'elle a vocation à exister et à contribuer au monde le bien qu'elle recèle en potentiel. Dès lors, quand on est confronté au mal chez autrui, l'attitude à adopter doit être positive, dans le sens de l'aider à surmonter son mauvais penchant pour pouvoir l'amener à exprimer le bien qui est en lui. C'est une approche qui est au cœur de la doctrine 'hassidique et qui s'applique à tous les être humains.
Toutefois, cela ne signifie pas que la haine soit exclue. On voit que D.ieu exprime Lui-même une haine vis-à-vis de certaine choses, et nous enjoint de partager cette haine. Ce sont essentiellement des conduites immorales ainsi que l'idolâtrie, toutes choses qui reviennent à nier la réalité divine du Bien absolu, comme il est dit dans Proverbes 6,16-19: "Il est six choses que l’Éternel déteste et sept qu'il a en horreur: les yeux hautains, la langue mensongère, les mains qui répandent le sang innocent; le cœur qui ourdit des desseins pervers, les pieds impatients de courir au mal, le faux témoin qui exhale le mensonge, enfin l'homme qui déchaîne la discorde entre frères." (Voir aussi Deutéronome 12,31; 16,22; Jérémie 44,4; Isaïe 61,8; Zacharie 8,17, et d'autres.)
D.ieu nous enjoint de partager cette haine du mal: Proverbes 8,13: "Craindre l’Éternel, c'est haïr le mal", Psaumes 97,10: "Vous qui aimez D.ieu, haïssez le mal", Amos 5,15: "Haïssez le mal et aimez le bien".
Essentiellement, les perpétrateurs de ces actes sont décrits comme ceux qui haïssent D.ieu (par exemple dans les Dix Commandements - Exode 20,5). Et l’Écriture nous engage à haïr ceux dont il est manifeste qu'ils haïssent D.ieu: Psaumes 139, 21: "Ceux qui te haïssent, D.ieu, je les hais", ibid. 21: "Je les hais d'une haine totale".
Cela est-il contradictoire avec le positivisme prôné par la Torah en général et le 'Hassidisme en particulier?
Tel est l'objet de l'article ci-dessus.
Lisez également:
Les antisémites, ça n’existe pas
D.ieu a-t-Il créé le mal?Reply
La haine est un sentiment de rejet extrême, de total exclusion. Haïr quelqu'un ou quelque chose revient à ressentir que cette chose n'a pas de place dans la réalité. Or, si D.ieu a créé telle chose ou telle personne, c'est bien parce qu'elle a vocation à exister et à contribuer au monde le bien qu'elle recèle en potentiel. Dès lors, quand on est confronté au mal chez autrui, l'attitude à adopter doit être positive, dans le sens de l'aider à surmonter son mauvais penchant pour pouvoir l'amener à exprimer le bien qui est en lui. C'est une approche qui est au cœur de la doctrine 'hassidique et qui s'applique à tous les être humains.
Toutefois, cela ne signifie pas que la haine soit exclue. On voit que D.ieu exprime Lui-même une haine vis-à-vis de certaine choses, et nous enjoint de partager cette haine. Ce sont essentiellement des conduites immorales ainsi que l'idolâtrie, toutes choses qui reviennent à nier la réalité divine du Bien absolu, comme il est dit dans Proverbes 6,16-19: "Il est six choses que l’Éternel déteste et sept qu'il a en horreur: les yeux hautains, la langue mensongère, les mains qui répandent le sang innocent; le cœur qui ourdit des desseins pervers, les pieds impatients de courir au mal, le faux témoin qui exhale le mensonge, enfin l'homme qui déchaîne la discorde entre frères." (Voir aussi Deutéronome 12,31; 16,22; Jérémie 44,4; Isaïe 61,8; Zacharie 8,17, et d'autres.)
D.ieu nous enjoint de partager cette haine du mal: Proverbes 8,13: "Craindre l’Éternel, c'est haïr le mal", Psaumes 97,10: "Vous qui aimez D.ieu, haïssez le mal", Amos 5,15: "Haïssez le mal et aimez le bien".
Essentiellement, les perpétrateurs de ces actes sont décrits comme ceux qui haïssent D.ieu (par exemple dans les Dix Commandements - Exode 20,5). Et l’Écriture nous engage à haïr ceux dont il est manifeste qu'ils haïssent D.ieu: Psaumes 139, 21: "Ceux qui te haïssent, D.ieu, je les hais", ibid. 21: "Je les hais d'une haine totale".
Cela est-il contradictoire avec le positivisme prôné par la Torah en général et le 'Hassidisme en particulier?
Tel est l'objet de l'article ci-dessus.
Lisez également:
Les antisémites, ça n’existe pas
D.ieu a-t-Il créé le mal?Reply
elisseievna 14
novembre 2013
le texte du Rav parle de haine envers des
personnes , il faut distinguer les personnes et leurs actes, des actes peuvent
etre odieux, "haissables", mais il ne faut jamais entretenir le
sentiment de haine envers des personnes mais au contraire lutter contre ce
sentiment
d'abord il faut être "froid" pour combattre efficacement concretement
avoir tout le sang froid et l'indiférrence necessaire pour agir en n'ayant que l'efficacité militaire comme but
ensuite, il faut mener ce combat en pensant toujours à faire en sorte de permettre au "méchant" de revenir
car si l'on n'y pense pas, si on ne pense quà le detruire, alors c'est la que l'on est complice du malReply
d'abord il faut être "froid" pour combattre efficacement concretement
avoir tout le sang froid et l'indiférrence necessaire pour agir en n'ayant que l'efficacité militaire comme but
ensuite, il faut mener ce combat en pensant toujours à faire en sorte de permettre au "méchant" de revenir
car si l'on n'y pense pas, si on ne pense quà le detruire, alors c'est la que l'on est complice du malReply
Sylvie Cohen Paris14
novembre 2013
Houla ! 3Mais en revanche, quand il s'agit
d'haïr ceux qui cherchent à nous détruire, certains disent que la haine est un
sentiment négatif? Votre manque de haine vis-à-vis de la haine antisémite
terroriste revient à perpétuer l'indifférence, et cette indifférence est une
complaisance avec ces ordures qui ne dit pas son nom.
Voilà.Reply
Voilà.Reply
Sylvie Cohen Paris14
novembre 2013
Houla ! suiteMais nous, nous nous gardons bien
de riposter de façon efficace parce que nous nous soucions d'eux avant de nous
soucier de nous-mêmes. Ils lancent leurs roquettes depuis le toit des écoles et
des hopitaux, parce qu'ils ESPERENT qu'un obus israéliens tombera à cet
endroit, tuera leurs enfants, pour qu'ils puissent gagner la bataille
médiatique. Tout le monde le sait, mais tout le monde joue le jeu.
Ces gens sont innommables et doivent être haïs et rejetés de toutes nos forces. Haïr quelque chose, c'est être dérangé par la chose. Quand il y a des dizaines de milliers de morts au Darfour ou au Sri Lanka, les Français n'en ont strictement rien à faire. C'est à peine s'ils le savent. En revanche, si des terroristes palestiniens parviennent à leurs fins et faire en sorte que la riposte israélienne fasse des dégats collatéraux, là ce sont des cris d'orfraie. La haine des Juifs progresse dans les rues et les cités: pensez-vous ce sont ceux qui "soutiennent ceux qui tuent des enfants arabes".Reply
Ces gens sont innommables et doivent être haïs et rejetés de toutes nos forces. Haïr quelque chose, c'est être dérangé par la chose. Quand il y a des dizaines de milliers de morts au Darfour ou au Sri Lanka, les Français n'en ont strictement rien à faire. C'est à peine s'ils le savent. En revanche, si des terroristes palestiniens parviennent à leurs fins et faire en sorte que la riposte israélienne fasse des dégats collatéraux, là ce sont des cris d'orfraie. La haine des Juifs progresse dans les rues et les cités: pensez-vous ce sont ceux qui "soutiennent ceux qui tuent des enfants arabes".Reply
Sylvie Cohen Paris14
novembre 2013
Houla !elisseievna, seriez-vous en train
de nous dire que vous haïssez la haine ? (Je vous cite: "la haine est
répugnante et obscène") Comment vous vous en sortez?
Moi, perso, un terroriste qui tue mes enfants parce qu'il les hait, je le hais. Golda Méir a dit: "Il y aura la paix quand les Arabes aimeront leurs propres enfants plus qu'ils ne nous détestent." Elle se trompait. Il y aura la paix quand nous cesserons d'être des pigeons et que nous aimerons NOS enfants plus que nous aimons les enfants de nos ennemis. Eux, leurs enfants, ils les ont fait depuis longtemps passer en pertes et profits. Ils les éduquent à la haine dès le plus jeune âge, exactement comme le faisaient les jeunesses hitlériennes. Ils leur apprennent qu'un bon juif est un juif mort. Ils les forment à la guerre avec nos impôts européens, ils leurs mettent des ceintures d'explosif pour massacrer des innocents qui prennent le bus ou les envoient poignarder des enfants juifs dans leur sommeil. Mais nous, nous nous gardons bReply
Moi, perso, un terroriste qui tue mes enfants parce qu'il les hait, je le hais. Golda Méir a dit: "Il y aura la paix quand les Arabes aimeront leurs propres enfants plus qu'ils ne nous détestent." Elle se trompait. Il y aura la paix quand nous cesserons d'être des pigeons et que nous aimerons NOS enfants plus que nous aimons les enfants de nos ennemis. Eux, leurs enfants, ils les ont fait depuis longtemps passer en pertes et profits. Ils les éduquent à la haine dès le plus jeune âge, exactement comme le faisaient les jeunesses hitlériennes. Ils leur apprennent qu'un bon juif est un juif mort. Ils les forment à la guerre avec nos impôts européens, ils leurs mettent des ceintures d'explosif pour massacrer des innocents qui prennent le bus ou les envoient poignarder des enfants juifs dans leur sommeil. Mais nous, nous nous gardons bReply
elisseievna france14
novembre 2013
la haine est le sentiment qui prépare au mal,
si Dieu lui meme ne veut pas la mort du méchant, quel sens a ce bas
ressassement à l'idée de le détruire, la haine est répugnante et obscene
je ne suis pas du tout d'accordReply
je ne suis pas du tout d'accordReply
Mariama Linda Lyon, France7 juin 2011
Ma questionL'esprit doit dominer... En
pratique, il ne domine pas toujours. Merci pour la réponse, mais même s'il faut
détester les terroristes, comment empêcher la haine de prendre le dessus
sachant que c'est un sentiment qui peut aisément devenir passionnel. Il me semble
que c'est tout simplement impossible de maitriser la haine d'autant plus
qu'elle nous apparait comme étant légitime. La haine a conduit bien des hommes
à leur perte.Reply
Sylvie Cohen 6 juin 2011
Réponse à MariamaJe pense que le défi est
clair au contraire: la Torah nous a donné un référentiel moral à travers lequel
nous pouvons distinguer le bien du mal. L'esprit doit dominer et orienter le
cœur sur la base de ce référentiel pour aimer ce qui doit être aimé et détester
ce qui doit être détesté, chaque chose à sa mesure.Reply
Mariama Linda Lyon, France6 juin 2011
faut il les hair ?Je vous ai lu avec
attention, mais il est clair que la haine est un sentiment qui, comme nous
l'avons vu par le passé, a tendance à dépasser la raison de l'homme. Quand la
haine nous submerge, on agit sans vraiment réfléchir. Encore plus quand on est
jeune. Il est donc clair que c'est utopique de penser qu'elle ne se
transformera pas de façon négative. Alors ne faut il pas trouver un sentiment
plus approprié face aux terroristes ? Vous dites qu'il y a un défi à relever,
mais vous n'expliquez pas comment ni par quels moyens. Je pense que beaucoup
peuvent vous lire sans comprendre que la haine n'est pas un bon sentiment et
encore moins qu'il faut le maitriser.
Mensonge d'une féministe contre moi
Conversation avec une féministe à
laquelle s’invite une troisième féministe :
Alpha écrit, citant Emmanuel
Macron, après avoir appelé à voter pour lui,
·
pour
certains, "le porno fait parti de la vie"
mais, heureusement, pas pour tou.te.s
mais, heureusement, pas pour tou.te.s
«
Typhaine D on Twitter “#Macron
avait dit "le #porno c'est la vie".Ce soir au #Louvre il confirme.
#OnVaTeCombattreTellementPendant5ansTuVasPasComprendre #Féminisme” »
Vive Geert Wilders, Vivent les musulmans, A bas le coran, à bas la sunna de Muhammad, à bas l'islam !
Vive Geert Wilders, Vivent les musulmans, A bas le coran, à bas la sunna de Muhammad, à bas l'islam !
bien que je ne sois pas du tout d'accord avec l'idée de Geert Wilders d'une interdiction du coran - au contraire, je pense important de l'étudier, selon les méthodes prônées par les universités islamiques comme avec la lecture rationnelle occidentale - je soutiens Geert Wilders, caricaturé par exemple dans cet article qui déforme ses propos :
Le coran a un contenu du même type que Mein Kampf, vomissant sans cesse les non musulmans, les juifs en particulier, prônant l'expansion militaire impérialiste, les massacres et les tortures, louant la force et le combat guerrier ...
https://www.nytimes.com/video/world/europe/100000004982794/geert-wilders-an-anti-muslim-voice-in-netherlands-election.html?smid=tw-nytimes&smtyp=cur
On voit clairement que Wilders n'a jamais dit que l'ensemble des musulmans seraient des "scum", des "sauvageons/racailles", mais qu'il parlait simplement des "racailles" qui sont marocains, comme il en existe dans toutes les populations.
bien que je ne sois pas du tout d'accord avec l'idée de Geert Wilders d'une interdiction du coran - au contraire, je pense important de l'étudier, selon les méthodes prônées par les universités islamiques comme avec la lecture rationnelle occidentale - je soutiens Geert Wilders, caricaturé par exemple dans cet article qui déforme ses propos :
Le coran a un contenu du même type que Mein Kampf, vomissant sans cesse les non musulmans, les juifs en particulier, prônant l'expansion militaire impérialiste, les massacres et les tortures, louant la force et le combat guerrier ...
https://www.nytimes.com/video/world/europe/100000004982794/geert-wilders-an-anti-muslim-voice-in-netherlands-election.html?smid=tw-nytimes&smtyp=cur
On voit clairement que Wilders n'a jamais dit que l'ensemble des musulmans seraient des "scum", des "sauvageons/racailles", mais qu'il parlait simplement des "racailles" qui sont marocains, comme il en existe dans toutes les populations.
La haine folle et le double langue de Caroline Fourest
A
l’origine de la haine folle de Caroline Fourest contre moi …
Visiblement, Caroline Fourest me hait et me harcèle
depuis des années. Le dernier épisode est sa plainte délirante contre moi pour …
un texte où je ne cite personne. Si j’avais
voulu parler d’elle au public, je l’aurais fait franchement, mais malheur,
horreur, Caroline n’est pas le centre du monde, en tout cas pas de mes pensées…
Sauf dans son délire haineux.
D’où vient, s’il faut une raison à la haine chez
certaines personnes, cette haine, haine dont je n’ai d’ailleurs pas le monopole, comme le
montre le tout récent numéro de la Revue du Crieur. https://www.revueducrieur.fr/
J’avais une « professeur » virtuelle d’islam,
Anne-Marie Delcambre, qui est devenue ensuite une amie.
Anne-Marie Delcambre est née en 1943, docteur en études islamiques1, docteur d’Etat en droit, agrégée
d’arabe classique,
Anne-Marie Delcambre a été professeur
d'arabe au lycée Louis-le-Grand, auteure entre autres des ouvrages suivants :
Méthode
d'arabe Linguaphone,
Linguaphone Institute, 1979
Mahomet, la
parole d'Allah, Gallimard,
coll. « Découvertes », 1987
Mahomet, Desclée de Brouwer, 1999.
Enquêtes sur
l'islam : En hommage à Antoine Moussali, collectif, Desclée de Brouwer, 2004
Elle est aussi co-auteure avec Pierre-André Taguieff
d’un livre contre le racisme ( « Face au racisme , les moyens d’agir
» Editions la Découverte 1991 chapitre
12).
https://www.youtube.com/watch?v=RX6vOYTvIp0 (Emission « Apostrophes » 1991)
Voici quelques propos de Anne-Marie Delcambre en défense des juifs :
Sur le site
Libertyvox :
" Et l’amour des Juifs (?) transparaît clairement dans cette même
sourate 5, verset 64/ou 69: «Et les Juifs disent: «La main d’Allah est fermée».
Que leurs propres mains soient fermées et maudits soient-ils pour l’avoir dit.
Au contraire, ses deux mains sont largement ouvertes. Il distribue ses dons
comme il veut. Et certes, ce qui a été descendu vers toi de la part de ton
Seigneur va faire beaucoup croître parmi eux la rébellion et la mécréance. NOUS
AVONS JETE PARMI EUX L’INIMITIE ET LA HAINE JUSQU’AU JOUR DE LA RESURRECTION.
TOUTES LES FOIS QU’ILS ALLUMENT UN FEU POUR LA GUERRE, ALLAH L’ETEINT. ET ILS
S’EFFORCENT DE SEMER LE DESORDRE SUR LA TERRE ALORS QU’ALLAH N’AIME PAS LES
SEMEURS DE DESORDRE».
Loin d’être
abrogé ce verset a été cité, mais habilement tronqué, pour appuyer une fatwa de
l’UOIF, destinée aux musulmans, lors des émeutes des banlieues. D’ailleurs la
sourate 5, la table servie, est la dernière révélée dans l’ordre de la
révélation. Comme les versets de la sourate 9, ses versets ne sont pas abrogés.
Or, c’est le contraire qu’on veut nous faire croire, dans le plus total mépris
de toute la littérature traditionnelle musulmane (depuis le commentaire de
Tabari au 9ème siècle jusqu’à celui de Sayyid Qutb, le maître à penser du
mouvement des Frères musulmans, pendu sur l’ordre de Nasser, en 1966. Les
commentaires sont extrêmement répétitifs et ne vont jamais dans le sens d’un
adoucissement). "
Anne Marie
Delcambre " L'Islam n'a pas deux visages " 25/6/2006
https://www.youtube.com/watch?v=B19bpNEhn5Y (Lors des assises de décembre 2010) :
" Il y a pour la
communauté juive un danger immense
contre lequel je me bats depuis 5 ans. Surtout çà cause du
problème d’ Israel. Les gens qui combattent contre les israeliens ne sont pas
des gens du XXième siècle : ce sont des gens qui se rappellent qu’il a été
dit «
qu’au jour du jugement dernier les juifs se cacheront derrière une pierre,
derrière un arbres, et que les pierres elles mêmes diront : «
il y a un juif derrière : tue
le ! ». Alors comment laisser … il y a non assistance à un peuple
en danger ! Alors je dirai : l’islam n’est pas ce que l’on vous dit,
l’islam est dangereux parce que dans l’islam il n’y a pas d’égalité, pas de
liberté, pas de fraternité, pas de possibilité de s’en sortir. »
Et je rappelle, à la mémoire d’Anne-Marie Delcambre,
qu’elle m’a confié dans ses dernières années, refuser désormais d’ajouter des
propos sur l’islam après tous ses livres, car ceux-ci avaient été repris de
manière déformée, pour servir contre les musulmans, ce qu’elle ne voulait en
aucun cas. Anne-Marie Delcambre s’est toujours battue, malgré les risques et
les représailles physiques effectives qu’elle a subi et dont elle n’a pas pu
parler, contre tous les racismes et toutes les haines envers des personnes.
En 2006, elle écrivait sur le site créé par un juif
américain :
17/10/2006
: « Caroline Fourest. Un fil mérite d’être ouvert pour mettre en
garde contre les écrits d’une personne dont les connaissances en islam sont
inexistantes. J’étais morte de honte, hier soir, que cette jeune femme puisse
dire autant de bêtises en un minimum de temps. Je pensais au jugement des
musulmans, concernant ses propos. C’est une honte que quelqu’un sans
connaissance de la matière puisse se poser en spécialiste, alors qu’on ignore
des gens comme les époux Urvoy qui sont des puits de science. …
[ citant un texte où Xavier Ternisien
reprochait à Caroline Fourest des accusations fausses selon lui ] Franchement
je ne croyais pas avant ce que disaient les « ennemis » de Caroline
Fourest, mais ce que je puis dire, après l’avoir écoutée hier soir, c’est
qu’elle dit n’importe quoi et que c’est extrêmement grave. …
Quand on attaque la réputation des gens, il
faut avoir de solides connaissances. Caroline Fourest parle de ce qu’elle ne
connait pas bien. Je le répète, hier soir son exposé sur l’islam n’était pas
juste. Alors les féministes comme cela, moi je m’en passerais bien.
Heureusement qu’il y a notre chère Elisseievna, féministologue distinguée, pour
rattraper cela dans mon esprit. Mais je suis ultra choquée. »
…
Comme
j’intervenais sur le forum pour défendre un peu Caroline, Anne Marie Delcambre
répondait : « Ah moi elisseievna, je
suis effondrée, car c’est impossible d’avoir étudié cinq ans les textes et de
dire ce qu’elle a dit. Mais elle n’a jamais ouvert un coran ? Qu’a-t-elle
lu ? Les livres de Malek Chebel ou quelqu’un de ce genre ! Ce n’est
pas possible autrement. Et ce qui m’étonnera toujours c’est l’indulgence de ces
journalistes … féministes pour l’islam ! Seulement on la croit !! »
«
elisseievna et les autres en savent un
milliard de fois plus que .. Caroline Fourest .. Si EN CINQ ANS elle a retenu
que l’islam n’était pas violent, elle aurait mieux fait de dormir ou de
s’occuper de la migration des autruches. »
J’ai alors
pris la défense de Caroline en disant notamment le 31/10/2006 :
« ... Il n’est pas question de ce
livre là, mais d’un autre parmi les nombreux qu’elle et Fiammetta Venner a écrit,
et de la thèse du distingo islam/islamisme, qu’elle défend depuis dans ses
interventions. .. Je trouve les
critiques de Anne Marie Delcambre justifiées, mais cela n’empêche pas d’estimer
la démarche de Caroline Fourest très courageuse. « Critiquer » ce
n’est pas attaquer. Cette thèse de distinguer islam/islamisme n’est qu’un
aspect du débat, sur le reste : la défense de la laïcité, des droits des
femmes, de nos libertés … elle dit des choses très justes. »
Puis j’ai tenté de réconcilier Anne-Marie Delcambre et
Caroline. J’ai appelé Anne-Marie Delcambre pour lui demander si elle acceptait
d’aider Caroline à apprendre l’islam, je leur ai écrit à toutes deux en ce sens
aussi. Anne-Marie Delcambre m’a dit : «
J’accepte bien sur, mais vous verrez que Caroline Fourest n’acceptera pas ».
J’ai téléphoné à Caroline, qui m’a presque raccroché à la figure.
Quelques mois après, elle publiait dans sa revue un article honteux contre Anne-Marie Delcambre.
Quelques mois après, elle publiait dans sa revue un article honteux contre Anne-Marie Delcambre.
Anne-Marie Delcambre avait répliqué sur Libertyvox,
dans l’article « Salir une islamologue » le 12 /6/2007 en disant
entre autres : « Il est pour moi hors
de doute que Madame Brancher a voulu faire plaisir à tous ceux qui rêvaient de
me voir discréditée… C’est d’autant plus drôle que Madame Caroline Brancher a
rédigé un article pour défendre Redeker, intitulé «Salir un philosophe». Elle
s’insurge contre une certaine gauche qui n’a pas hésité à traîner Redeker dans
la boue.
Je me suis amusée à remplacer le nom de Redeker par le mien et j’ai imaginé que Madame Caroline Brancher écrivait un article pour me défendre, intitulé «Salir une islamologue». Seulement, pour les propos concernant Rachida Dati, Madame Caroline Brancher a confondu allègrement, ce que dénonce brillamment la féministe antitotalitaire, Elisseievna, à savoir islam et musulman... Mais, de toute façon, dans son esprit, j’étais condamnée d’avance. Pour ce genre de journalistes, n’être pas de gauche est un vice rédhibitoire ». http://www.libertyvox.com/article.php?id=255
Je me suis amusée à remplacer le nom de Redeker par le mien et j’ai imaginé que Madame Caroline Brancher écrivait un article pour me défendre, intitulé «Salir une islamologue». Seulement, pour les propos concernant Rachida Dati, Madame Caroline Brancher a confondu allègrement, ce que dénonce brillamment la féministe antitotalitaire, Elisseievna, à savoir islam et musulman... Mais, de toute façon, dans son esprit, j’étais condamnée d’avance. Pour ce genre de journalistes, n’être pas de gauche est un vice rédhibitoire ». http://www.libertyvox.com/article.php?id=255
En lisant cela, Caroline s’est étouffée. Zéro plus que
pointé pour elle. Bon point répété pour moi.
Sa haine ressurgit périodiquement, dans des
manifestations plus ou moins publiques. Le dernier épisode est cette plainte, que Riposte laique a rendue publique, ce que je ne souhaitais pas.
Voir suite ici : http://elisseievna.blogspot.fr/2017/03/la-haine-folle-de-caroline-fourest-2.html
http://elisseievna.blogspot.fr/2017/03/la-haine-folle-de-caroline-fourest_13.html
http://elisseievna.blogspot.fr/2017/03/la-haine-folle-de-caroline-4eme-partie.html
http://elisseievna.blogspot.fr/2017/02/caroline-portraituree-par-la-revue-du.html
suite de l'article ci dessous ...Voir suite ici : http://elisseievna.blogspot.fr/2017/03/la-haine-folle-de-caroline-fourest-2.html
http://elisseievna.blogspot.fr/2017/03/la-haine-folle-de-caroline-fourest_13.html
http://elisseievna.blogspot.fr/2017/03/la-haine-folle-de-caroline-4eme-partie.html
http://elisseievna.blogspot.fr/2017/02/caroline-portraituree-par-la-revue-du.html
http://elisseievna.blogspot.fr/2017/03/la-haine-folle-de-caroline-fourest.html
Dans la Revue Charles n°1 Marc Endeweld du 7 mars 2012
Pierre-André
Taguieff explique, parlant de Caroline Fourest : « Le seul problème, c’est qu’elle ne connait pas grand-chose
à l’islam. Ses analyses sont à l’évidence de seconde main. Elle cite beaucoup
mais d’une manière ambigue. Elle peut s’inspirer très largement de livres déjà
publiés, mais ses références sont presque toujours révérencieuses ou
polémiques. Des islamologues qui ne sont pas forcément mes amis ont reconnu les
limites de son discours ainsi que ses erreurs factuelles. »
Et Marc Endeweld déclare que certaines des personnes qu'il a interviewées au sujet de Caroline : « Certains d’entre eux nous ont même confié – off the
record bien sûr – la craindre. Car « Madame Caroline Fourest » comme
la nomme, au détour d’une phrase, la féministe Liliane Kandel, s’est faite une
place de choix dans l’univers politico-médiatique. Dans notre République
gérontocratique, sa jeunesse est écoutée. Son avis importe, et pèse désormais. »
Un bon carnet d'adresse, l'oreille de Valls et de Hollande, selon " La Revue du Crieur" de février 2017 : voilà qui aide bien sûr à attaquer les autres ... ou plutôt, c'est la capacité d'attaquer les autres qui est justement ce que Caroline Fourest peut d'une certaine façon "vendre" à ses amis politiques : Riposte Laique vous embête ? Fiez vous à moi, je sais comment les démolir. " Elle n'est pas dans le débat, elle est dans la pression" comme dit Caroline de Haas citée dans cette revue.
Encore une fois, je suis loin d'être la seule cible : ainsi on peut lire dans la revue Charles :
"Ancien jounaliste de Témoignage chrétien, Stéphane Lavignotte,
aujourd’hui pasteur à Paris : « ce qui est effrayant chez elle c’est
que son courage contre l’extrême droite s’est retourné contre l’extrême gauche.
Toute son énergie s’est retournée contre son propre camp »."
Suite des articles suivants : http://elisseievna.blogspot.fr/2017/03/la-haine-folle-de-caroline-fourest-2.html la haine folle contre moi, pourquoi
et ... pas seulement contre moi : http://elisseievna.blogspot.fr/2017/02/caroline-portraituree-par-la-revue-du.html
Ainsi donc Caroline Fourest se plaint de ce que je parle de collaboration avec les militants pro-charia. Bouh, je serais coupable d'avoir voulu l'insulter ... alors que je ne nomme ni ne désigne personne de reconnaissable par le public. Caroline m'accuse. Alors que la seule victime c'est moi et la seule agresseuse, c'est elle. Nième manipulation des faits par Caroline ... Mais ce ne serait pas le plus dégoutant. Non, le plus dégoutant concerne le sujet de la délation.
autre exemple de sa manipulation de l'histoire à des fins de propagande, Caroline publiait dans sa revue ce texte :
Heureusement que la loi sur le délit d'entrave numérique ne s'applique pas dans tous les domaines à toutes les " diffusion ou transmission d’allégations ou d’indications de nature à induire intentionnellement en erreur, dans un but dissuasif, sur ...en exerçant des pressions morales et psychologiques, des menaces ou tout acte d’intimidation à l’encontre des personnes cherchant à s’informer sur ..."
par exemple dans le but de dissuader d'utiliser un terme, d'organiser son "bannissement symbolique" ou de salir ses utilisateurs.
Car oui le mot "islamophobie a une histoire, qui date de l'époque coloniale, quand déjà, il s'agissait d'oublier le contenu de l'islam pour imposer une colonisation sans évangélisation. ( ex : Alain Quellien, La politique musulmane dans l’Afrique occidentale française, Paris, Émile Larose, 1910, p. 133. : « L’islamophobie – Il y a toujours eu, et il y a encore, un préjugé contre l’Islam répandu chez les peuples de civilisation occidentale et chrétienne. Pour d’aucuns, le musulman est l’ennemi naturel et irréconciliable du chrétien et de l’Européen, l’islamisme est la négation de la civilisation, et la barbarie, la mauvaise foi et la cruauté sont tout ce qu’on peut attendre de mieux des mohamétans.»Mais le plus abject est ceci :
Caroline devrait m'approuver et condamner les délateurs au lieu de cela, elle me dénonce à la Justice pour avoir critiqué dans un texte de 2015 où je ne citais aucun nom mais seulement des types de conduites de collaboration objective ou volontaire avec les militants de l'islam, dont la délation :
elle devrait me soutenir puisqu'elle sait parfaitement le danger mortel de signer des textes critiques de l'islam ...
la preuve : elle explique elle-même ce danger mortel et la réalité du caractère mortel dans ce texte de 2005 sur Ayaan Hirsi Ali ...
Sa plainte contre moi est une abjection, produit de sa haine folle contre moi.
[ c'est moi qui souligne en rouge ]
Extraits de :
Ayaan
Hirsi Ali, l'insoumise (par Caroline Fourest)
(portrait
paru dans Charlie Hebdo et ProChoix en 2005)
La
députée hollandaise d'origine somalienne, Ayaan Hirsi Ali, vit sous protection
policière depuis qu'elle a osé se proclamer athée et critiquer l'archaïsme de
la religion musulmane. Les meurtriers de Théo Van Gogh veulent la tuer pour son
film « Soumission ». Elle se réaffirme « Insoumise » dans
un livre qui vient de paraître en français*. Caroline Fourest l'a rencontrée.
La
première que j'ai rencontré Ayaan, nous devions intervenir ensemble à un
colloque sur les victimes de l'islamisme à Genève. Elle a parlé en premier et
elle m'a demandé : « As-tu reçu des menaces pour ton livre sur Tariq
Ramadan ? ». La scène avait quelque chose d'assez surréaliste. Car de
tous les participants à ce colloque — une Iranienne torturée sous les mollahs,
un ancien esclave chrétien soudanais, moi et d'autres — Ayaan Hirsi Ali était
de loin la plus menacée d'entre nous... Nous nous sommes revues à Paris pour
son livre, Insoumise. Jamais
titre n'a trouvé meilleure ambassadrice. Pas seulement parce qu'Ayaan est une
femme magnifique, mais parce qu'elle incarne mieux que personne la résistance à
l'intégrisme.
« Le
multiculturalisme est un système raciste »
Moins
d'une semaine plus tard, son histoire la rattrape et la percute en même temps
que les Twin Towers. Horrifiée par les crimes commis une fois de plus au nom de
l'islam, elle intervient dans le débat public. Elle se proclame
« athée » et dénonce l'« archaïsme » de la religion au nom
de laquelle on a toujours voulu la dresser. Les menaces fusent de partout, de
son clan, de la communauté musulmane qui ne lui pardonne pas cette
« trahison ». Depuis Londres, son père lui reproche de « souiller »
l'islam. On craint pour sa vie. Elle est désormais placée sous haute
surveillance et ne peut plus se déplacer sans ses gardes du corps, fournis par
l'etat Hollandais. Mais ce n'est pas le pire. Son droit à l'inventaire n'est
pas seulement refusé par les fanatiques. Les relativistes, pleins de bonnes
intentions paternalistes à l'égard des minorités, se disent gênés. Surtout au
sein de son parti. « Au début, ils étaient contents que je parle. Mais ils
ne voulaient pas que je critique l'islam en tant que religion. Ils mettaient
tout sur le compte de la pauvreté ou de la colonisation. Mais j'ai grandi avec
l'islam, j'ai appris le monde à travers ses yeux. C'est au nom de cette
religion qu'on m'a appris à haïr les non musulmans : les Juifs, les
homosexuels, les athées... »
Rien
ne l'agace plus que cette façon de tuer l'esprit critique envers la religion au
nom du respect quasi folklorique des cultures : « L'enfer est pavé de
bonnes intentions... » Elle s'explique : « Le multiculturalisme
aujourd'hui signifie réguler les gens en fonction de leur communauté, de leur
religion et de leur culture. Très bien. Mais que fait-on des individus ?
Les gays, les femmes, les enfants ? Ceux qui ne veulent pas suivre les
lois de la communauté ? Ce système est un cauchemar pour les femmes comme
moi qui se sont enfuis de pays où le système les subordonne aux hommes et qui
viennent dans cette société pour être égales. Soudainement, les
multicuturalistes vous rappellent à l'ordre et vous disent non pas vous !
Vous, vous devez rester avec votre communauté et écoutez votre père, votre
frère, votre mari. On ne vous aidera pas... C'est ça l'égalité ? Quand on
y réfléchit, le multiculturalisme est un système purement raciste ».
Depuis
janvier 2003, date de son entrée au Parlement, elle se bat pour faire voter des
amendements contre les mutilations sexuelles et les mariages forcés.
Inlassablement. Elle désespère du parti travailliste Hollandais. En tant que
défenseur du système multiculturel, donc communautaire, la gauche dépend du
vote musulman : une communauté d'un million de votants dont beaucoup
votent sur consignes pour le parti travailliste... Privée de sa liberté de
parole à gauche, elle a donc choisi de continuer à se battre depuis le parti
libéral, centre droit mais plus soucieux des libertés individuelles :
« le parti auquel j'appartiens désormais ne raisonne pas en termes de
communautés mais d'individus et pour moi c'est une question centrale ». Et
pourtant, même là, on lui demande mettre en sourdine ses griefs contre l'islam.
L'avant-propos de son livre, par exemple, celui où elle raconte avoir été
élevée dans la haine des non musulmans au nom de la religion ne figure que dans
les versions hors Hollande. Trop subversif.
Le
meutre de Van Gogh
En
assassinant Théo Van Gogh, les islamistes ont commis une grave erreur : on
commence enfin à l'écouter. Le meurtre de Van Gogh ou la désillusion
multiculturaliste Elle a fait la connaissance du réalisateur maudit en 2003,
par le biais de journalistes qui voulaient faire un film sur elle. Quelque
temps plus tard, Van Gogh s'est vu refusé d'animer un débat au dernier moment
sur pression d'un islamiste belge venu l'intimider avec son clan. Une
humiliation publique, à laquelle ont pris part plusieurs élus socialistes, et
qu'il n'a pas supporté. « Il était mortifié, il n'arrêtait pas de
m'appeler ». À peine rentrée de New-York, la députée tente de le
calmer : « Pourquoi es-tu si en colère ? Tu es réalisateur,
non ? Fait un film là-dessus au lieu de te mettre en colère ? »
Le réalisateur accepte... à condition qu'elle lui écrive le script.
Ce
sera Soumission, un texte qu'ayaan Hirsi Ali
a écrit à l'origine pour une pièce de théâtre. Quatre femmes victimes de la
religion, du voile, du viol et des châtiments corporels, avec pour seule
consolation des versets du Coran tatoués sur leurs corps. Une pièce hantée par
son histoire mais aussi par les récits qu'ayan devait traduire du temps où elle
faisait l'interprète pour les réfugiés, de 1995 à 2001. Comme ce jour où elle a
dû apprendre à une femme que son mari lui avait transmis le Sida. Son mari, qui
la trompait avec des prostituées, n'arrêtait pas de répéter : « C'est
impossible. Je suis musulman ». Van Gogh veut porter ce texte à l'écran,
mais Ayaan le met en garde : « C'est dangereux ». Elle ne veut
pas avoir sur la conscience la mort d'actrices que les islamistes pourraient
reconnaître. Le réalisateur lui propose de filmer de façon à garantir leur
anonymat et donc leur sécurité. Et eux ? Elle-même accepte de mettre son
nom, mais elle prévient de nouveau Van Gogh : « tu es fou de signer.
C'est dangereux. Tu as des enfants. Tu ne peux pas faire ça. » Il ne veut
rien entendre : « Si je fais un film en Hollande en 2004 sur lequel
je ne peux pas mettre mon nom sans mourir, cela veut dire que nous vivons en
pleine barbarie »...
Théo
Van Gogh est mort le 2 novembre 2004, assassiné d'un coup de couteau en pleine
rue par un militant appartenant à un réseau islamiste.Sous le couteau, un
papier rappelait la menace de mort à l'encontre de Hirsi Ali, obligée de partir
de cacher dans une base militaire. Elle et Van Gogh avaient tenté d'imaginer
d'où viendrait la menace : « Quand cela va-t-il arriver ?
Comment ? Est-ce que ce sera avec un couteau ou avec une bombe ?
Est-ce que ce sera un homme ou une femme ? » Cette question a trouvé
une réponse. Reste à savoir où va maintenant le modèle néerlandais,
passablement ébranlé ? « Nous avons des francophiles qui veulent
suivre l'exemple français, à l'image de la loi sur les signes religieux. Et
nous avons des anglophiles qui veulent rester au modèle communautaire ».
Ayaan Hirsi Ali, qui a appris les langues comme autant de passeport vers la
liberté, va peut-être se mettre au Français : « Je ne sais dire qu'un
seul mot en Français, mais c'est mon mot préféré... Laïcité ».
Caroline
Fourest
- chez
Robert Laffont
mercredi
25 mai 2005
Suite de la partie 3 : http://elisseievna.blogspot.fr/2017/03/la-haine-folle-de-caroline-fourest_13.html
La haine folle de Caroline envers moi, se manifeste au combien envers d'autres, et fait exploser ses repères mentaux, ses "convictions profondes" ne sont manifestement pas les mêmes, selon qu'elle contient ou pas sa "rage" envers les personnes.
De quoi est faite au juste cette "rage" ? Surtout d'"enrager" de ne pouvoir réfuter les arguments d'autrui dans un vrai débat, comme le montre le "zéro pointé" que lui donnait Anne-Marie Delcambre. http://elisseievna.blogspot.fr/2017/03/la-haine-folle-de-caroline-fourest.html
Comparez ces deux textes :
De quoi est faite au juste cette "rage" ? Surtout d'"enrager" de ne pouvoir réfuter les arguments d'autrui dans un vrai débat, comme le montre le "zéro pointé" que lui donnait Anne-Marie Delcambre. http://elisseievna.blogspot.fr/2017/03/la-haine-folle-de-caroline-fourest.html
Comparez ces deux textes :
2005 : http://www.prochoix.org/cgi/blog/index.php/2005/05/25/510-ayaan-hirsi-ali-linsoumise-par-caroline-fourest
"Van Gogh veut porter ce texte à l'écran, mais Ayaan le met en garde : « C'est dangereux ». Elle ne veut pas avoir sur la conscience la mort d'actrices que les islamistes pourraient reconnaître. Le réalisateur lui propose de filmer de façon à garantir leur anonymat et donc leur sécurité. Et eux ? Elle-même accepte de mettre son nom, mais elle prévient de nouveau Van Gogh : « tu es fou de signer. C'est dangereux. Tu as des enfants. Tu ne peux pas faire ça. » Il ne veut rien entendre : « Si je fais un film en Hollande en 2004 sur lequel je ne peux pas mettre mon nom sans mourir, cela veut dire que nous vivons en pleine barbarie »...
Théo Van Gogh est mort le 2 novembre 2004, assassiné d'un coup de couteau en pleine rue par un militant appartenant à un réseau islamiste.Sous le couteau, un papier rappelait la menace de mort à l'encontre de Hirsi Ali, obligée de partir de cacher dans une base militaire."
2010 :
à propos de l'auteur juif d'un livre sur les Frères musulmans et l'islam :
à propos de l'auteur juif d'un livre sur les Frères musulmans et l'islam :
C. F. : je signale le vrai nom de P [ ...] [...] dans ma réponse à son attaque.
C. W. : D’ailleurs, pourquoi l’avoir indiqué ?
C. F. : Parce qu’on ne peut pas comprendre d’où vient pareil délire si on ne comprend pas l’intention de son auteur. Or [ ...] écrit sous le pseudonyme de P [...] pour ne pas assumer d’où il parle. C’est un avocat israélien très à droite. Même s’il s’en défend, il a été très proche de la Ligue de défense juive, une organisation à côté de qui le Bétar fait figure d’organisation gauchiste… Cela situe. Tariq Ramadan non plus n’aime pas assumer d’où il parle. Mon travail est de montrer les enjeux idéologiques qui agitent le débat d’idées, pas de laisser croire qu’il s’agit d’un complot ou d’une guerre de personnes. Par ailleurs, je crois profondément que l’anonymat nuit à ce débat d’idées sur internet. Tout le monde connaît mon visage et mes convictions. Je ne cache rien. Par contre, ceux qui m’insultent et diffament à longueur de journée se masquent pour parler. C’est leur liberté. Mais j’ai quand même le droit de signaler que cela ne contribue pas vraiment à élever le niveau du débat.
C. W. : D’ailleurs, pourquoi l’avoir indiqué ?
C. F. : Parce qu’on ne peut pas comprendre d’où vient pareil délire si on ne comprend pas l’intention de son auteur. Or [ ...] écrit sous le pseudonyme de P [...] pour ne pas assumer d’où il parle. C’est un avocat israélien très à droite. Même s’il s’en défend, il a été très proche de la Ligue de défense juive, une organisation à côté de qui le Bétar fait figure d’organisation gauchiste… Cela situe. Tariq Ramadan non plus n’aime pas assumer d’où il parle. Mon travail est de montrer les enjeux idéologiques qui agitent le débat d’idées, pas de laisser croire qu’il s’agit d’un complot ou d’une guerre de personnes. Par ailleurs, je crois profondément que l’anonymat nuit à ce débat d’idées sur internet. Tout le monde connaît mon visage et mes convictions. Je ne cache rien. Par contre, ceux qui m’insultent et diffament à longueur de journée se masquent pour parler. C’est leur liberté. Mais j’ai quand même le droit de signaler que cela ne contribue pas vraiment à élever le niveau du débat.
Lorsqu'il s'agit pour Caroline de se valoriser en montrant son soutien à Hirsi Ali, elle s'applique à expliquer que la conscience de celle ci lui dicte de recommander instamment l'anonymat aux personnes critiquant l'islam. Alors que quand il s'agit de s'attaquer à un auteur qui a osé la critiquer, tout à coup " sa conviction profonde" serait que l'anonymat nuit au débat ... De qui se moque-t-elle !
On peut très comprendre d'ou viennent les critiques d'une personne en lisant ses articles où il explique ses idées, et Caroline pouvait se contenter d'expliquer ses idées selon elle, ce prétexte ne tient pas debout.
en 2013, Caroline Fourest révèlera dans " Le Monde " son identité d'Etat civil, jusqu'alors elle écrivait exclusivement, invoquant sa sécurité, sous un nom que l'usage français ne lui permettait pas d'utiliser, c'est à dire sous un pseudonyme, elle ne pouvait donc pas dire qu'elle "ne cachait rien". Mais à la différence de Ayaan Hirsi Ali, Caroline Fourest est selon les termes de Sadri Khiari "une avocate de l'islam", une avocate déterminée, affirmant que la critique de l'islam et non de l'islamisme est du racisme, elle n'a donc rien à craindre de ses partisans.
Entretemps, Caroline avait elle aussi été victime d'une dénonciation répugnante de la part du journal Minute, qui avait révélé son nom de famille. Le fait qu'elle ait ensuite décidée en 2013 de le dire elle même ne change rien à l'ignominie de la dénonciation par ce journal. Elle sait donc parfaitement " le mal que fait " ... la délation, du moins, elle en sait une partie, puisque comme elle le dit elle même dans ce texte de 2005, elle n'est pas aussi exposée qu'une Ayaan Hirsi Ali qui, elle, critique l'islam. Elle n'est pas non plus aussi exposée qu'un auteur juif, puisqu'elle n'est pas juive.
Entretemps, Caroline avait elle aussi été victime d'une dénonciation répugnante de la part du journal Minute, qui avait révélé son nom de famille. Le fait qu'elle ait ensuite décidée en 2013 de le dire elle même ne change rien à l'ignominie de la dénonciation par ce journal. Elle sait donc parfaitement " le mal que fait " ... la délation, du moins, elle en sait une partie, puisque comme elle le dit elle même dans ce texte de 2005, elle n'est pas aussi exposée qu'une Ayaan Hirsi Ali qui, elle, critique l'islam. Elle n'est pas non plus aussi exposée qu'un auteur juif, puisqu'elle n'est pas juive.
Caroline a des "convictions profondes" à géométrie variable, selon qu'il s'agit de se valoriser en se présentant aux côtés d'une vraie héroïne, ou selon qu'il s'agit de s'en prendre à un homme qui a commis le "crime" de la critiquer ...
Ayaan Hirsi Ali a une conscience qui lui dicte de ne pas briser l'anonymat de personnes que les islamistes pourraient reconnaître. Caroline invente n'importe quoi pour ne pas entendre la sienne, quand elle brise l'anonymat de personnes que les islamistes pourraient reconnaître.
Et maintenant elle ose porter plainte ... parce que j'ai écrit contre la révélation de noms, sans désigner personne, exactement ce qu'elle écrivait en 2005 (!) ...
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vous concluez que la réponse adéquate à ceux qui nous haïssent c'est de les haïr à notre tour.
Je ne partage pas du tout votre point de vue.
La haine des peuples contre le peuple juif est un midah kenegued midah de la sinat 'hinam existant à l'intérieur même du peuple juif.
La seule solution valable pour contrer ceux qui nous haïssent, c'est donc de renforcer notre amour vers nos frères juifs, resserrer nos liens et combattre la sinat 'hinam (interne au peuple juif) qui nous gangrène.
Haïr à notre tour celui qui nous hait (fût-il terroriste) c'est montrer que l'on a rien compris au message du Ribono Chel 'Olam.Reply