Бабий Яр/ Babi Yar / כתוביות בעברית /באבי יאר
Бабий Яр/ Babi Yar / כתוביות בעברית /באבי יאר
29 сентября 1941 года в местечке Бабий Яр совершилось одно из самых страшных преступлений ХХ века. За один день здесь было расстреляно около 34 тысяч евреев. Элеоноре, на глазах которой погибли отец, мать, сестра, сын, соседи, друзья, чудом удалось спастись. Спустя 60 лет, став богатой и влиятельной женщиной, занимающийся международной политикой, она приезжает в родной Киев, чтобы поклониться могилам своих родных, и найти ту, которая спасла ей жизнь. Но судьба приготовила ей еще одно испытание: В Бабьем Яру она встречает немца, бывшего фашистского офицера, рисовавшего ее с сыном на краю могилы...
Islam et impérialisme : "Vous vous réveillerez quand il sera trop tard"
Comment la dictature et le génocide arrivera en Europe "pacifiquement", par l'immigration, la politique sociale favorisant les familles nombreuses pauvres, la démagoegie de la fausse gauche, et les élections démocratiques ...
Le père Boulad : Le printemps arabe et les... par BlogCopte
Le père Boulad : Le printemps arabe et les... par BlogCopte
Féministes contre la prostitution et la pornographie
Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen
Article 4 - La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi.
Le plaisir pris par l'achat de prostitution, et le plaisir décrit par la pornographie, qui montre des scènes sexuelles où la femme dévalorisée, ( contrairement à l'érotisme qui valorise le partenaire, femme ou homme), sont condamnables en tant qu'atteinte à l'intégrité physique ou incitation à une telle atteinte.
Le plaisir de l'achat de prostitution, comme de ceux qui manipulent les femmes et enfants de leur entourage pour obtenir d'eux des actes pornographiques, est un plaisir pervers, plaisir de faire du mal physiquement et mentalement, plaisir d'imposer des actes par le pouvoir de l'argent, de la contrainte morale, plaisir de salir et d'avilir et d'humilier.
La pornographie comme la légitimation de l'achat de prostitution ont en commun avec les visions racistes et fascistes, l'affirmation d'un supposé droit d'une élite supposée à instrumentaliser des êtres plus faibles, pour satisfaire ses supposés "besoins" ou seulement sa propre jouissance.
Les prostitué-e-s renforcent les conditions de leur propre oppression quand ils ou elles "créent le besoin" de leurs "services" en incitant à les utiliser, mais une telle attitude est le plus souvent le résultat de la nécessité.
La faute est du côté de ceux qui utilisent le pouvoir que leur donne argent et domination sociale pour abuser de plus faibles.
La faute est du côté d'une idéologie du "jouir sans entrave" qui est la négation de la définition de la liberté comme bornée, " entravée" par l'interdit de nuire et de détruire la liberté d'autrui, l'interdit de la violence sexuelle.
Faut il "tomber" dans le moralisme qui lie sexe et amour m'objecte-t-on ? Réponse 1 : Quand on parle de sexe pour le plaisir " entre adultes consentants" et non pas par "amour", ne suppose-t-on pas implicitement qu'il y a entre ces deux (ou plus) personnes, ce "minimum d'amour" qui consiste à se plaire et à faire attention au bien-être et et au plaisir de l'autre, cette base minimale d'amour sans lequel le plaisir tourne au rapport de force et à l'abus ? ... Réponse 2 : je ne vois pas où est le problème dans l'interrogation morale, l'interrogation sur la valeur morale bonne ou mauvaise sur les actes de toutes sortes : cela s'appelle responsabilité, conscience, base de la dignité humaine ...
traduction en français : http://sisyphe.org/spip.php?article4191#.T6N-Z_4E7WI.facebook
Le plaisir pris par l'achat de prostitution, et le plaisir décrit par la pornographie, qui montre des scènes sexuelles où la femme dévalorisée, ( contrairement à l'érotisme qui valorise le partenaire, femme ou homme), sont condamnables en tant qu'atteinte à l'intégrité physique ou incitation à une telle atteinte.
Le plaisir de l'achat de prostitution, comme de ceux qui manipulent les femmes et enfants de leur entourage pour obtenir d'eux des actes pornographiques, est un plaisir pervers, plaisir de faire du mal physiquement et mentalement, plaisir d'imposer des actes par le pouvoir de l'argent, de la contrainte morale, plaisir de salir et d'avilir et d'humilier.
La pornographie comme la légitimation de l'achat de prostitution ont en commun avec les visions racistes et fascistes, l'affirmation d'un supposé droit d'une élite supposée à instrumentaliser des êtres plus faibles, pour satisfaire ses supposés "besoins" ou seulement sa propre jouissance.
Les prostitué-e-s renforcent les conditions de leur propre oppression quand ils ou elles "créent le besoin" de leurs "services" en incitant à les utiliser, mais une telle attitude est le plus souvent le résultat de la nécessité.
La faute est du côté de ceux qui utilisent le pouvoir que leur donne argent et domination sociale pour abuser de plus faibles.
La faute est du côté d'une idéologie du "jouir sans entrave" qui est la négation de la définition de la liberté comme bornée, " entravée" par l'interdit de nuire et de détruire la liberté d'autrui, l'interdit de la violence sexuelle.
Faut il "tomber" dans le moralisme qui lie sexe et amour m'objecte-t-on ? Réponse 1 : Quand on parle de sexe pour le plaisir " entre adultes consentants" et non pas par "amour", ne suppose-t-on pas implicitement qu'il y a entre ces deux (ou plus) personnes, ce "minimum d'amour" qui consiste à se plaire et à faire attention au bien-être et et au plaisir de l'autre, cette base minimale d'amour sans lequel le plaisir tourne au rapport de force et à l'abus ? ... Réponse 2 : je ne vois pas où est le problème dans l'interrogation morale, l'interrogation sur la valeur morale bonne ou mauvaise sur les actes de toutes sortes : cela s'appelle responsabilité, conscience, base de la dignité humaine ...
traduction en français : http://sisyphe.org/spip.php?article4191#.T6N-Z_4E7WI.facebook
Le massacre programmé des chrétiens au Nigéria
http://www.christianophobie.fr/breves/le-massacre-programme-des-chretiens-au-nigeria-laisse-de-glace-la-communaute-internationale
Le massacre programmé des chrétiens au
Nigéria laisse de glace la « communauté internationale »
juin 17, 2012
Les deux attentats de dimanche dernier au
Nigéria (voir ici et là) ont
été “revendiqués” par le Boko Haram. Un
supposé porte-parole de cette secte islamiste – financée et équipée en
sous-main par des pays “respectables” comme l’Arabie Saoudite et le Qatar –, Abul Qaqa a défini avec précision les buts
stratégiques de son groupe d’assassins lors d’une conférence de presse par
téléphone destinée aux journalistes réunis dans la ville de Maiduguri (nord-est
du pays) et que l’édition sur internet du journal nigérian Ossun Defender a rapporté le 11 juin : « Nous revendiquons l’attaque suicide contre une église à Jos
et également l’autre attaque contre une autre église à Biu (…) L’État nigérian
et les chrétiens sont nos ennemis, et nous lancerons des attaques contre l’État
nigérian et ses services de sécurité ainsi que contre les églises jusqu’à ce
que nous atteignions notre but qui est d’établir un État islamique en place et
lieu de l’État laïc ». On ne saurait être plus clair.
Seul homme politique de quelque importance
au plan international à avoir réagi, le ministre italien pour la Coopération
internationale, Andrea Riccardi, a lancé un appel
pathétique :« Le sang chrétien a encore été répandu
au Nigéria, conformément à un plan désormais très clair de nettoyage ethnique
et religieux. La communauté internationale ne peut plus assister à ce massacre
de gens innocents sans intervenir ». Un appel qui n’a pas été
entendu. Qu’importe le sang des chrétiens pour la “communauté internationale”…
D.H.
Pornographie : danger pour les enfants
http://youtu.be/6hKxPndAEH8
http://www.youtube.com/watch?v=6hKxPndAEH8&feature=relmfu
http://youtu.be/I0R9ub24EYw
http://www.youtube.com/watch?v=I0R9ub24EYw&feature=relmfu
Danger pornographie sur pré-pubères par tendance-sante
Conséquence pornographie sur les ados par tendance-sante
Conséquences de la pornographie par tendance-sante
http://www.youtube.com/watch?v=6hKxPndAEH8&feature=relmfu
http://youtu.be/I0R9ub24EYw
http://www.youtube.com/watch?v=I0R9ub24EYw&feature=relmfu
Danger pornographie sur pré-pubères par tendance-sante
Conséquence pornographie sur les ados par tendance-sante
Conséquences de la pornographie par tendance-sante
Père Maximilien Kolbe
" Ainsi donc cette troisème étape de la vie est celle de la souffrance ... et probablement qu'elle m'attends pour bientôt ... De qui viendra-t-elle ? quand ? et comment ? L'immaculée le sait. Ainsi, souffrir, travailler et mourir en chevaliers non d'une mort ordinaire, mais par exemple, d'une balle dans la nuque pour sceller notre amour envers l'Immaculée, en versant en vrai chevalier notre sang jusqu'à la dernière goutte, afin de hâter la conquête du monde entier à elle. C'est cela que je souhaite, pour vous comme pour moi. en effet mes chers enfants, que pourrais-je souhaiter de plus sublime, pour vous et pour moi ? Je ne connais rien de plus sublime. Et si j'en connaissais, je vous en aurais parlé, mais je n'en connais pas !.. Et le Seigneur Jésus lui-même a dit : " Il n'y a pas de plus grand aluor que de donner sa vie pour ses amis" (Jean 15,13)" Maximilien Kolbe, Niepokalanow, lundi 28 août 1939.
Rajmund Kolbe, en religion Maximilien Marie Kolbe, né le 7 janvier 1894 à Zduńska Wola en Pologne, mort au camp de concentration d'Auschwitz le 14 août 1941 était un frère franciscain conventuel polonais,
En juillet 1941, un homme disparaît dans le bloc 14, où se trouve le père Kolbe. Aussitôt, les nazis sélectionnent dix hommes de la même baraque et les condamnent à mourir de faim et de soif, afin de décourager les tentatives d'évasion.
Kolbe se porte volontaire pour remplacer Franciszek Gajowniczek, père de famille. Les nazis consentent à la substitution ; les dix prisonniers sont enfermés dans un bunker souterrain du camp à peine éclairé par des ouvertures étroites. Bien que la faim et la soif poussent les condamnés à la folie de s'entretuer après quelques jours seulement, le prêtre Maximilien réussit à faire régner le calme et la piété entre ses compagnons de cette tragédie au moyen de prières et d'oraisons. Après deux semaines de famine1, seul le père Kolbe qui a soutenu et vu mourir tous ses compagnons, est encore miraculeusement en vie. La place venant à manquer, il est exécuté d'une injection de phénol dans le bras. (↑ Patricia Treece, Maximilien Kolbe, éditions Flammarion, 2003, page 278.)
****
Fiammetta Venner me reproche d'être une drôle de laïque qui ne critique pas assez le christianisme : c'est vrai, je n'ai grand chose à dire contre le christianisme.
Je la laisse inventer ce qu'elle veut, du genre " le préservatif est un produit miraculeux, le seul qui ait zéro défaut, 100% de fiabilité et si le pape dit le contraire c'est un affreux assassin intégriste", elle ira expliquer cela aux parents des enfants chrétiens crucifiés par des musulmans. http://pointdebasculecanada.ca/actualites/1000626.html
D'ailleurs ces crétineries, Caroline les dit ici :
( pour ceux et celles qui n'ont pas suivi le débat : le préservatif n'étant pas fiable à cent pour cent, il réduit la probabilité d'être contaminé, mais pas la nature du risque en cas de contamination : risque qui est la mort ... inciter au vadrouillage sexuel sous préservatif, c'est donc bien inciter au risque de s'exposer ou d'exposer autrui à la mort, en accroissant la probabilité de l'être à proportion du nombre de partenaires : sachant cela, qui est l'assassin potentiel : celui qui prêche " l'éclate" sous latex ou celui qui prêche l'abstinence ou la fidélité ? Qui est le valet du capitalisme sauvage : celui qui demande une conduite qui ne nécessite aucun accessoire commercialisé, ou ceux qui se font les commerciaux des marchands de condoms, dont le chiffre d'affaire dépend du nombre de risques de contamination pris ?...)
L'égalité consistant à traiter également ce qui est égal et différemment ce qui est différent, je ne mets pas sur le même plan ni au même niveau, une religion qui ordonne à ses adeptes de mourir son dieu et une religion qui demande d'imiter un dieu qui meurt supplicié pour les humains.
Une religion qui prône la vie ou le sacrifice pour autrui est d'une valeur supérieure ( et plus conforme aux droits humains - évidemment, ils sont dans leur noyau central issus de la bible ...) à une religion qui prône de tuer et de mourir en tuant.
Pierre Dac : ce que cela signifie pour moi, la France
http://judaisme.sdv.fr/index.htm
Histoire des Juifs d'Alsace - Grand Rabbin Max Warschawski
Les Juifs sont installés en Alsace depuis de longs siècles. Sans oser affirmer leur présence depuis le haut moyen âge, comme ce fut le cas des Juifs de la vallée du Rhin que l'on découvre à Cologne dès le 5ème siècle, on peut prétendre que la première communauté alsacienne s'est constituée aux alentours de l'an mille...
Pierre Dac Bagatelle sur un tombeau par susacacon
10 mai 1944: au micro de Radio-Paris, Philippe
Henriot, éditorialiste au service de la propagande, donc des Allemands, attaque
Pierre Dac en évoquant ses origines juives et en rappelant qu'il s'appelle en
réalité André Isaac et qu'il est le fils de Salomon et de Berthe Kahn
"... Dac s'attendrissant sur la France, c'est d'une si énorme cocasserie qu'on voit bien qu'il ne l'a pas fait exprès. Qu'est-ce qu'Isaac, fils de Salomon, peut bien connaître de la France, à part la scène de l'ABC où il s'employait à abêtir un auditoire qui se pâmait à l'écouter ? La France, qu'est-ce que ça peut bien signifier pour lui ?..."
Le lendemain, oubliant le profond sentiment d'écoeurement qui l'habite, Pierre Dac lui répond au micro...
"... Dac s'attendrissant sur la France, c'est d'une si énorme cocasserie qu'on voit bien qu'il ne l'a pas fait exprès. Qu'est-ce qu'Isaac, fils de Salomon, peut bien connaître de la France, à part la scène de l'ABC où il s'employait à abêtir un auditoire qui se pâmait à l'écouter ? La France, qu'est-ce que ça peut bien signifier pour lui ?..."
Le lendemain, oubliant le profond sentiment d'écoeurement qui l'habite, Pierre Dac lui répond au micro...
BAGATELLE SUR UN
TOMBEAU
"M. Henriot s'obstine; M. Henriot est buté. M. Henriot ne veut pas parler des Allemands. Je l'en ai pourtant prié de toutes les façons : par la chanson, par le texte, rien à faire. Je ne me suis attiré qu'une réponse pas du tout aimable - ce qui est bien étonnant - et qui, par surcroît, ne satisfait en rien notre curiosité. Pas question des Allemands.
C'est entendu, monsieur Henriot, en vertu de votre théorie raciale et national-socialiste, je ne suis pas français. A défaut de croix gammée et de francisque, j'ai corrompu l'esprit de la France avec L'Os à moelle. Je me suis, par la suite, vendu aux Anglais, aux Américains et aux Soviets. Et pendant que j'y étais, et par-dessus le marché, je me suis également vendu aux Chinois. C'est absolument d'accord. Il n'empêche que tout ça ne résout pas la question: la question des Allemands. Nous savons que vous êtes surchargé de travail et que vous ne pouvez pas vous occuper de tout. Mais, tout de même, je suis persuadé que les Français seraient intéressés au plus haut point, si, à vos moments perdus, vous preniez la peine de traiter les problèmes suivants dont nous vous donnons la nomenclature, histoire de faciliter votre tâche et de vous rafraîchir la mémoire :
1. Le problème de la
déportation;
2. Le problème des
prisonniers;
3. Le traitement des
prisonniers et des déportés;
4. Le statut actuel de
l'Alsace-Lorraine et l'incorporation des Alsaciens-Lorrains dans l'armée
allemande;
5. Les réquisitions
allemandes et la participation des autorités d'occupation dans l'organisation
du marché noir;
6. Le fonctionnement de la
Gestapo en territoire français et en particulier les méthodes d'interrogatoire
7. Les déclarations du
Führer dans Mein Kampf concernant l'anéantissement de la
France.
Peut-être me répondrez-vous, monsieur Henriot, que je
m'occupe de ce qui ne me regarde pas, et ce disant vous serez logique avec
vous-même, puisque dans le laïus que vous m'avez consacré, vous vous écriez
notamment : "Mais où nous atteignons les cimes du comique, c'est quand
notre Dac prend la défense de la France! La France, qu'est-ce que cela peut
bien signifier pour lui ?"
Eh bien ! Monsieur Henriot, sans vouloir engager de vaine polémique, je vais vous le dire ce que cela signifie, pour moi, la France.
Laissez-moi vous rappeler, en passant, que mes parents, mes grands-parents, mes arrière-grands-parents et d'autres avant eux sont originaires du pays d'Alsace, dont vous avez peut-être, par hasard, entendu parler ; et en particulier de la charmante petite ville de NIEDERBRONN, près de Saverne, dans le Bas-Rhin. C'est un beau pays, l'Alsace, monsieur Henriot, où depuis toujours on sait ce que cela signifie, la France, et aussi ce que cela signifie, l'Allemagne. Des campagnes napoléoniennes en passant par celles de Crimée, d'Algérie, de 1870-1871, de 14-18 jusqu'à ce jour, on a dans ma famille, monsieur Henriot, lourdement payé l'impôt de la souffrance, des larmes et du sang.
Voilà, monsieur Henriot, ce que cela signifie pour moi, la France. Alors, vous, pourquoi ne pas nous dire ce que cela signifie, pour vous, l'Allemagne ?
Un dernier détail: puisque vous avez si complaisamment cité les prénoms de mon père et de ma mère, laissez-moi vous signaler que vous en avez oublié un celui de mon frère. Je vais vous dire où vous pourrez le trouver ; si, d'aventure, vos pas vous conduisent du côté du cimetière Montparnasse, entrez par la porte de la rue Froidevaux ; tournez à gauche dans l'allée et, à la 6e rangée, arrêtez-vous devant la 8e ou la 10e tombe. C'est là que reposent les restes de ce qui fut un beau, brave et joyeux garçon, fauché par les obus allemands, le 8 octobre 1915, aux attaques de Champagne. C'était mon frère. Sur la simple pierre, sous ses nom, prénoms et le numéro de son régiment, on lit cette simple inscription: "Mort pour la France, à l'âge de 28 ans". Voilà, monsieur Henriot, ce que cela signifie pour moi, la France.
Sur votre tombe, si toutefois vous en avez une, il y aura aussi une inscription: elle sera ainsi libellée :
Eh bien ! Monsieur Henriot, sans vouloir engager de vaine polémique, je vais vous le dire ce que cela signifie, pour moi, la France.
Laissez-moi vous rappeler, en passant, que mes parents, mes grands-parents, mes arrière-grands-parents et d'autres avant eux sont originaires du pays d'Alsace, dont vous avez peut-être, par hasard, entendu parler ; et en particulier de la charmante petite ville de NIEDERBRONN, près de Saverne, dans le Bas-Rhin. C'est un beau pays, l'Alsace, monsieur Henriot, où depuis toujours on sait ce que cela signifie, la France, et aussi ce que cela signifie, l'Allemagne. Des campagnes napoléoniennes en passant par celles de Crimée, d'Algérie, de 1870-1871, de 14-18 jusqu'à ce jour, on a dans ma famille, monsieur Henriot, lourdement payé l'impôt de la souffrance, des larmes et du sang.
Voilà, monsieur Henriot, ce que cela signifie pour moi, la France. Alors, vous, pourquoi ne pas nous dire ce que cela signifie, pour vous, l'Allemagne ?
Un dernier détail: puisque vous avez si complaisamment cité les prénoms de mon père et de ma mère, laissez-moi vous signaler que vous en avez oublié un celui de mon frère. Je vais vous dire où vous pourrez le trouver ; si, d'aventure, vos pas vous conduisent du côté du cimetière Montparnasse, entrez par la porte de la rue Froidevaux ; tournez à gauche dans l'allée et, à la 6e rangée, arrêtez-vous devant la 8e ou la 10e tombe. C'est là que reposent les restes de ce qui fut un beau, brave et joyeux garçon, fauché par les obus allemands, le 8 octobre 1915, aux attaques de Champagne. C'était mon frère. Sur la simple pierre, sous ses nom, prénoms et le numéro de son régiment, on lit cette simple inscription: "Mort pour la France, à l'âge de 28 ans". Voilà, monsieur Henriot, ce que cela signifie pour moi, la France.
Sur votre tombe, si toutefois vous en avez une, il y aura aussi une inscription: elle sera ainsi libellée :
PHILIPPE HENRIOT
Mort pour Hitler,
Fusillé par les Français...
Mort pour Hitler,
Fusillé par les Français...
Bonne nuit, monsieur Henriot. Et dormez bien.
Homophobie et suicide des jeunes : thèse et conférence de Jean-Michel Pugnières, 30 mai Toulouse
Soirée à L'Egide avec Jean-Michel Pugnière
● Mercredi 30 mai : L'Egide
Le mercredi 30 mai à 20h00 A L’Egide 202 rue nationale à Lille (entrée rue Colson)
Jean-Michel Pugnière nous expliquera les conclusions auxquelles il est parvenu quant à ce sujet crucial du suicide et des tentatives de suicides des jeunes personnes homosexuelles. Ce risque est jusqu'à treize fois plus important que pour les jeunes hétérosexuels.
Orientation
sexuelle : facteur de suicide et de conduites à risque chez les
adolescent-e-s et les jeunes adultes ? L’influence de l’homophobie et de la
victimation homophobe en milieu scolaire
Thèse en vue de l’obtention du Doctorat de Psychologie, soutenue par Jean-Michel PUGNIERE
Thèse en vue de l’obtention du Doctorat de Psychologie, soutenue par Jean-Michel PUGNIERE
sous la direction de : Chantal ZAOUCHE-GAUDRON,
Professeure de Psychologie, Université de Toulouse le Mirail Sylvie BOURDET-LOUBERE,
Maître de Conférences en Psychologie, Université de Toulouse le Mirail - Composition du Jury :Line CHAMBERLAND,
Professeure en Psychologie, Université de QuébecNicolas FAVEZ, Professeur
en Psychologie, Université de Genêve, Jean-Philippe RAYNAUD,
Professeur de Psychiatrie, Chef de Service de Psychiatrie de l’Enfant et de
l’Ado, CHU de Toulouse, Benoit SCHNEIDER,
Professeur de Psychologie, Université de Nancy
THESE en pdf ici :
Les habits neufs de l'empereur - Grimm
Ce conte est dédié à tous les escrocs qui par arrivisme prétendent "voir" l'internationale dans un apaisement avec le prolétariat allemand, un socialisme à visage humain, un islam distinct d'un islamisme.
La vérité est toute simple : tuer est un assassinat, tuer sert à s'emparer du pouvoir et des richesses, la bourgeoisie envieuse se délectait de voir Fouquier-Tinquille la débarasser de la noblesse, le peuple allemand était majoritairement ivre de fureur et de désir de vangeance dans les années 20-30, Marx méprisait les droits humains "bourgeois/civiques", le coran prône de tuer, de terroriser et de conquérir à l'image d'un Mahomet qui finit ivre de pouvoir, de sang et de sexe, et aujourd'hui les Etats de l'OCI affichent leur volonté de "galvaniser" la "oumma islamique" pour appliquer le coran et suivre le modèle de Mahomet.
La vérité est toute simple aussi sur le patriotisme : ce n'est pas parce que Hitler a eu une notion délirante et paranoïaque du nationalisme en pensant que préserver le peuple allemand nécessitait d'exterminer les autres, qu'il faut oublier la notion de base de liberté donnée par les Grecs comme par la bible : être libre, c'est d'abord ne pas être esclave, ne pas se laisser envahir et assujettir ; il est normal pour un peuple d'aimer protéger ses enfants et leur transmettre le meilleur de sa culture, de son "identité" ....
Ceux qui tentent de culpabiliser les peuples qui refusent l'envahissement ou la destruction de leur sécurité et de leur culture sont simplement les complices des envahisseurs ou les oppresseurs.
Heureusement que certains, avec des idées diverses, se révoltent : voir ici http://anne-kerjean.blogspot.fr/2012/05/hommage-national-jeanne-darc-13-mai_6703.html
et ici : Nonie Darwish est une femme arabe, qui aime sa culture, et veut en transmettre le meilleur et c'est pourquoi elle dit :
" L'islam doit être annihilé ! Il sera annihilé, il sera brisé !" dixit Nonnie Darwish
La vérité est toute simple : tuer est un assassinat, tuer sert à s'emparer du pouvoir et des richesses, la bourgeoisie envieuse se délectait de voir Fouquier-Tinquille la débarasser de la noblesse, le peuple allemand était majoritairement ivre de fureur et de désir de vangeance dans les années 20-30, Marx méprisait les droits humains "bourgeois/civiques", le coran prône de tuer, de terroriser et de conquérir à l'image d'un Mahomet qui finit ivre de pouvoir, de sang et de sexe, et aujourd'hui les Etats de l'OCI affichent leur volonté de "galvaniser" la "oumma islamique" pour appliquer le coran et suivre le modèle de Mahomet.
La vérité est toute simple aussi sur le patriotisme : ce n'est pas parce que Hitler a eu une notion délirante et paranoïaque du nationalisme en pensant que préserver le peuple allemand nécessitait d'exterminer les autres, qu'il faut oublier la notion de base de liberté donnée par les Grecs comme par la bible : être libre, c'est d'abord ne pas être esclave, ne pas se laisser envahir et assujettir ; il est normal pour un peuple d'aimer protéger ses enfants et leur transmettre le meilleur de sa culture, de son "identité" ....
Ceux qui tentent de culpabiliser les peuples qui refusent l'envahissement ou la destruction de leur sécurité et de leur culture sont simplement les complices des envahisseurs ou les oppresseurs.
Heureusement que certains, avec des idées diverses, se révoltent : voir ici http://anne-kerjean.blogspot.fr/2012/05/hommage-national-jeanne-darc-13-mai_6703.html
et ici : Nonie Darwish est une femme arabe, qui aime sa culture, et veut en transmettre le meilleur et c'est pourquoi elle dit :
" L'islam doit être annihilé ! Il sera annihilé, il sera brisé !" dixit Nonnie Darwish
Il y a de
longues années, vivait un empereur qui aimait plus que tout les habits neufs,
qu'il dépensait tout son argent pour être bien habillé. Il ne se souciait pas
de ses soldats, ni du théâtre, ni de ses promenades dans les bois, si ce
n'était pour faire le montre de ses vêtements neufs. Il avait un costume pour
chaque heure de chaque jour de la semaine et tandis qu'on dit habituellement
d'un roi qu'il est au conseil, on disait toujours de lui: "L'empereur
est dans sa garde-robe!"
Dans la
grande ville où il habitait, la vie était gaie et chaque jour beaucoup
d'étrangers arrivaient. Un jour, arrivèrent deux escrocs qui affirmèrent être
tisserands et être capables de pouvoir tisser la plus belle étoffe que l'on
pût imaginer. Non seulement les couleurs et le motif seraint
exceptionnellement beaux, mais les vêtements qui en seraient confectionnés
posséderaient l'étonnante propriété d'être invisibles aux yeux de ceux qui ne
convenaient pas à leurs fonctions ou qui étaient simplement idiots.
"Ce
serait des vêtements précieux", se dit l'empereur. "Si j'en avais
de pareils, je pourrais découvrir qui, de mes sujets, ne sied pas à ses
fonctions et départager les intelligents des imbéciles ! Je dois sur le champ
me faire tisser cette étoffe!" Il donna aux deux escrocs une avance sur
leur travail et ceux-ci se mirent à l'ouvrage.
Ils
installèrent deux métiers à tisser, mais ils firent semblant de travailler
car il n'y avait absolument aucun fil sur le métier. Ils demandèrent la soie
la plus fine et l'or le plus précieux qu'ils prirent pour eux et restèrenet
sur leurs métiers vides jusqu'à bien tard dans la nuit.
"Je
voudrais bien savoir où ils en sont avec l'étoffe!", se dit l'empereur.
Mais il se sentait mal à l'aise à l'idée qu'elle soit invisible aux yeux de
ceux qui sont sots ou mal dans leur fonction. Il se dit qu'il n'avait rien à
craindre pour lui-même, mais préféra dépêcher quelqu'un d'autre pour voir
comment cela se passait. Chacun dans la ville connaissait les qualités
exceptionnelles de l'étoffe et tous étaient avides de savoir combien leur
voisin était inapte ou idiot.
"Je
vais envoyer mon vieux et honnête ministre auprès des tisserands", se
dit l'empereur. "Il est le mieux à même de juger de l'allure de
l'étoffe; il est d'une grande intelligence et personne ne fait mieux son
travail que lui!"
Le vieux
et bon ministre alla donc dans l'atelier où les deux escrocs étaient assis,
travaillant sur leurs métiers vides. "Que Dieu nous garde!", pensa
le ministre en écarquillant les yeux. "Je ne vois rien du tout!"
Mais il se garda bien de le dire.
Les deux
escrocs l'invitèrent à s'approcher et lui demandèrent si ce n'étaient pas là
en effet un joli motif et de magnifiques couleurs. Puis, ils lui montrèrent
un métier vide. Le pauvre vieux ministre écarquilla encore plus les yeux,
mais il ne vit toujours rien, puisqu'il n'y avait rien. "Mon Dieu,
pensa-t-il, serais-je sot? Je ne l'aurais jamais cru et personne ne devrait
le savoir! Serais-je inapte à mon travail? Non, il ne faut pas que je raconte
que je ne peux pas voir l'étoffe.
"Eh
bien, qu'en dites-vous ?", demanda l'un des tisserands.
"Oh,
c'est ravissant, tout ce qu'il y a de pklus joli !", répondit le vieux
ministre, en regardant au travers de ses lunettes. "Ce motif et ces
couleurs! Je ne manquerai pas de dire à l'empereur que tout cela me plaît
beaucoup!"
"Nous
nous en réjouissons!", dirent les deux tisserands. Puis, ils nommèrent
les couleurs et discutèrent du motif. Le vieux ministre écouta attentivement
afin de pouvoir lui-même en parler lorsqu'il serait de retour auprès de
l'empereur; et c'est ce qu'il fit.
Les deux
escrocs exigèrent encore plus d'argent, plus de soie et plus d'or pour leur
tissage. Ils mettaient tout dans leurs poches et rien sur les métiers; mais
ils continuèrent, comme ils l'avaient fait jusqu'ici, à faire semblant de
travailler.
L'empereur
envoya bientôt un autre honnête fonctionnaire pour voir où en était le
travail et quand l'étoffe serait bientôt prête. Il arriva à cet homme ce qui
était arrivé au ministre: il regarda et regarda encore, mais comme il n'y
avait rien sur le métier, il ne put rien y voir.
"N'est-ce
pas là un magnifique morceau d'étoffe?", lui demandèrent les deux
escrocs en lui montrant et lui expliquant les splendides motifs qui
n'existaient tout simplement pas.
"Je
ne suis pas sot, se dit le fonctionnaire; ce serait donc que je ne conviens
pas à mes fonctions? Ce serait plutôt étrange, mais je ne dois pas le laisser
paraître!" Et il fit l'éloge de l'étoffe, qu'il n'avait pas vue, puis il
exprima la joie que lui procuraient les couleurs et le merveilleux motif.
"Oui, c'est tout-à-fait merveilleux!", dit-il à l'empereur.
Dans la
ville, tout le monde parlait de la magnifique étoffe, et l'empereur voulu la
voir de ses propres yeux tandis qu'elle se trouvait encore sur le métier. Accompagné
de toute une foule de dignitaires, dont le ministre et le fonctionnaire, il
alla chez les deux escrocs, lesquels s'affairaient à tisser sans le moindre
fil.
"N'est-ce
pas magnifique?", dirent les deux fonctionnaires qui étaient déjà venus.
"Que Votre Majesté admire les motifs et les couleurs!" Puis, ils
montrèrent du doigt un métier vide, s'imaginant que les autres pouvaient y
voir quelque chose.
"Comment!,
pensa l'Empereur, mais je ne vois rien! C'est affreux! Serais-je sot? Ne
serais-je pas fait pour être empereur? Ce serait bien la chose la plus
terrible qui puisse jamais m'arriver."
"Magnifique,
ravissant, parfait, dit-il finalement, je donne ma plus haute
approbation!" Il hocha la tête, en signe de satisfaction, et contempla
le métier vide; mais il se garda bien de dire qu'il ne voyait rien. Tous les
membres de la suite qui l'avait accompagné regardèrent et regardèrent encore;
mais comme pour tous les autres, rien ne leur apparût et tous dirent comme
l'empereur: "C'est véritablement très beau !" Puis ils
conseillèrent à l'Empereur de porter ces magnifiques vêtements pour la
première fois à l'occasion d'une grande fête qui devrait avoir lieu très
bientôt.
Merveilleux
était le mot que l'on entendait sur toutes les lèvres, et tous semblaient se
réjouir. L'empereur décora chacun des escrocs d'une croix de chevalier qu'ils
mirent à leur boutonnière et il leur donna le titre de gentilshommes
tisserands.
La nuit qui
précéda le matin de la fête, les escrocs restèrent à travailler avec seize
chandelles. Tous les gens pouvaient se rendre compte du mal qu'ils se
donnaient pour terminer les habits de l'empereur. Les tisserands firent
semblant d'enlever l'étoffe de sur le métier, coupèrent dans l'air avec de
gros ciseaux, cousirent avec des aiguilles sans fils et dirent finalement:
"Voyez, les habits neufs de l'empereur sont à présent terminés !"
"Voyez,
Majesté, voici le pantalon, voilà la veste, voilà le manteau!" et ainsi
de suite. "C'est aussi léger qu'une toile d'araignée; on croirait
presque qu'on n'a rien sur le corps, mais c'est là toute la beauté de la
chose!"
"Oui,
oui !", dirent tous les courtisans, mais ils ne pouvaient rien voir,
puisqu'il n'y avait rien.
"Votre
Majesté Impériale veut-elle avoir l'insigne bonté d'ôter ses vêtements afin
que nous puissions lui mettre les nouveaux, là, devant le grands miroir
!"
L'empereur
enleva tous ses beaux vêtements et les escrocs firent comme s'ils lui
enfilaient chacune des pièces du nouvel habit qui, apparemment, venait tout
juste d'être cousu. L'empereur se tourna et se retourna devant le miroir.
"Dieu
! comme celà vous va bien. Quels dessins, quelles couleurs", s'exclamait
tout le monde.
"Ceux
qui doivent porter le dais au-dessus de Votre Majesté ouvrant la procession
sont arrivés", dit le maître des cérémonies.
"Je
suis prêt", dit l'empereur. "Est-ce que cela ne me va pas bien ? Et
il en se tourna encore une fois devant le miroir, car il devait faire
semblant de bien contempler son costume.
Les
chambellans qui devaitn porter la traîne du manteau de cour tâtonnaient de
leurs mains le parquet, faisant semblant d'attraper et de soulever la traîne.
Ils allèrent et firent comme s'ils tenaient quelque chose dans les airs; ils ne
voulaient pas risquer que l'on remarquât qu'ils ne pouvaient rien voir.
C'est
ainsi que l'Empereur marchait devant la procession sous le magnifique dais,
et tous ceux qui se trouvaient dans la rue ou à leur fenêtre disaient:
"Les habits neufs de l'empereur sont admirables ! Quel manteau avec
traîne de toute beauté, comme elle s'étale avec splendeur !" Personne ne
voulait laisser paraître qu'il ne voyait rien, puisque cela aurait montré
qu'il était incapable dans sa fonction ou simplement un sot. Aucun habit neuf
de l'empereur n'avait connu un tel succès.
"Mais
il n'a pas d'habit du tout !", crai petit enfant dans la foule.
"Éntendez la voix de l'innocence!", dit le père; et chacun murmura à son voisin ce que l'enfant avait dit.
Puis la
foule entière se mit à crier: "Mais il n'a pas d'habit du tout!"
L'empereur frisonna, car il lui semblait bien que le peuple avait raison,
mais il se dit: "Maintenant, je dois tenir bon jusqu'à la fin de la
procession." Et le cortège poursuivit sa route et les chambellans continuèrent
de porter la traîne, qui n'existait pas.
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Submission : par Theo Van Gogh et Ayaan Hirsi Ali
'Submission' Part 2 never happened because the person who directed this film (Theo Van Gogh) was murdered in public & a letter was pinned to his chest by use of a dagger. The creation and expression of this video costed him his life. Ironically, the act of violence & murder of Theo Van Gogh and the death threats against Ayaan Hirsi Ali gave this film exposure all around the globe.
Islam = nazisme : le principal prédicateur sunnite appelle au génocide
Le principal prédicateur sunnite appelle au génocide des juifs et à la conquête de l'Europe et du monde.
Beaucoup de nos élites juives françaises ne cessent de marteler qu'il faudrait croire à un "islam modéré de masse" et ( c'est moi qui ajoute) que les français chrétiens qui refuseraient d'y croire ne sont que des sales "fachos", au lieu de dénoncer les racines idéologiques religieuses de l'antisémitisme islamique c'est à dire l'antisémtisme inscrit dans les textes fondamentaux de l'islam.
Quant à nos braves avocats qui persécutent des "donneurs d'alerte" contre ... les appels à la violence antisémite , comme Pierre Cassen, Pascal Hilout, et d'autre, donc des juifs : honte sur eux !
Voici un article de Shmuel Trigano et les textes auxquels il renvoie.
Mohammad Akbar, travailleur social, militant associatif, Mulhouse; Eve Aldridge, Limousin; Zahra Ali, doctorante en sociologie, Al Houda, CEPT, Rennes; Sylvette Amestoy, maire adjointe, Courdimanche (95), EELV; Omar Alsoumi, ancien président de Génération Palestine; Houssen Amode, retraité, Saint-Denis, La Réunion; Mouloud Aounit, militant anti-raciste; Janie Arneguy, militante associative, Les Alternatifs, DNSI; Siham Andalouci, militante associative, Lille; Axiom, rappeur, Lille;
L'imam
radical d'une mosquée parisienne bientôt expulsé
Mohammed Hammami se voit
reprocher des prêches à caractère antisémite. Le ministre de l'Intérieur,
Claude Guéant, a par ailleurs annoncé la dissolution du groupe radical Forzane
Alizza.
Condamné
à quatre mois de prison avec sursis
Appel
à la lapidation en Occident
Entraînements
au close combat
Beaucoup de nos élites juives françaises ne cessent de marteler qu'il faudrait croire à un "islam modéré de masse" et ( c'est moi qui ajoute) que les français chrétiens qui refuseraient d'y croire ne sont que des sales "fachos", au lieu de dénoncer les racines idéologiques religieuses de l'antisémitisme islamique c'est à dire l'antisémtisme inscrit dans les textes fondamentaux de l'islam.
Quant à nos braves avocats qui persécutent des "donneurs d'alerte" contre ... les appels à la violence antisémite , comme Pierre Cassen, Pascal Hilout, et d'autre, donc des juifs : honte sur eux !
Voici un article de Shmuel Trigano et les textes auxquels il renvoie.
Le silence de l’Islam Français – Shmuel Trigano
mai 11th,
2012 Daniele -
Europe-Israel.org
L’échec
patent et immense de la manifestation des musulmans modérés que le courageux
imam Chalghoumi a tenté de réunir marque un tournant et appelle à des
conclusions sévères. Elle visait notamment à marquer la désapprobation de(s)
musulmans français vis à vis de la violence fondamentaliste en général mais
aussi et surtout de l’antisémitisme qui fait rage dans l’opinion musulmane
mondiale et qui venait de faire des morts, en France, de la main d’un natif du
pays et au nom de l’islam : un acte d’une gravité extrême qui signe le
déchirement du lien de la citoyenneté car on ne peut plus avancer (pour
« excuser » ? « désamorcer » ?) l’explication de
« l’importation du conflit du Moyen Orient ». Cet antisémitisme
violent est bien objectivement français.
Il y a bien
eu des condamnations de personnalités musulmanes officielles sur le perron de
l’Élysée après les assassinats de
l’École juive de Toulouse mais force est de constater qu’on ne les a
pas entendues appeler à rejoindre en masse la manifestation ratée, et qu’on ne
les y a pas vues. Si je me souviens bien, le recteur de la Mosquée de Paris n’a
même pas eu à ouvrir la bouche sur ces sujets : c’est le grand Rabbin
Bernheim qui, en sa présence et sur le perron de l’Élysée, devant toutes les
télévisions a appelé à « ne pas faire d’amalgame ». Était-ce à lui de
le faire ? C’est aux musulmans seuls à se mesurer à cette violence qui a
surgi au sein d’eux-mêmes et de leur religion pour démontrer leurs intentions
pacifiques. Il n’est pas clair à qui le grand Rabbin s’adressait. Aux Juifs
qu’il représente, sur le plan du Consistoire ? Cela laissait-il entendre
(fâcheusement) qu’ils pouvaient exercer des
« représailles » alors qu’il n’y a jamais eu aucun acte de
violence juive à l’encontre des musulmans, bien au contraire? Si c’est au grand
public, c’était le rôle du président de la République.
Nous attendons toujours une parole de
l’islam français officiel condamnant clairement l’antijudaïsme théologique et
l’antisémitisme politique. Aucune ventriloquie ne peut y satisfaire. Le mythe
d’un « islam modéré » de masse, à la crédibilité duquel les
représentants juifs n’ont cessé de contribuer, est désormais éventé. Qu’ont-ils
reçu en contrepartie ? Le renvoi d’ascenseur fut très timide et ne
concerna que quelques personnalités. Quand des intellectuels musulmans avaient
publié une tribune, il y a une dizaine d’années, pour condamner les actes
antisémites, ils avaient senti le besoin de se livrer à une violente diatribe
anti-israélienne, comme s’ils avaient dû « équilibrer » leur propos
en « faveur » des Juifs et alors que les mythes arabes sur ce qui se
passe au Moyen Orient font office de « justificatifs » de la violence
commises par des Français musulmans envers des Français juifs qui sont leurs
concitoyens. C’est aux cris de « Gaza » que des Juifs sont agressés
aujourd’hui dans la rue.
Il y a un
moment où il faut dire les choses telles qu’elles sont. Une violence d’origine
musulmane contre les Juifs s’est installée dans ce pays. Depuis
12 ans, des centaines d’agressions dont la liste est consultable ont été
commises. Après le massacre de Toulouse, les organes de veille de la communauté
juive constatent une recrudescence d’agressions violentes commises aux cris de
célébration de l’assassin. Jusqu’à quand ?
On ne peut ni
ne doit accepter la banalisation de cet état de fait. La violence n’est pas le
fait de tous les musulmans mais de certains milieux parmi eux, certes, mais
cela ne dispense pas la communauté musulmane officielle de s’en désolidariser
officiellement et formellement et surtout de récuser explicitement toute
justification religieuse de la haine. Elle aura fort à faire car ce sont des
autorités de l’islam officiel, parlant depuis le Moyen Orient et l’AFN, qui
appellent à « tuer les Juifs » (cf. l’appel, sur la place Tahrir, de l’imam
Qaradawi, président du Conseil de la fatwa pour les musulmans européens et qui était, fait gravissime, l’invité
d’honneur de l’UOIF à son congrès). Une telle déclaration constituerait le
meilleur rempart contre l’islamophobie. Le combat antiraciste contre sa
progression, qui est aussi un fait, ne peut servir d’écran à l’antisémitisme.
Il y a là un test qui vérifie l’assomption ou non par les autorités de l’islam
du contrat de la citoyenneté.
On ne peut accepter l’idée qu’une guerre
civile, larvée et erratique, s’installe dans le quotidien, que les Juifs, par
« abnégation » civique, supporteraient dans le silence, dans le
désintérêt de l’autorité publique. A moins qu’ils ne quittent les lieux.
Article
paru dans Actualité Juive du 10 mai 2012.
Shmuel
Trigano (reçu par message électronique)
Egypte, le cheikh Al-Qaradawi annonce le programme: tuer tous les Juifs,
les apostats, les homosexuels, conquérir Jérusalem, et conquérir Rome.
Qaradawi menant la prière place Tahrir
le 18 février dernier devant un million de personnes. Ses priorités? Tuer tous
les Juifs, les apostats, les homosexuels, conquérir Jérusalem, et
conquérir Rome. Sulfureux et manquant cruellement de finesse dans sa sincérité,
l'UOIF ne l'invite plus lors de ses congrès du Bourget, mais préfère
aujourd'hui inviter Robert Ménard ou d'autres chefs des Frères Musulmans trop
inonnus des journalistes français pour qu'ils s'en indignent…
Le Cheik
Yussuf Al-Qaradawi préside le Conseil européen de la fatwa et de la recherche (CEFR structure juridique mère
de l’UOIF). Ce Cheik, sûrement le plus influant du monde
sunnite contemporain (ses émission sur Al-Jazira rencontrent une audience inégalée
dans le monde musulman) a galvanisé des centaines de milliers de personnes
place Tahrir (photo) au Caire pour la prière du vendredi au début de la
révolution égyptienne.
« Si
l'islam mondial avait un chef, ce serait lui » écrivit Xavier Ternisien (responsable des questions islamiques à la
rédaction du Monde) en août 2004 dans un article du quotidien Le Monde. Il
préside le Conseil mondial des Oulémas, et fut souvent invité aux congrès de
l'UOIF, fédération musulmane qui contrôle des centaines de mosquées en France
(dont les monumentales de Poitiers, Caen, Nantes, bientôt Bordeaux…) des
collèges et lycées privés. Qaradawi a souvent donné des cours dans les écoles
d'imams de l'UOIF, les plus importantes de France, dont il inaugura la première
à Saint-Léger du Fougeret dans la Nièvre en 1990, déjà.
Il fut un ami
intime de Said Ramadan, père de Tariq et responsable des Frères Musulmans pour
l'Europe, il prononça un discours lors de l'enterrement de celui-ci en 1995.
Tariq Ramadan dit de lui dans un livre d'entretiens : « Toute personne, musulmane ou non, qui a étudié les sciences
et le droit islamiques contemporains, sait quelle est la contribution de Yussuf
Al-Qaradawi au débat et combien certaines de ses propositions juridiques sont
novatrices. J’éprouve un profond respect pour l’homme et le savant et
serait le dernier à m’en cacher » Tariq Ramadan
in Faut-il faire taire Tariq Ramadan ?, Aziz Zemouri,
l’Archipel, 2005, page 135.
Dans une
fatwa mise en ligne sur le site http://www.islamonline.net,
le cheik Al-Qaradhawi répond à la question d’un lecteur en se référant aux
“signes de la gloire de l’islam”, mentionnés dans un hadith [enseignement oral]
souvent cité:“On posa au prophète Mahomet la question suivante: ‘Quelle ville
sera conquise en premier, Constantinople ou Romiyya ?’ Il répondit: ‘La ville
d’Héraclès sera conquise en premier’, c’est-à-dire Constantinople[*]… Romiyya
est la ville aujourd’hui appelée ‘Rome’, capitale italienne. La ville
d’Héraclès [qui devint ensuite Constantinople] fut conquise en 1453 par
Mohammed Ben Morad, jeune Ottoman de 23 ans, connu sous le nom de Mohammed le
Conquérant. L’autre ville, Romiyya, reste [à conquérir], et nous espérons et
croyons [qu’elle sera conquise]. Cela signifie que l’islam retournera
en Europe en conquérant et en vainqueur, après en avoir été expulsé deux fois:
une fois d’Andalousie, au sud, l’autre fois à l’Est, après qu’il eut frappé à
plusieurs reprises aux portes d’Athènes.”
Le cheik
Al-Qaradhawi nuance alors son propos: “Je soutiens que, cette
fois, la conquête ne se fera pas par l’épée, mais par la prédication et
l’idéologie…”
Al-Qaradhawi
a tenu un discours similaire en d’autres circonstances, notamment dans son
émission religieuse hebdomadaire, diffusée sur Al-Jazira, où il a déclaré: “Les amis du Prophète ont entendu [de sa bouche] que deux
villes seraient conquises par l’islam, Romiyya et Constantinople, le Prophète
ayant précisé qu’Héraclès [qui deviendra plus tard
Constantinople] serait conquise en premier. Romiyya est Rome,
capitale italienne, tandis que Constantinople était la capitale de l’Etat de la
Rome byzantine, aujourd’hui Istanbul. Il a décrété qu’Héraclès serait conquise
en premier, et c’est ce qui est arrivé… Constantinople a été conquise,
mais la deuxième partie de la prophétie, c’est-à-dire la conquête de Rome,
reste à réaliser. Cela signifie que l’islam retournera en Europe. L’islam est
entré deux fois en Europe, et deux fois l’a quittée… Peut-être que la prochaine
conquête, avec la volonté d’Allah, se fera par la prédication et
l’idéologie. Toute terre n’est pas obligatoirement conquise par l’épée…. [La
conquête de la Mecque] ne s’est pas faite par l’épée ou la guerre, mais par un
traité [de Houdaybia] et par des moyens pacifiques… Peut-être allons-nous
conquérir ces terres sans armées. Nous voulons qu’une armée de prédicateurs et
d’enseignants présentent l’islam dans toutes les langues et tous les
dialectes…”
En une autre
occasion, le cheik Al-Qaradhawi insiste: “Le hadith dit que la ville de
Constantinople, ville d’Héraclès, sera conquise d’abord. Nous avons conquis
Constantinople, mais la deuxième partie de la prophétie reste à accomplir – la
conquête de Romiyya. Celle-ci implique le retour de l’islam en Europe. Dans
l’une de mes précédentes émissions, j’ai dit qu’à mon avis, cette conquête ne
se ferait pas au moyen de l’épée ou des armées, mais par les sermons et
l’idéologie. L’Europe [finira par] se rendre compte qu’elle souffre de
sa culture matérialiste et se cherchera une solution de remplacement, un
échappatoire, un canot de sauvetage ; elle ne trouvera rien qui puisse la
sauver, si ce n’est le message de l’islam, le message du muezzin, qui lui
transmettra la religion sans renier le monde, la conduira aux cieux sans la
déraciner de la terre. Avec la volonté d’Allah, l’islam retournera en Europe,
et les Européens se convertiront à l’islam. Ils seront ensuite à même de
propager l’islam dans le monde, mieux que nous, les anciens musulmans. Tout
cela est possible pour Allah.”
Observatoire de l'islamisation, avril 2011
Après les printemps arabes qui tournent aux hivers islamistes, nos
banlieues nous préparent les « Printemps arabes des quartiers » !Share
Les « Printemps arabes »
semblent donner des ailes à tout un tas de gens confirmant l’alliance entre
gauchistes et islamistes pour envisager d’importer en France des
« Printemps Arabes des quartiers »… En parcourant les intervenants et
les signataires de ces appels à »un printemps des quartiers
populaires ! » (entendez un printemps musulmans) on trouve la fine fleur
des islamistes, des Frères Musulmans soutenus par des gauchistes et de tous
ceux qui aimeraient importer en France le conflit israélo-palestinien.
Sous prétexte
de lutter contre les violences policières (??? et les violences et l’insécurité
dans les banlieues ?), le racisme (comprendre anti-arabe car le racisme
anti-blanc est permis…), l’islamophobie (nouvelle tarte à la crème lancée
par l’Organication pour la Conférence Islamique), la Palestine (on se demande
ce que la Palestine vient faire dans nos banlieues) les discours prononcés par
les divers intervenants lors d’un meeting public à Bagnolet sont édifiants: ces
gens là attisent la haine envers les Juifs, les Chrétiens, les français et tous
ceux qui ne sont pas musulmans.
Voici la liste des intervenants
: Tariq Ramadan,Youcef Brakni, Omar Slaouti, Ndella Paye, Ismahane
Chouder, Omar Al Soumi, Alain Gresh, Ali Elbaz, Monique Crinon, Houria Bouteldja….
Nous préparent-ils une
« révolution » islamique des quartiers ?
Plusieurs signes convergents démontrent
une volonté organisée de radicaliser en France un discours pro-islamiste:
Parallèlement à cet appel à un « Printemps arabe des quartiers », Forzane
Alizza pourtant interdit par le Ministère de l’Intérieur recrute activement des
Jihadistes en France. Par ailleurs le Conseil français du culte musulman
soutient des imams radicaux et intégristes prêchants l’antisémitisme et
l’anti-occidentalisme.
Notons que des sites gauchistes comme
Médiapart les soutiennent activement.
Ecoutez attentivement les propos de Omar
Alsoumi qui nous annonce clairement la couleur :
Voici la
liste des signataire d’un appel à ces fameux « Printemps arabes dans les
quartiers » publiées et diffusées par Médiapart :
Mohammad Akbar, travailleur social, militant associatif, Mulhouse; Eve Aldridge, Limousin; Zahra Ali, doctorante en sociologie, Al Houda, CEPT, Rennes; Sylvette Amestoy, maire adjointe, Courdimanche (95), EELV; Omar Alsoumi, ancien président de Génération Palestine; Houssen Amode, retraité, Saint-Denis, La Réunion; Mouloud Aounit, militant anti-raciste; Janie Arneguy, militante associative, Les Alternatifs, DNSI; Siham Andalouci, militante associative, Lille; Axiom, rappeur, Lille;
Laziza Bakkali, AJC’REVé, Avignon; Alain
Balthazard, adhérent EELV 95; Stefan Bekier, interprète de conférence, NPA 95;
Adda Bekkouche, juriste, militant associatif, Colombes (92); Nora Benameur,
AJC’REVé, Avignon; Tarek Ben Hiba, militant associatif, ancien conseiller
régional Ile-de-France; Sarah Benichou, MTE, DNSI, NPA 75; Mohamed Bensaada,
Quartiers Nord/Quartiers Forts, Marseille; Jean-Christophe Berche, éducateur en
prévention, Nancy, NPA 54; Thierry Bonhomme, NPA 54 Sud; Martine Boudet,
enseignante, Attac, Toulouse; Alima Boumediene-Thiery, juriste, responsable
associative, ex-parlementaire, Paris; Mahmoud Bourrassi, militant associatif
Ile-de-France, CMF; Youssef Boussoumah, militant du PIR, Clichy-la-Garenne;
Houria Bouteldja, PIR;
Jean Brafman, ancien conseiller régional, FASE; Youcef Brakni, militant associatif, Bagnolet, PIR; François Brun, DNSI, NPA75;
Jean Brafman, ancien conseiller régional, FASE; Youcef Brakni, militant associatif, Bagnolet, PIR; François Brun, DNSI, NPA75;
Claude Calame, historien, EHESS, ATTAC,
LDH, NPA 75; Khadija Cassam, professeur d’université, Saint-Pierre, La Réunion;
Fathia Chaari, militante féministe; Malika-Sandrine Charlemagne, militante
associative, Paris; Antoine Chauvel, Génération Palestine, NPA Le Mans; Nouh
Chebbaï, militant associatif, Paris; Mouhieddine Cherbib, FTCR; Mamode Chotia,
professeur de lycée, Tampon, La Réunion; Ismahane Chouder, CFPE, MTE, PSM; Marie-Pascale
Couttausse, éducatrice spécialisée, militante associative, Toulouse; Marie
Cosnay, écrivain, enseignante; Monique Crinon, CFPE, MTE, Cedetim; Philippe
Corcuff, enseignant-chercheur en sciences politiques, Lyon, altermondialiste;
Thomas Coutrot, économiste, militant associatif;
Nadir Dendoune, journaliste et écrivain;
Kamel Djellal, MJCiqp; Bernard Dreano, Cedetim, centre d’études d’initiatives
de
solidarité internationale;
solidarité internationale;
Driss Elkerchy, Pt ATMF; Abdallah El
Marbati, association parents d’élèves Argenteuil; Abdelkhalek Elmoden,
responsable associatif, Bagneux; Fadila El Miri, militante associative,
Marseille; Nabil Ennasri, Pt CMF);
Mireille Fanon – Mendès-France, membre
de la fondation Franz Fanon; Sonia Fayman, UJFP; Adil Fajry; animateur territorial
militant associatif et politique au NPA; Patrick Farbiaz, Sortir du
Colonialisme; Gisèle Felhendler, Sortir du Colonialisme, NPA 75; Amaël
François, Ehess/Sciences Po, ex porte-parole SUD Etudiant, NPA;
Véronique Gallais, socio-économiste,
membre du CS d’Attac 75; Vanina Giudicelli, commission anti-raciste du NPA,
DNSI, Montreuil, 93; Serge Guichard, PCF, Association de solidarité en Essonne
aux familles Roms;
Hamé, du groupe La Rumeur; Fouzia
Hamhami, ATMF, Argenteuil; Moustafa Hassanaly, directeur de société, St Denis,
La réunion; Omar Hatia, retraité Education nationale, Tampon, La Réunion;
Françoise Hickel, éducatrice PJJ, Montreuil-sous-bois, 93;
Iqbal Ingar, gérant de société,
Saint-Denis, La Réunion; Amode Ismae Daoudjee, Médecin, Saint-Pierre, La
Réunion; Sulliman Issop, journaliste, Saint-Pierre, La Réunion;
Aïcha Jabrane, Prte de l’observatoire de
la diversité, membre du conseil fédéral d’EELV;
Abdoul Kassou, retraité, Saint-Denis, La
Réunion; Marie-Céline Kassou, retraitée, Saint-Denis, La Réunion; Sarah Kassou,
fonctionnaire, Saint-Denis, La Réunion;
Virginie Laghrib, Al Houda, Rennes;
Jean-Marc Lamarre, enseignant-chercheur en sciences de l’éducation à Nantes,
NPA 72; Chamous Larisse, Al Houda, MTE, CFPE; Catherine Lebrun, syndicaliste; Olivier
Le Cour Grandmaison, historien, DNSI; Laurent Lévy, essayiste, CEPT; Elisabeth
Longuenesse, sociologue; Karim Louchene, CMF, Lyon;
Bernard Mackaland, La Martinique; Yamin
Makri, éditeur, militant associatif, Lyon; Abdoul Kader Mamoodjee, employé de
commerce, Tampon, La Réunion; Chaïda Mamoodjee, adjointe administrative,
Tampon, La Réunion; Réhane Mamoodjee, technicien, Le Port, La Réunion; Mohamed
Maoihibou, agent territorial, Le Port, La Réunion; Béatrice Martin, Al Houda,
Rennes; Gustave Massiah, économiste, CMIL -cercle migrations et libertés; Odile
Maurin, militante associative du champ du handicap, Toulouse; Lisette M’Baireh,
PIR; Sofiane Mezziani, Lille, Pt Citoyens de la réforme, CMF; Younous Mogalia,
employé de commerce, Saint-Denis, La Réunion; Rosa Mollet, Lille; Bénédicte
Monville-De Cecco, anthropologue/enseignante; Salim Motara, directeur de
département, Saint-Denis, La Réunion; Sonia Moussaoui, CFPE, étudiante,
Saint-Etienne; Marwan Muhammad, Foul Express;
Danièle Obono, militante antiraciste et
altermondialiste; Laurent Ott, philosophe, Association Intermèdes, Robinson;
Abdoul Rahman Patel, chef d’entreprise,
Saint-Louis, La Réunion; Anis Patel, étudiant, Tampon, La Réunion; Anwar
Patel, fonctionnaire territorial, Tampon, La Réunion; Nazir Patel,
professeur de lycée, Tampon, La Réunion; Nazemir Patel, professeur de lycée,
Tampon, La Réunion; Jan Pauwels, infirmier, syndicaliste, MRAP, NPA, Lille;
Ndella Paye, CFPE, MTE, PSM; Denis Poulain, enseignant, Réseau de vigilance
citoyenne, NPA La Rochelle; Marc Prunier, syndicaliste, conseiller municipal
94, militant solidarité « Palestine », NPA;
Yves Quintal, directeur d’école,
association egalité toulouse mirail 31;
Tariq Ramadan, universitaire; Sonia
Rabahi, enseignante 93; Ali Rahni, membre EELV, CMF; Julien Rivoire, militant
solidarité palestine; Marguerite Rollinde, militante associative 93; André
Rosevegue, co-Prt de l’UJFP; Jean-Marc Rouillan, écrivain, NPA Marseille;
Khaled Roumo, auteur et poète, Paris;
Farah Sadaoui, Génération Palestine,
Saint-Denis (93); Saïdou, rappeur, ZEP – MAP; Harbia Saifi, Réflexion13,
Marseille; Catherine Samary, économiste, CFPE, MTE, NPA, altermondialiste;
Pablo Seban, collectif Générations Spontanées, Toulouse; Miguel Segui,
animateur de quartier NPA 92; Geneviève Sellier, professeure en études
cinématographique – Bordeaux 3; Michèle Sibony, co-pte de l’UJFP; Omar Slaouti,
militant associatif 95, NPA; Skalpel, rappeur, Collectif bboykonsiant, Paris;
Djamila Sonzoni, élue Europe Ecologie les Verts; Saléha Sovel, ajointe
administrative, Saint-Denis, La Réunion; Pierre Stambul, UJFP, Marseille;
Romain Telliez, universitaire,
Aulnay-sous-Bois (93); Martine Tessard, enseignante retraitée, militante auprès
des Sans Papiers, NPA Paris Centre; Emmanuel Terray, anthropologue; Pierre
Tevanian, MTE, LMSI; Gérard Trainoir, enseignant et adhérent EELV, Argenteuil;
Fayzal Valy, imam, La Réunion; Georges
Veyet, retraité, militant altermondialiste, Grenoble; Dominique Vidal,
historien et journaliste;
Abdel Zahari, AJC’REVé, Avignon; Saâd
Zouiten, Comité La Courneuve-Palestine
Associations,
collectifs, organisations politiques ou syndicales
Association Ensemble à Bagnolet; Al
Houda (association des Femmes musulmanes de Rennes); Association REDA (Réflexion,
Echanges et Débats en Alsace); AJC’REV (Agir pour la justice contre le racisme,
l’exclusion et la violence), Avignon; Collectif Générations Spontanées contre
le racisme et l’islamophobie (Toulouse); Citoyens de la réforme, Lille;
D’ailleurs Nous Sommes d’Ici (DNSI), Melun; Groupe Frantz Fanon Bagnolet;
Quartiers Nord-Quartiers Forts (QNQF) Marseille; L’Art de la Paix – Bagnolet;
Association des Marocains en France (AMF); Association des travailleurs
maghrébins de France (ATMF); Collectif des Musulmans de France (CMF);
Fédérations des Associations de Solidarité avec les Travailleurs/leuses
Immigré.e.s (FASTI); Fédération des Tunisiens pour une citoyenneté des deux
Rives (FTCR); Fondation Franz Fanon; Nouveau parti anti-capitaliste (NPA);
Parti des Indigènes de la république (PIR); Union juive française pour la paix
(UJFP).
Le CFCM et la pétition de soutien à un imam intégriste
Le Conseil
français du culte musulman (CFCM) jouerait-il la carte de l’ambiguïté avec
l’Islam radical. Des représentants de l’organe religieux ont récemment lancé
une pétition de soutien à Mohamed Hammami, imam intégriste sous le coup d’une procédure d’expulsion
du territoire après des prêches anti-occidentaux et antisémites.
Si le CFCM a
officiellement « pris acte » de la procédure d’expulsion engagée par
le gouvernement à l’encontre de Mohamed Hammami, président de
l’association « Foi et Pratique », représentant du mouvement
rigoriste Tabligh suite à des prêches
islamistes appelant à la violence, certains représentants du
CFCM ont lancé une pétition de soutien à l’égard de l’imam radical.
Parmi les
signataires de cette pétition, un nom sème particulièrement le trouble :
celle de Kamel Kabtane, recteur de la mosquée de Lyon et membre fondateur du
CFCM. Kamel Kabtane, qualifié
d’imam modéré dans les médias, mais qui avait invité à plusieurs reprises un
autre imam radical, Abdelkader Bouziane, qui s’était rendu célèbre en
justifiant la lapidation des femmes adultères.
Plus récemment, une nouvelle polémique
avait entouré la mosquée de Lyon et son Recteur au printemps 2011. Selon un
document émanant des services secrets américains et mis en ligne par Wikileaks,
la grande mosquée de Lyon aurait servi de point de recrutement et d’accueil
pour des terroristes islamistes. Reçu à l’Ambassade des Etats-Unis à Paris, les
autorités américaines n’ont pas présenté d’excuses à M. Kabtane…
Enfin, sur
l’affaire de Charlie Hebdo, comme d’autres responsables musulmans,
M. Kamel Kabtane n’a malheureusement pas clairement dénoncé l’incendie
criminel, déplorant les caricatures de Mahomet. Il disait « Je suis obstinément contre toute action qui utilise la violence
pour se faire entendre et s’exprimer. Mais Charlie Hebdo joue aux pompiers
pyromanes depuis des années en voulant utiliser les symboles importants de
l’Islam pour s’attaquer aux musulmans »
Une question fondamentale se pose donc
au CFCM : peut-on impunément défendre des propos islamistes et participer
au CFCM ? Peut-on souhaiter un Islam de France et s’abstenir de condamner
les dérives islamistes ? La communauté musulmane de France
n’attend-elle pas de ses représentants une intransigeance absolue contre les
atteintes à la laïcité et les théories de l’islam radical ?
L'imam
radical d'une mosquée parisienne bientôt expulsé
Mots clés
: Islam Radical, Forsane Alizza, Mohammed
Hammami
Mohammed Hammami le 23 septembre 2010. Ce jour-là, l'imam
faisait partie des représentants du culte musulman reçus à l'Élysée. Crédits photo : Marlene
Awaad/IP3 PRESS/MAXPPP
Mohammed Hammami se voit
reprocher des prêches à caractère antisémite. Le ministre de l'Intérieur,
Claude Guéant, a par ailleurs annoncé la dissolution du groupe radical Forzane
Alizza.
Présentés comme des acteurs
du fondamentalisme musulman prônant violences et valeurs contraires à la
République, un imam parisien et une association Forsane Alizza, «Les cavaliers
de la fierté», devraient prochainement être durement sanctionnés. Le ministre
de l'Intérieur, Claude Guéant, a même annoncé lundi la dissolution de cette
association, jugeant «insupportable que dans notre pays, un groupement forme
des personnes à la lutte armée».
Un porte-parole de Forsane
Alizza a de son côté a immédiatement réfuté toute dimension armée, jugeant que
les propos du ministre relevaient de «la pure calomnie» et «de la diffamation».
D'après nos informations,
Mohammed Hammami, imam de la mosquée tabligh Omar à Paris (XIe), a été informé
en fin de semaine dernière qu'une procédure d'éloignement, initiée par le
ministère de l'Intérieur, était envisagée contre lui. Le 7 février
prochain en effet, son cas sera examiné par la commission d'expulsion à Paris.
Dès l'avis de cette structure émis - le jour même ou dans un mois -, un arrêté
ministériel d'expulsion devrait être pris. Une mesure qui pourra alors
s'appliquer sur-le-champ.
Né en 1935 et arrivé en
France dans les années 1960, Mohammed Hammami, ce Tunisien qui avait ouvert un
lieu de culte rue Jean-Pierre Timbaud, dans le XIe arrondissement de Paris,
paie aujourd'hui tous ses excès. À l'origine de prêches virulents, notamment à
caractère antisémite, il aurait indiqué que «l'argent des fidèles ne
devait pas être placé en banque car il profite aux juifs.» Adepte d'un
islamisme radical, il aurait aussi demandé que la femme adultère soit battue à
mort.
Condamné
à quatre mois de prison avec sursis
D'après Samir Amghar,
chercheur et auteur d'un récent ouvrage sur le salafisme (éditions
Michalon), cette mosquée du XIe arrondissement «a régulièrement défrayé la
chronique». Dans les années 1990, elle abritait des filières de recruteurs
djihadistes. À sa tête, Mohammed Hammami avait été, durant plusieurs années, le
représentant du Tabligh en France, ce mouvement «rigoriste et ultraorthodoxe»,
qui fut, pendant un temps, le «sas du terrorisme».
Autre particularité de cette
branche de l'islam militant: son fonctionnement comme une secte. «Quand on
l'intègre, on est coupé de la société», d'après le spécialiste. Des
journalistes qui avaient voulu enquêter en avaient fermement été dissuadés. Ils
avaient été agressés après avoir voulu pousser les portes du centre de
formation d'imams situé au château de Grisy-Suisnes en Seine-et-Marne. Présent
ce jour-là, Mohammed Hammami en était venu aux mains et avait été condamné à
quatre mois de prison avec sursis.
Mais depuis que le Tabligh
est représenté au Conseil français du culte musulman, il «s'est désectarisé»,
selon Samir Amghar. Entre-temps, Mohammed Hammami a été écarté de son rôle de
leader au sein du mouvement. «Concernant ses prêches, je sais qu'il a été très
critique à l'égard des régimes arabes», indique le spécialiste qui admet ne pas
avoir eu connaissance de propos pouvant heurter les valeurs de la République
française. «Mais il y a aujourd'hui beaucoup d'autocensure de la part des imams
depuis que plusieurs d'entre eux ont été expulsés. Du coup, il y a la parole
officielle et la parole officieuse tenue en petit comité», explique-t-il.
Depuis le 11 septembre 2001,
en effet, les prêches sont surveillés par les services du renseignement
intérieur. Sur les 145 mesures d'éloignement d'islamistes qui ont été prises,
34 concernaient des imams ou des prédicateurs. Des expulsions qui, à chaque fois,
ont lieu sur la base de l'article L 521-3 du Code d'entrée et du séjour des
étrangers et du droit d'asile. Le texte évoque notamment «des actes de
provocation explicite et délibérée à la discrimination, à la haine ou à la
violence contre une personne déterminée ou un groupe de personnes».
Appel
à la lapidation en Occident
L'association Forsane Alizza,
créée en août 2010, doit être pour sa part dissoute à la suite d'une enquête la
concernant. Considéré dans une note du ministère de l'Intérieur comme un «groupement
de fait islamiste pro-jihadiste», le groupuscule devrait être frappé en vertu
de la loi du 10 janvier 1936 par décret du président de la République en
conseil des ministres, contresigné par le premier ministre et le ministre de
l'Intérieur.
«Les Cavaliers de la fierté»
se sont fait connaître à l'occasion de quelques événements très médiatisés,
précise la note en invoquant notamment une manifestation, devant le tribunal de
grande instance à Limoges, le 17 septembre 2010,
«pour protester contre la menace d'un pasteur américain de brûler le Coran et
plusieurs rassemblements faisant suite à des interpellations de femmes portant
le voile intégral.»
Les services spécialisés
affirment que le groupuscule propage une «théorie de promotion de la lutte
armée pour des motifs religieux», prônant «l'instauration en France du califat
et l'application de la charia, remettant ainsi en cause le régime démocratique
et les principes fondamentaux de la République».
«Dans une vidéo récente,
postée sur leur site Internet, le groupe légitime et encourage le «djihad» en
culpabilisant les musulmans, déplore-t-on place Beauvau. De façon rituelle,
leurs propos sont antisémites et anti-occidentaux…» Par exemple, une source
informée du ministère de l'Intérieur évoque quelques propos odieux et
hallucinants diffusés notamment sur internet. Ainsi, les juifs y sont présentés
comme «de la racaille qui passe leur temps à se victimiser pour excuser leurs
exactions aux yeux du monde.» Le 14 novembre 2010, les «Cavaliers de la fierté»
avaient publié un «appel à la lapidation en Occident» et avaient qualifié les
représentants du Conseil français du culte musulman (CFCM) de «dociles lévriers
dressés pour garder le troupeau et aboyer lorsque certains sortent du
rang . Plus récemment, le 26 avril dernier, les «apôtres» de Forsane
considéraient l'homosexualité comme un «fléau». S'appuyant sur la tradition
prophétique de la «sunna», ils ont alors préconisé: «Quand vous trouvez deux
hommes en train de commettre le péché de loth, mettez-les à mort».
Entraînements
au close combat
Dans ses discours,
précise-t-on dans l'entourage de Claude Guéant, l'émir national de Forsane,
Mohamed Achamlane, alias Abou Hamza, domicilié en Loire-Atlantique, a déjà
traité les fonctionnaires de police ayant interpellé des femmes voilées de
«chiens» et prévient que «la violence dont les musulmans font l'objet chaque
jour va se transformer en bain de sang si cela continue sur cette voie (…). Si
Allah veut, nous serons de véritables moudjahiddines.» Il se serait également
illustré en août dernier en brûlant publiquement un Code pénal.
Les analystes de la place
Beauvau souligne également que «le groupuscule offre à ses membres les plus
actifs des entraînements au close combat», au «tir au paint-ball avec
simulation de prises d'otages» et «endoctrinement religieux» de ses adeptes.
Forsane Alizza, est enfin
«soupçonné d'entretenir des relations constantes avec des mouvements islamistes
implantés à l'étranger ou des personnes impliquées dans des actes de
terrorisme, en particulier, avec l'organisation britannique interdite Al
Mouhajiroun». Cette dernière s'était distinguée pour avoir fait l'apologie des
attentats du 11 septembre 2001 et avoir qualifié Tony Blair de «cible légitime»
pour tout musulman. Lors de certaines manifestations, les membres de Forsane
Alizza arborent les drapeaux et banderoles aux couleurs de l'organisation
britannique.
Pour le ministère de
l'Intérieur, la dissolution repose donc sur trois motifs: l'association qui
présente «le caractère de groupes de combat ou de milices privées» a pour but
«d'attenter à la forme républicaine du gouvernement» et propage «des idées
racistes et antisémites». Forsane Alizza qui s'est vu adresser un courrier
l'informant de cette procédure doit y répondre dans 10 jours.
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