Parce que ce beau-père qui "se soulage" dans la bouche et le vagin de petites fille,
se pense en droit de le faire à cause de la pornographie,
parce que des intellectuels lui disent que se soulager fait partie de la nature masculine,
et qu'il y a des femmes faites pour cela, des putes, dès le plus jeune âge,
parce que des hommes comme lui pensent pouvoir agir en toute impunité parce que les mères n'ont pas les moyens - financiers, relations sociales, idéologie - de se défendre,
parce que des idéologues insinuent que les enfants le veulent bien,
parce que les lois sur le divorce et la garde empêchent les mères de protéger leurs enfants,
parce que des hommes disent encore qu'il est normal que le père soit le protecteur et chef de famille, donc insoupçonnable, et la mère dans sa dépendance,
parce que ces causes réelles sont niées pour faire du comportement de cet homme un probleme médical alors qu'il est social et idéologique,
parce que ces idées reposant sur l'orgueil des hommes qui veut garder l'avantage de leur force, sur la vanité, c'est à dire la bassesse, qui les autorise à se laisser aller à satisfaire leur envie d'être reconnus comme infaillibles, leur envie d'avoir le pouvoir, les encourage à satisfaire leurs autres envies aux dépens des plus faibles : un vice en entraine un autre,
c'est pour toutes ces raisons que nous serons Féministes, tant qu'il le faudra ...
ce n'est que lorsqu'une organisation prenant réellement en compte les besoins de tout-e-s, comme le demandent les féministes, et assurant réellement des sauvegardes contre les abus de pouvoir des hommes, que ces horreurs deviendront l'exception marginale, ce qu'elles sont loin d'être aujourd'hui !
"Je ne suis pas Marc Dutroux, je voulais juste me soulager"
© photo news.
Une affaire de moeurs est
actuellement jugée au tribunal correctionnel de Charleroi. Trois fillettes
auraient été abusées par leur beau-père. Les justifications de ce dernier
laissent perplexe.
L'affaire
en cours au tribunal correctionnel de Charleroi confronte Jean C. aux représentants
de ses trois belles-filles. Comme le relate RTL-Tvi, l'accusé aurait abusé de
la plus jeune depuis 2007, alors qu'elle avait à peine deux ans et demi.
L'enfant avait avoué les faits en 2013 à une éducatrice d'un centre spécialisé de Pont-de-Loup, précisant que ses deux soeurs avaient subi le même sort; l'aînée ne dira avoir été que victime d'attentats à la pudeur. Leur beau-père a avoué ce mardi les fellations et des pénétrations digitales sur les deux plus jeunes et une relation "complète" avec la cadette.
Face à la dangerosité, l'absence d'empathie et le haut risque de récidive,
la substitut Dutrifoy a réclamé une peine de six ans de prison. Elle s'appuie notamment sur les propos du prévenu qui aurait déclaré aux enquêteurs "ne pas être un pédophile comme Marc Dutroux, mais qu'il voulait simplement se soulager".
Le conseil de Jean C, Me Poisson, a, quant à lui, réclamé une peine de prison avec un sursis probatoire et la prescription d'un traitement médical empêchant toute récidive. Jugement le 11 mars.
L'enfant avait avoué les faits en 2013 à une éducatrice d'un centre spécialisé de Pont-de-Loup, précisant que ses deux soeurs avaient subi le même sort; l'aînée ne dira avoir été que victime d'attentats à la pudeur. Leur beau-père a avoué ce mardi les fellations et des pénétrations digitales sur les deux plus jeunes et une relation "complète" avec la cadette.
Face à la dangerosité, l'absence d'empathie et le haut risque de récidive,
la substitut Dutrifoy a réclamé une peine de six ans de prison. Elle s'appuie notamment sur les propos du prévenu qui aurait déclaré aux enquêteurs "ne pas être un pédophile comme Marc Dutroux, mais qu'il voulait simplement se soulager".
Le conseil de Jean C, Me Poisson, a, quant à lui, réclamé une peine de prison avec un sursis probatoire et la prescription d'un traitement médical empêchant toute récidive. Jugement le 11 mars.
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